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nous sommes fières de t'accueillir sur la version 2.0 de FOQUE YOU, I'M PARISIEN nous te souhaitons la bienvenue parmi nous et nous espérons que tu t'y sentiras comme chez toi !
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I ♥ RIEN, JE SUIS... Décrire Victoire, c’est comme vouloir mettre en scène l’ensemble de la pièce de Lorenzaccio, cela prendrait des jours et des jours sans qu’on n’en voie le bout. A vrai dire, elle fait parti de ces gens énigmatiques qui laissent un souvenir impérissable d’eux, ces gens que l’on ne peut oublier, ces gens qui perturbent. Victoire semble pourtant comme n’importe quelle jeune fille de son âge, un peu à côté de la plaque, attirante, mystérieuse mais absolument adorable. Vous savez, le genre de fille que l’on a envie d’aimer, que l’on a envie de protéger et pour qui on ferait absolument tout pourvu qu’elle décroche un sourire ou qu’elle accepte de prendre un verre avec vous. Elle a un côté terriblement attachant avec ses moues perplexes de celle qui ne comprend pas de quoi on lui parle. Son jeune âge lui donne également un petit côté enfantin auquel il est difficile de résister, surtout quand elle se met à bouder comme elle sait si bien le faire. Son côté adorable va de paire avec son côté attirant. Elle n’a certes pas un physique de mannequin ni un visage de femme fatale mais son visage n’est pas sans rappeler celui des poupées de porcelaines et contre toute attente, celle qui craignait hommes attire pourtant tout autant. J'AIME écrire ici des choses qu'aime votre personnage, ce peut être des habitudes qu'il a prise et qu'il aime renouveler, ses goûts musicaux, filmiques, etc.. 7 choses au moins. Et hanc quidem praeter oppida multa duae civitates exornant Seleucia opus Seleuci regis, et Claudiopolis quam deduxit coloniam Claudius Caesar. Isaura enim antehac nimium potens, olim subversa ut rebellatrix interneciva aegre vestigia claritudinis pristinae monstrat admodum pauca. JE N'AIME PAS Pareille qu'au dessus, sept choses (au moins) que n'aime pas votre personnage. Et hanc quidem praeter oppida multa duae civitates exornant Seleucia opus Seleuci regis, et Claudiopolis quam deduxit coloniam Claudius Caesar. Isaura enim antehac nimium potens, olim subversa ut rebellatrix interneciva aegre vestigia claritudinis pristinae monstrat admodum pauca.
L'HISTOIRE « Petite citation de la mort qui tue ! »
L’enfance est probablement la plus belle période de vie qui soit, entre innocence et insouciance, comment pouvait-il en être autrement ? Un enfant n’a aucune conscience du danger qui l’entoure et encore moins de la triste réalité et pourtant, pour certains le conte de fée s’arrêtait bien plus vite que prévu. Victoire était de ces petites filles abreuvée de Disney rêvant de devenir une princesse une fois grande, une fillette dont le plus grand malheur était d’être née brune et non pas blonde comme les blés comme Aurore ou Cendrillon (De damne, sa préférée devint Belle) Une petite fille rêveuse qui scrutait le visage de chacun de ses camarades de classe en recherche du prince charmant (et se fit inscrire aux cours de poney car il est bien connu que tous les Princes Charmants ont un cheval, il lui parut donc logique de trouver son Prince au club hippique du canton) et réclamait de belles robes à volants pour la faire virevolter jusqu’à en avoir le tournis. Elle demanda également à faire de la danse. Victoire mena donc une enfant heureuse entourée de ses deux parents cédant au moindre de ses caprices, après tout, Arthur Gainsborough, ingénieur Canadien avait suffisamment de revenus pour subvenir aux besoins (et exigences) de sa femme et sa petite princesse. Entre eux, une forte complicité s’était forgée et au fond, elle savait bien que c’était son papa son vrai Prince