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nous sommes fières de t'accueillir sur la version 2.0 de FOQUE YOU, I'M PARISIEN nous te souhaitons la bienvenue parmi nous et nous espérons que tu t'y sentiras comme chez toi !
si tu es nouveau, nous t'invitons à aller lire le règlement et le contexte. des scénarios sont également à ta disposition, n'hésites pas à y faire un tour et peut-être faire le bonheur de l'un de nos membres ! puis direction la fiche de présentation, tu as cinq jours pour la terminer.
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I RIEN, JE SUIS... La guillotine. Implacable, sanguinolente. Je suis le poignard aiguisé qui tua César. Je ne suis ni Judas, ni même Brutus. Je suis la fidélité personnifiée, la loyauté magnifiée. J’éradique l’avidité. Franc, manipulateur, j’arrive à te briser sans avoir à lever le moindre petit doigt. Mes mots suffisent, je conjugue à tous les temps la langue « honnête » mais il m’arrive de porter des coups, une fois ton dos tourné. Je me repose sur l’antique loi du Talion pour te blesser. Je divise pour mieux régner : objet de discorde. Je suis assis dans la pénombre, sifflant une cigarette, attendant patiemment que les têtes tombent. L’orgueilleux, le roseau qui plie sans rompre. L’homme qui déteste ardemment la demi-mesure. Je suis sur les photos, tu sais, celui dont le sourire n’atteint jamais les yeux. Je te prie d’aller te faire foutre. Je suis moi, rien d’autre à ajouter. J'AIME La rébellion qui souffle lorsque le soleil à son zénith bénit les créatures robotiques. J’aime ce spectacle enchanteur ▲ La colère qui vivifie les sens, la fureur éclatante qui motive ▲ La musique classique qui emporte les maux dans un tourbillon enivrant ▲ Apprécier ma liberté, l’imposer aux autres. Leur faire entendre ma voix, suivre ma voie, les laisser pantois ▲ Plonger mon nez dans un bouquin, dans un silence complet ▲ Hurler à la lune ▲ Contrôler, tout contrôler. Savoir en présence de qui est-ce que je me trouve. Savoir où je vais. Ce qui va m’arriver. Je ne laisse rien au hasard ▲ Dédaigner les culs-terreux incapables de distinguer un Van Gogh d’un Monet ▲ Rire des gens disgracieux ▲ Parier. Miser gros. Tirer les ficelles des pantins à mon service comme le plus prometteur des marionnettistes ▲ Vous envoyer rouler des mécaniques ailleurs. Bordel, ne pompez pas mon air, bande de gueux. JE N'AIME PAS Perdre mon temps. Temps si précieux ▲ Oublier ce qui m’a un jour écorché l’âme ▲ Aboyer : nous ne sommes pas des animaux ▲ Les catins arrivistes ▲ Les gigolos en manque de fric ▲ Les escrocs ▲ Souffler les bougies comme on soufflerait sur une vie ▲ Le crissement des pneus résonnant dans une nuit noire ▲ Les voix désagréables comme le toussotement d’une vieille bagnole ▲ Les baveux ▲ Signaler l’évidence ▲ Ceux qui vivent du mauvais côté du périph’. Les Banlieusards ▲ Parler anglais ▲ Donner l’heure ▲ Tous ceux qui me tiennent tête. Allons, laissez-vous avoir.
