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I ♥ RIEN, JE SUIS... maniaque, ordonnée, organisée, dynamique, elle planifie tout à la minute près, intelligente, brillante, bavarde, donne difficilement sa confiance, sociable dans le sens où elle ne refuse pas de nouvelles rencontres mais réservée car elle a plutôt tendance à attendre que l'on vienne vers elle, plus, elle préfère parler de choses générales que d'elle même. Fidèle, loyale, passionnée, engagée, impliquée, tolérante. Elle déteste le conflit et préfère fuir ou ignorer lorsque les choses s'enlisent. Elle donne difficilement sa confiance. Ses meilleurs armes lorsqu'elle souhaite se venger de quelqu'un qui lui a fait du mal sont le sarcasme et l'ignorance (les meilleures façons pour mépriser quelqu'un). Elle est souvent dans la retenue et ne se lâche que très rarement. Elle ne laisse jamais paraître ses émotions (ou que très peu). Elle ne hausse jamais le ton et n'use que très rarement d'insultes. Elle est fière, entêtée, elle se bat jusqu'au bout lorsqu'elle désire quelque chose. Elle est courageuse, presque un peu téméraire. Espiègle, joueuse et un brin manipulatrice. Elle considère que la fin justifie les moyens. Oui, il lui arrive de regarder les gens de haut mais c'est souvent sans s'en rendre compte. Elle vise la perfection mais vit dans l'éternelle frustration de ne pas y arriver. Elle part du principe que tout le monde a un bon fond et qu'il faut laisser une chance à chacun de prouver qui il est. Une seule chance. Elle est très rancunière. Très attachée à ses principes. Légèrement autoritaire. Elle est une amie avenante, à l'écoute, et toujours prête à aider. Elle a toujours le sourire. J'AIME le café noir et la première cigarette de la journée, le son du réveil qui sonne le matin, la littérature (française surtout), les trucs ennuyeux comme l'histoire, l'économie et la politique, la mode, les chaussures, faire de la pâtisserie, les cupcakes, la crème glacée, les crêpes, gaspard proust ♥ ♥ ♥ , le tennis, le coca cola, les marlboros, la neige, les longues balades nocturnes dans les rues de Paris, le champagne, la sangria, revisiter le Louvre, monter en haut de la Tour Eiffel, les macarons Ladurée, l'accent anglais (muy sexy!), les films de guerre, les ours polaires et tous les animaux, big bang theory, elle aime le rap si les textes sont bien écrits, le ski, et la danse. JE N'AIME PAS les ignorants, les enfants, les fainéants, l'autorité, le mensonge, la saleté, le désordre, elle déteste tout ce qui lui semble être une perte de temps comme les jeux vidéos ou le fait de traîner en pyjama toute la journée, elle n'aime pas l'échec, l'injustice, les films et romans d'amour, les communistes, les mecs trop musclés, l'odeur du vernis à ongle, la série How I Met Your Mother, le lait, les araignées, les hôpitaux, le métro, les embouteillages, le heavy metal, deathcore ou autre style de rock où ça hurle.. Le football (la France est nulle de toute façon).
Dernière édition par Lou Dancourt le Lun 18 Fév - 0:27, édité 1 fois
I'M PARISIEN ♥
▹ A PARIS DEPUIS : 23/01/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 1376 ▹ CREDITS : wanderlust
Sujet: Re: LDANCOURT « Tous les moyens sont bons quand ils sont efficaces. » Dim 17 Fév - 22:53
DANCOURT UN JOUR... « Deux valent mieux qu'une : celui qui a écrit cela ne connaissait pas mes soeurs. »
Nous avons toujours vécut à Paris. D'abord à Neuilly, dans un grand appartement aux murs très blancs et aux fenêtres gigantesques, puis quand la famille s'était agrandie, nous avions déménagé un peu plus loin, dans le quartier de Passy. Les parents avaient acheté un de ces hôtel particulier très chic à l'architecture moyen-âgeuse mais "so Louis XIV" avec des pièces toujours plus grandes, toujours plus lumineuses et toujours plus blanches, dans lesquelles étaient accrochés des tableaux hors de prix et des vieilleries (ou antiquités devrais-je dire) auxquels il ne fallait surtout pas toucher. Tout ça, c'était une lubie de ma mère, parce qu'elle avait toujours eu des lubies et que mon père n'avait jamais rien su lui refuser. Elle lui suggérait "Nous devrions installer un jacuzzi dans la salle de bain, ne penses-tu pas? " et il exécutait comme si il craignait d'être foudroyé d'un moment à l'autre. J'avais hérité ça d'elle apparemment, il me disait toujours que j'avais l'étoffe d'une grande dirigeante, d'une dictatrice même. Il disait que j'avais cette façon fourbe (presque espiègle) de demander les choses sans qu'on ne puisse me les refuser. Il était évident que comme ma mère, je refusais l'échec, l'autorité, et les démonstrations de sentiments (autant venant de moi que vers moi). Je n'avais pas été éduqué ainsi, je n'étais pas expansive, je n'étais pas démonstrative, j'étais comme qui dirait un bloc de glace. On me pensait hautaine et sans cervelle, genre "bourgeoise qui pète plus haut que son cul" (excusez l'expression) mais ce n'était qu'une image, parce que c'était comme ça qu'il fallait jouer. C'était peut être très cliché, mais nous considérions (ma mère et moi) que moins les gens en savaient sur notre compte, mieux nous nous portions. Nous n'étions pas avides de