Charmant, dommage qu’il refusa d’acheter un cheval. Cette enfance heureuse dura près de six ans sans qu’il n’y ait le moindre accroc, la moindre difficulté ou turbulence. Non sa vie de princesse se déroula sans embuches et à cet âge-là, on lui disait encore que le père-noël était passé pendant sa sieste. Puis un jour, son monde bascula. Son prince charmant, le vrai, n’était plus. On l’avait cherchée à l’école au beau milieu de l’après-midi alors qu’ils étaient en plein exercice de calcul, on avait toqué à la porte et demandé à la maîtresse de venir un instant. Victoire avait levé la tête avec un grand sourire mutin pour copier sur son voisin mais remarqua bien vite qu’il avait tout faux puis, ils revinrent. La maîtresse et même le directeur. Avec une drôle de tête d’ailleurs. « Victoire ma chérie, tu peux venir avec M. Hemlot s’il te plait ? » Écarquillant les yeux, la petite princesse avait perdu ses couleurs et regardé à gauche et à droite d’un air paniqué. Quoi ? Promis juré craché elle n’avait rien fait ! Elle s’était alors levée avec l’envie de pleurer sans même savoir pourquoi, persuadée d’être punie. Mais une fois dans le bureau, personne ne la gronda, personne ne lui cria dessus, au contraire, M. Hemlot qui la terrifiait tant avec ses grosses lunettes se montra aimable et lui offrit une image. Un autocollant de poney. Puis soudain, sa mère Agnès avait surgit dans le bureau, le visage bouffi et les yeux rougis par le chagrin et d’un geste précipité, elle se jeta sur la fillette et la serra dans ses bras. « Oh ma puce, il est arrivé quelque chose à papa » C’est ce que Maman avait dit à Victoire mais aux yeux de la petite fille, Agnès Gainsboroug aurait mieux faire de dire « Il est arrivé quelque chose à Victoire » voilà la vérité à laquelle l’enfant ne démordait. Voilà quelques temps que son père n’était plus et pourtant, jamais la fillette ne s’en remit réellement. Assise sur les marches de l’escalier de bois vernis, l’enfant observait de ses grands yeux noisette ces hommes qui leur dérobaient leurs meubles, lui adressant quelques sourires vains et autres coucous inutiles. Assise en tenant son vieux lapin en peluche dans ses bras, la gamine observait ces hommes en bleu travailler sans même sembler les voir, perdu dans un monde auquel les adultes ne pouvaient pénétrer. Elle ne comprenait pas ce qui se passait, elle ne comprenait pas pourquoi ces inconnus leurs prenaient ces meubles que Papa avait choisi avec tant d’amour du temps de son vivant. Non, elle ne comprenait pas pourquoi plus rien n’allait depuis qu’il était arrivé quelque chose à papa. C’était un accident de la route qui l’avait tué, même pas un crash aérien, une bombe nucléaire ni même une attaque de dinosaures, non, c’était juste deux voitures qui n’auraient jamais du se rentrer dedans qui l’avaient tué. Lui, son prince, son super-héro. Un verre de trop entre collègues après une conférence d’on-ne-sait-quoi et puis c’était la fin. Papa n’était pas immortel ni parfait. Il avait juste fait une erreur et en avait payé de sa vie. Alors on leur prenait leurs meubles. Victoire ne comprenait pas, ne comprenait plus rien, elle était trop petite. Soudain une main tendue vers elle avec un carambar. Elle leva ses grand yeux sur l’homme en bleu qui lui souriait d’un air gentil. « C’est difficile de voir la maison se vider, j’ai une fille de ton âge, elle aussi déteste les déménagements. » dit-il d’une voix douce. Une voix de papa. Mais ce n’était pas le sien et sans répondre, sans prendre la friandise, la fillette se leva et alla se réfugier dans sa chambre. Sa chambre tellement vide à laquelle même les murs avaient été dépouillés de leur âme laissant apparaître des carrés colorés là ou s’étaient trouvés ses anciens dessins. Maintenant on ne voyait plus que la tapisserie délavée par le