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nous sommes fières de t'accueillir sur la version 2.0 de FOQUE YOU, I'M PARISIEN nous te souhaitons la bienvenue parmi nous et nous espérons que tu t'y sentiras comme chez toi !
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I RIEN, JE SUIS... têtu, borné, attachant, rancunier, jaloux, amical, sociable, souriant, positif, optimiste, travailleur, acharné, intelligent, charmeur, bougon.
J'AIME le sport ✘ le foot ✘ les femmes ✘ sa soeur, Elodie ✘ voyager ✘ les films comiques et d'action ✘ la plage ✘ l'été ✘ le sexe ✘ les langues étrangères ✘ conduire ✘ les cafés Starbucks ✘ manger au Fouquet's ✘ écrire ✘ la photo ✘
JE N'AIME PAS le froid ✘ l'hiver ✘ se déplacer pour aller voter ✘ la politique ✘ son père (enfin c'est compliqué) ✘ les légumes ✘ les films d'amour ✘ la fumée de cigarette ✘ les alcools forts ✘ la pluie ✘ sa santé ✘ le fait d'être cardiaque ✘ le piston ✘
L'HISTOIRE « Petite citation de la mort qui tue ! »
« Gabin ! Gabin ! Nom de Dieu, mais où est encore passé ce gamin ?! Gabin » Le majordome poussa un soupir lourd de ressentis et quitta le petit salon où, apparemment, le « gamin » n’avait pas résolu de se cacher. Tout du moins pour cette fois. Six ans, l’âge des petites bêtises en bande organisée, du foot et des cascades dans la boue. La maison Langlois, comme on l’appelait partout à la ronde, était bien trop immense pour un petit garçon de six ans, qui passait ses journées seule à la maison, en compagnie d’un majordome qui n’était ravi que d’obéir à mon père, et une femme de chambre insipide. (L’adjectif n’était pas de moi, c’était ma tante Gabriella qui l’avait utilisé lors de l’une de ses visites. Pour elle, Marietta faisait parti de ces gens qui n’avaient d’opinion personnelle pour rien et semblaient n’avoir jamais eu un gramme d’ambition. Quand bien même son jugement fût résolument hautain, elle n’avait pas réellement tord sur certains points). Quand à ma mère… Papa disait qu’elle était fatiguée. Mais à mon sens, fatiguée depuis six ans. Alors je ne la voyais jamais. Elle était presque toute l’année dans des établissements de remise en forme. Je le savais après que papa eût laissé traîner un prospectus sur lequel il avait collé un post-it où il précisait à Valéry, notre majordome, d’appeler le numéro pour savoir s’il leur restait des places. Il avait sans doute dû penser que ça ne risquait rien ou pas grand-chose ; vous pensez bien, il ne savait même pas que je savais lire. Un jour que je montais dans ma chambre, à mi-parcours du long couloir, je me figeai, les oreilles aux aguets. Des cris raisonnaient un peu plus loin. Avançant lentement, sans faire de bruit, je tournai à l’angle du couloir, pris à gauche et m’approchai en silence de la porte du fond. Papa m’avait interdit d’aller ici. C’était la chambre de maman. La porte était fermée, mais les cris étaient tellement forts qu’on l’aurait cru ouverte. « … Elina ! CALME-TOI ! », s’époumonait mon père. « Tu ne comprends pas ! JE REFUSE DE PARTIR ! », hurlait ma mère, d’une voix suraigüe. Je fis un bond en arrière quand quelque chose fut jeté au sol et explosa en mille morceaux dans un grand fracas. Un vase, à en juger par le bruit. «Elina, tu ne peux pas rester ici ! Tu as besoin de soins ! », explosa mon père. Un cri aigu, tranchant comme une lame de rasoir, retentit. « LACHE-MOI ERIC ! LACHE-MOI » Ses paroles se transformèrent en cri sur la dernière syllabe. Il aurait certainement fait exploser la vitre derrière moi si la porte avait été ouverte, j’en étais persuadée. « Tu es ingérable ! Tu veux faire du mal à ton fils ? A ta fille ? », insista mon père. STOMP. Le bruit de quelqu’un se jetant à genoux à terre. Des sanglots retentirent. « Non… », murmura ma mère dans un hoquet. « Cette clinique fait des merveilles », assura mon père d’une voix douce. Puis, tout sembla voler en éclat. Le silence n’avait duré que quelques secondes. Mais déjà, la crise reprenait. « NE ME TOUCHE PAS ! NE ME TOUCHE PAAAS !! » A nouveaux les cris suraigus, cette folie dans la voix. Le bruissement des tissus indiquaient clairement qu’elle se débattait. « JE NE VEUX PAS ! LACHE-MOIII !! » « Pense à Gabin… Pense à ta fille… », s’exclama mon père, d’une voix suppliante. Et le silence. La respiration saccadée, les sanglots. « Dis-leur que je les aime… », murmura ma mère dans un nouveau hoquet. Ma respiration s’était accélérée comme jamais. Mon cœur tambourinait. Je ne pouvais plus rester ici. Je fis demi-tour et m’enfuis en courant. HORS JEU ▹ GROUPE : yves saint laurent ▹ AVATAR : hunter parrish ▹ SCENARIO ou PERSONNAGE INVENTE : pi ▹ PSEUDO/PRENOM : PINGUS., Camille ▹ ÂGE : 16 ans ▹ OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : j'y étais
Dernière édition par Gabin A.-T. Langlois le Dim 3 Mar - 15:59, édité 3 fois
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Sujet: Re: GAB ✘ Make all your dreams come true Dim 3 Mar - 15:16
En couple avec moi REBIENVENUE
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Sujet: Re: GAB ✘ Make all your dreams come true Dim 3 Mar - 15:44
Rebienvenue
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Sujet: Re: GAB ✘ Make all your dreams come true Dim 3 Mar - 16:01
Autovalidation
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Sujet: Re: GAB ✘ Make all your dreams come true Dim 3 Mar - 17:29
Bienvenue
Carrie T. Vuitton
▹ A PARIS DEPUIS : 23/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 221 ▹ PSEUDO : fucking face. ▹ CREDITS : Kowalski. (avatar)