ragots, pas le genre à aller répandre des commérages, et elle m'avait toujours dit qu'il ne fallait surtout pas, SURTOUT PAS, se laisser aller devant qui que ce soit : la colère, la tristesse, même la joie, tout ça devait être enfoui bien au fond et gardé le plus longtemps possible " Si tu as envie de pleurer, alors attend d'être seule dans ta chambre. Personne ne doit jamais te voir. " Nous avions eu une éducation stricte ma soeur et moi, mais j'avais beaucoup plus baigné dans les exigences de ma mère que ma cadette. Elle avait voulu faire de moi une femme d'esprit, brillante, féministe incroyable et convaincue, qui ne renoncerait à rien et qui ne se laisserait pas faire, par personne. Au fil des années, ma mère et moi entretenions une relation étrange, entre la complicité et la rivalité, elle m'en demandait toujours plus, ne se gênait pas pour me critiquer et me rabaisser, " pour mon bien " disait elle, et j'avais fini par la prendre en horreur, refusant de lui adresser la parole, mettant en pratique les techniques qu'elle m'avait elle même apprise pour me venger de son comportement. Je l'ignorais avec joie et lorsqu'elle insistait je devenais alors sarcastique et nos échanges s'électrifiaient, mais toujours dans la retenue, jamais l'une de nous n'avait haussé la voix, parce que ce n'était pas dans nos principes. Jamais l'une de nous n'avait insulté l'autre, n'avait fondu en larmes ou claquer la porte, nous étions deux adversaires prêtes à nous blesser, mais dans les règles de l'art s'il vous plaît. Ma soeur et mon père subissaient tout ça, heureusement pour eux, nos rencontres étaient assez rares, la plupart du temps nous nous contentions de nous ignorer. Ma soeur prenait le parti de ma mère, parce qu'elle jugeait que j'en faisais trop alors qu'il était naturel pour ma mère d'être insupportable. Mon père était au milieu, torturé entre son amour aveugle pour sa femme et celui pour sa fille bien aimée, l'aînée. Heureusement, je m'étais toujours bien entendue avec les deux autres membres de ma famille, ma soeur et moi n'avions que deux ans de différence et dés lors, nous avions grandis ensemble, allant dans les mêmes écoles, lisant et regardant les mêmes choses. Nos caractères étaient très différents mais nous n'étions jamais réellement entrées en conflit, il arrivait que nous nous disputions, comme tous les frères et soeurs, mais ça ne durait jamais longtemps. En fait, nous ne pouvions nous passer de la présence de l'autre. Elle était pour moi ma meilleure amie, la personne à qui je faisais le plus confiance et qui, j'en étais sûre, ne me trahirais jamais. Pour ce qui était de mon père, puisqu'il voyait en moi ma mère, il ne pouvait que m'adorer. Nous passions beaucoup de temps ensemble, entre café, match de tennis et week-end à Londres et nous nous étions toujours bien compris, j'étais plus avenante et docile que ma mère, nous discutions, allions au théâtre ensemble (parce que ma mère n'en pouvait plus de voir tous ces gens qui se ruent au théâtre pour faire bon genre et que ma soeur détestait ça).. Concernant ma scolarité, elle avait toujours été sans accroc ni difficulté. Je travaillais sérieusement, autant par obligation que par plaisir. J'avais obtenu un bac ES avec mention très bien, gagnant ainsi l'entrée à SciencesPo Paris, l'école que j'avais convoité pendant des années. J'ai également connu plusieurs amours, il y avait eu Alban mon meilleur ami dont j'étais tombée amoureuse était enfant mais dont le caractère insupportable (à mon goût) m'avait vite refroidi, il représentait cela dit une valeur sûre et une personne sur laquelle je pouvais compter et notre amitié n'avait jamais connu aucune embûche ! J'avais eu une relation de deux ans avec un garçon au lycée, un amour d'adolescent, passionné et fougueux, insouciant et sans limite.. Nous n'avions peur de rien, nous faisions de grand projets comme si nous allions passer le reste de notre vie ensemble, nous nous étions aimés oui, pendant longtemps, mais toutes les bonnes choses ont une fin et notre histoire s'était terminée lorsqu'il s'était envolé pour l'Angleterre afin d'y faire ses études. Si je nourrissais une peur extrême de tomber amoureuse et de m'engager, lorsque les choses se passaient bien et qu'il m'arrivait de m'ouvrir à un garçon, alors je savais être la meilleure des petite amie, puisque l'amour était à considérer comme n'importe quoi d'autre, comme un réel challenge, j'étais passionnée et dévouée à cent pour cent, corps et âme, à celui que j'aimais et prête à tout pour que notre histoire fonctionne. Mais avant d'arriver là, il fallait bien évidemment percer l'énorme carapace (coquille serait un terme bien trop léger) qui m'entourait. HORS JEU ▹ GROUPE : métro/boulot/dodo▹ AVATAR : miranda kerr ▹ SCENARIO ou PERSONNAGE INVENTE : pi ▹ PSEUDO/PRENOM : backflip/elise▹ ÂGE : 19 ans et demi passé ahaha *OUT* ▹ OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : j'suis tombée dessus en faisant un tour en bicyclette ▹ PRESENCE : 4/7, ça dépend des périodes, des exams, des vacances.. etc. Mais le plus possible because i love you guys
LDANCOURT « Tous les moyens sont bons quand ils sont efficaces. »