soleil et carrés de couleur. Assise par terre, la fillette comptait les carrés, elle comptait tout le temps et tout. Combien de rectangles ? Combien de carrés ? Combien de trous de punaise ? Ses yeux voyaient loin. Maman se tenait à l’embrasure de la porte, elle l’avait entendue arriver et entendait sa respiration, elle ne mit pas longtemps à venir s’asseoir à côté d’elle. Silence. Une minute. Trois. A cinq Maman finit par briser le silence, elle n’aimait pas ça elle. « Ma puce, ça va aller, ne t’inquiète pas. Tu vas voir, tu seras heureuse à Paris. » Une voix rassurante qui glissa sur la fillette sans qu’elle n’y réagisse. Une minute. « Est-ce que Papa sera là ? » finit-elle par demander d’une voix neutre en posant son regard sur la fenêtre sans rideaux. Un petit soupire se fit entendre à côté d’elle, elle sentit l’haleine de maman. Elle avait fumé de la cigarette, Papa n’aurait pas aimé qu’elle fasse ça. « Non Victoire, tu sais bien que Papa est au ciel. » répondit-elle d’une voix peinée plongeant l’intéressée dans ses songes, comme perplexe. Victoire savait qu’il était mort et pourtant, elle demandait encore et toujours, le stade des « pourquoi » commun à tous les enfants semblait pourtant dépassé depuis longue date. « Est-ce qu’Alain sera à Paris ? » finit-elle par demander à nouveau, sur un même ton absent, mécanique. Ses doigts grattaient le front de sa peluche, nerveusement. « Oui ma chérie, Alain sera avec nous. » concéda Agnès avec un léger sourire au bord des lèvres, cela s’entendait au son de sa voix. La fillette tourna alors la tête vers sa mère et d’un ton monocorde exempt de toute émotion : « Alors je ne serais pas heureuse »
Ce n’était pas un bel appartement, il n’y avait pas les beaux meubles, il n’y avait pas les grandes baies vitrées ni même le jardin, ne songez même pas à l’air iodé du bord de mer. Non, Paris ce n’était que bruit, grisaille, pollution et soupe à la grimace. Victoire avait su qu’elle détesterait Paris, qu’elle ne serait pas heureuse. Maman l’était par contre, elle était heureuse et chantait. Maman allait se remarier et Alain deviendrait son nouveau papa, c’est Agnès qui l’avait dit. Victoire n’avait pas répondu et s’était simplement assise sur les WC pour regarder par la lucarne de la salle de bain, le monde de ses rêves était devenu son refuge depuis bien des années déjà. Le bonheur de sa mère la rendait malade et plus encore les allusions sur leur future petite famille parfaite et heureuse. Victoire le détestait, ce Alain. De toute son âme, de tout son cœur et parfois quand il lui passait la main dans les cheveux, elle avait envie de vomir. Alain c’était le nouveau Jules d’Agnès, un collègue à elle ou quelque chose dans ce genre, un homme qui faisait de grands sourire et qui offrait des tas de cadeaux à Maman mais Victoire ne l’aimait pas. C’était à cause de lui qu’ils avaient vendu la maison de Bretagne pour aller vivre dans ce petit appartement moche, c’est à cause de lui que Maman n’était jamais à la maison parce que lui, il ne travaillait plus et c’était à cause de lui qu’elle avait mal. Elle détestait son odeur, ces bruits dégoutants qu’il faisait avec sa bouche et plus encore quand elle sentait peau rugueuse sur elle et puis, ça faisait tellement mal qu’elle avait envie de crier, mais quelque chose se bloquait dans sa gorge, aucun son ne venait alors elle attendait, elle attendait qu’il reparte regarder la télé, attendait le retour de Maman qui lui demanderait comment a été sa journée, si ça avait été à l’école tout ça. Son lapin en peluche avait pelé depuis bien longtemps sur son front. Alors devant l’air ravi de Maman, Victoire se taisait encore, comme elle le faisait depuis toujours, de toute façon elle n’avait pas les mots pour raconter sa journée. Pas de mots pour raconter comment Alain était gentil.
Elle ne savait plus comment c’était arrivé, ni pourquoi on lui avait posé toutes ces questions, comme un trou noir dans sa mémoire. C’était à l’école et les professeurs se plaignaient de plus en plus de son manque d’attention, son changement de comportement passant des périodes d’absences mentales à celles de crises épouvantables quand quelqu’un avait le malheur de la toucher puis un jour, l’infirmière scolaire lui avait demandé si quelqu’un lui faisait du mal. Sans trop savoir pourquoi, Victoire avec hoché la tête d’un air perplexe, comme si elle se surprenait elle-même de répondre. Un sourire pincé était apparu sur le visage de l’infirmière quand elle demanda ce qui s’était passé. Question ouverte, Victoire resta muette et se mit à compter les stores derrière l’épaule de la bonne femme, cette dernière reprit alors d’une voix douce et reformula, est-ce que quelqu’un te fait du mal là. Des gestes, des mots et un nouvel hochement de tête de la fillette de neuf ans. Si elle avait su ce qui arriverait alors, elle aurait continué à compter. Elle ne se rappelait plus très bien mais on l’emmena à l’hôpital pour vérifier son « là » meurtri et la vérité éclata au grand jour. On lui prit la main et on l’emmena quelque part alors que Maman arrivait complètement paniquée, lui criant de dire la vérité, de dire qu’elle mentait. A partir de ce jour-là, Maman était morte à son tour à ses yeux d’enfant déboussolée, mais Maman n’alla pas au ciel comme Papa, non Maman resta bien sur Terre, l’enfer de Vic. Placée dans un foyer puis dans une famille aimante, Victoire changea pourtant peu à peu, se terrant dans son monde parallèle en méprisant son entourage, ces gens qui faisaient semblant d’être heureux, ces gens qui feignaient de l’aimer alors qu’elle ne les connaissait même pas. L’enfant Lune ne se transforma pas en monstre du jour au lendemain mais son attitude devint pour le moins étrange, comme une alien parmi les gens sains, ou alors une humaine parmi les fous, elle ne savait plus trop. On ne la violait plus et pourtant, sans la douleur sa vie lui parut monotone, ne dit-on pas qu’on n’apprécie que davantage les bonnes choses une fois les mauvaises passées ? Ainsi Victoire entreprit d’achever ce que son beau-père lui avait fait en se blessant elle-même. Tous les moyens étaient bons, coupures à la lame de rasoir, brûlures aux flammes de bougies ou à l’eau bouillante, plus d’une fois elle fut surprise en train de s’appliquer le fer à repasser sur la peau, lui tirant d’énorme larmes sans qu’elle ne puisse stopper cette folie. On la renvoya de plusieurs familles qui ne pouvaient plus supporter cette odeur de chair brûlée ou ces traces de sang sur ses tissus. Les psychologues eux-mêmes étaient impuissants face à cette surprenante dépendance à l’endorphine. A douze ans, Victoire en était déjà à sa sixième famille, oh elle n’était pas de ceux qui enchainaient les bêtises, non l’enfant était extrêmement polie si ce n’est sa fâcheuse tendance à ne communiquer qu’épisodiquement avec le monde qui l’entourait. Autisme ? Absolument pas, aucuns troubles mentaux ne furent détectés. C’est alors qu’elle fut placée dans une petite famille de bourgeois dans Paris. Expérimentés, l’attitude de Victoire ne les effrayait pas et puis, ils avaient un autre gamin en charge, un gamin qui volerait bientôt de ses propres ailes : Maxime Lione. Au départ, Victoire resta fidèle à elle-même, c’est-à-dire totalement indifférente et hermétiquement fermée aux contacts, après tout avec ses dix-huit ans, il ne venait pas de la même planète ! Ils étaient bien différents l’un de l’autre, elle enfermée dans sa bulle et lui prêt à exploser de colère à la moindre contrariété, leurs dimanche après-midi étaient bien joyeux quand le jeune homme se mettait dans une colère noire en hurlant contre ces « parents » qui n’en étaient pas alors qu’elle, assise par terre, continuait son dessin comme sourde aux cris et insensible aux objets qui volaient. Un jour pourtant, Maxime fit son entrée dans le monde de Vic, bien malgré lui d’ailleurs. Victoire s’occupait sagement seule dans sa chambre, posant la lame du canif sur son bras pour finalement le laisser fendre sa peau qui se recouvrit aussitôt de sang d’un rouge profond. Un gémissement lui échappa des lèvres quand il apparut sur le seuil de la porte avant de se précipiter vers elle. Il tenta de lui retirer le couteau des mains et empoigna la lame à pleine main, coupant profondément sa paume alors que Victoire, toujours assise à terre l’observait d’un drôle d’air. Comme si, après des années à porter un voile devant ses yeux, l’avait brutalement retiré. Elle voyait Maxime pour la première fois et prit alors le temps de le détailler. Il y avait en lui quelque chose de grave et enfantin à la fois, un air typique de ceux à qui on avait volé l’enfance mais il y vit plus encore sans qu’elle ne puisse se l’expliquer et à partir de ce jour, il devint quelqu’un pour elle. A partir de là, son comportement vis-à-vis changea du tout au tout. Fascinée par ce garçon qu’elle considérait comme supérieur, elle le prit comme véritable modèle et ne le lâcha plus d’une semelle. Le pauvre, il ne pouvait plus faire un pas dans la maison sans la trouver assise dans un coin à l’observer sans rien dire, elle ne cherchait pas à entrer en contact avec lui pourtant, elle avait simplement besoin de lui dans son monde repoussant toujours plus loin les limites qu’il tentait de lui imposer. Un jour pourtant tout bascula quand, innocente qu’elle était, elle vint se glisser sous ses draps, réveillée par un nième cauchemar, de ces cauchemars qui l’empêchaient de fermer les yeux, ces cauchemars qui la plongeaient plus profondément que jamais dans son monde qui ne parvenait plus à la rassurer. Alors quelle autre solution que de trouver celui avec qui elle se sentait en sécurité ? C’est donc à pas de loup qu’elle avait rejoint sa chambre, se faisant une place sous ses couvertures pour finalement se blottir contre son corps chaud et rassurant. Maxime ne tarda pas à se réveiller et constater avec horreur la tête brune enfouie contre son torse alors même qu’il ne portait rien sur lui. Il s’était vivement reculé et pourtant, elle ne se laissa pas décourager pour autant, inconsciente du problème épineux du jeune homme se retrouvant nu, au lit avec une gamine de douze ans elle-même tout juste vêtue. Il prononça pourtant un mot de trop, un mot qui lui rappela soudain son cauchemar et inexplicablement, elle le repoussa subitement avec une telle violence qu’il en tomba du lit. De quoi alerter leurs parents qui en tirèrent bien hâtivement leurs conclusions. Quelques semaines plus tard, Maxime s’en alla, laissant derrière lui une Victoire déboussolée, elle qui n’avait cherché qu’une présence rassurante.
HORS JEU ▹ GROUPE : Serge Gainsbourg ▹ AVATAR : Emily Browning ▹ SCENARIO ou PERSONNAGE INVENTE : Inventé ▹ PSEUDO/PRENOM : Desroses ▹ ÂGE : 22 ans ▹ OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : Via une membre de NYCL ▹ PRESENCE : Régulière
Dernière édition par Victoire Gainsborough le Jeu 4 Avr - 11:10, édité 30 fois
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Sujet: Re: Victoire. Le drame de ta vie. Mer 3 Avr - 9:47
emily welcome !
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Sujet: Re: Victoire. Le drame de ta vie. Mer 3 Avr - 9:58
VIIIICTOIIIIIRE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Bienvenue ici !
- On se connaît mais tu devras deviner qui je suis -
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Sujet: Re: Victoire. Le drame de ta vie. Mer 3 Avr - 10:31
Ah tu connais ma Vic...donc au hasard...Val ? (Ok ça se confirme, petit con va. )
Peut-on me réserver Emily Browning ? Ouais non, je suis une grande, je la réserve moi-même
Lila-Rose P. Leroy
▹ A PARIS DEPUIS : 09/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 877 ▹ PSEUDO : PINGUS. ▹ CREDITS : Tumblr + Frenchaddicted.
Sujet: Re: Victoire. Le drame de ta vie. Mer 3 Avr - 14:08
J'ai grillé la personne derrière l'écran quand j'ai vu "Gainsborough" Bienvenue Bon courage pour ta fiche, et si tu as la moindre question, nous sommes là
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Sujet: Re: Victoire. Le drame de ta vie. Mer 3 Avr - 14:40
" il est bien connu que tous les Princes Charmants ont un cheval, il lui parut donc logique de trouver son Prince au club hippique du canton " par expérience je peux dire que 99% des cavaliers sont des connards finis bienvenue, sinon
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Sujet: Re: Victoire. Le drame de ta vie. Mer 3 Avr - 15:51
Emily
Welcome
N. Mathilde Dumont
♪ I'm tired of feeling like I'm fucking crazy
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Sujet: Re: Victoire. Le drame de ta vie. Dim 7 Avr - 19:41
Bienvenuuue
Je t'informe aussi que ton délai de cinq jours s'achève demain soir à minuit. Si besoin est, tu peux bénéficier d'un délai de trois jours supplémentaires. Sans nouvelle de ta part, ta fiche sera considérée comme abandonnée et ton compte sera supprimé.
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Sujet: Re: Victoire. Le drame de ta vie.
Victoire. Le drame de ta vie.
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