L'HISTOIRE
« dans mon corbillard dans ma cadillac noire je cache les tombeaux de tous les cœurs brisés»
« Sois sage, ô ma douleur, et tiens-toi plus tranquille ! »
Le vent qui souffle et qui balaye précautionneusement les feuilles mortes, à ton image. Il y a ces pleures qui s’élèvent autour comme des cris de désespoirs. Nos visages livides, empreints d’une tristesse cajolante. Il y a ces gouttes de pluies qui s’abattent avec délicatesse, sur nos joues se mêlent aux larmes salées. Cachés derrières nos verres sombres griffés, on s’écorche, on se pète. Le cœur tambourinant contre nos côtes, hurlant à tout rompre, battant le sang dans nos veines, drainant avec toi, l’étincelle jusqu’à oublier de teinter nos joues. Tu as tout emporté. La joie de vivre, la paix avec toi s’est évaporée. Délestés de notre bien le plus précieux, nous nous sommes sentis perdus. La fatalité puissante nous a laissé exsangues. Cette journée-là, je me souviens du spectre qui s’en est allé au loin. De ce mot à deux syllabes que je n'ai plus prononcé. Papa. Les jours qui se sont succédé perdus, éperdus d’une monotonie languissante, d’une agonie stupéfiante. Progressivement mutés en créatures insensibles nous nous vîmes dressés, les crocs acérées pour déchiqueter les chairs. Un combat avide contre ces hauts dignitaires, nos terres que nous nous disputions, l’héritage putride d’un homme qui n’avait pas assez vécu. Pétrifiés nous nous enfermions dans des mausolées, fiévreux des paroles adressées comme des suppliques silencieuses. Broyés, nous avons coulé. Nos carcasses, restes macchabées, se sont échoués sur les rives. Ectoplasmes errant dans ces couloirs glaciaux, vint un jour, un souffle chaud. La lumière explosa à nouveau. Recouvrant nos têtes d’une teinte d’or. Cet homme qui prit ta place, à nos côtés, pas dans nos cœurs.
« Le beau est toujours bizarre. »
Surprenante, décadente, mystificatrice voleuse de sommeil. Son ombre plana ce soir-là, de son corps elle m’enveloppa. L’incandescence brilla. Rayonnante comme la braise, elle forgea une épine d’argent qu’elle me planta dans le cœur. S’appropriant toutes les parcelles puis sans dire mot, s’enquérir de mes richesses. Porteur de corne à mon insu, ma vie était passée du terne au vermillon, la couleur du sang qui coula sur le menton de l’immonde compétiteur. Et mes lèvres s’affaisser. La déception prit tes traits alors que dans un cercueil gelé, on enferma mon palpitant.
Peut-être que j’ai juré. Aussitôt je me suis promis : « Dégage » je souffle, allumant une cigarette, l’expiration post-coïte, ‘histoire de remplacer le goût d’une chienne par le smog soufré : « Et qu’attends-tu ? ». Son regard sur moi déployant ses dernières munitions. Elle se sait égarée, brebis autrefois immaculée, enculée jusqu’à l’os : « Oh donc que je te paie ? ». La liasse de billets lancée négligemment sur elle : « Allez hop et ferme tranquillement après toi ». Précision inopportune, la gifle qui se perd contre ma joue. Les larmes qui coulent de ses yeux de chats. La porte, elle la claqua. Je ne suis pas né comme ça, comme ça, je le suis devenu.
« Paris ? Vraiment ? Mauvaise blague ou stricte vérité ? » Le sourire carnassier du beau-père salaud. Je fis mes bagages, envoyé en émissaire à la ville lumière. Là où j’étais supposé briller de mille feux, je fus emporté par la vilénie, les déboires tendancieux. Les afters où l’alcool pleuvait dans nos gosiers, la blanche à nos nez. L’ivresse des nuits jamais dépassée. Je me réveille encore avec la gueule de bois. Parce que la vie c'est la migraine qui gangrène à l'infini.
« Et le monstre s'éprit d'une belle »
Et le monstre s’éprit d’une belle cachée derrière des tonnes de conneries. Là, au coin d’une ruelle, elle l’insulta, vociféra, ses oreilles furent écorchées. Un sourire satisfait crispa ses lèvres et il lui promit qu’un jour prochain, ils se reverraient. Je n’ai qu’une seule parole, mademoiselle Morel. HORS JEU ▹ GROUPE : yves saint laurent ▹ AVATAR : Peter Badenhop▹ SCENARIO ou PERSONNAGE INVENTE : J'ai la gueule d'un scénario ? ▹ PSEUDO/PRENOM : Nouille trop molle sinon, tu peux m'appeler Altesse, grand bien m'fasse ▹ ÂGE : Tu veux la lune ? Va la chercher ▹ OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : Je l'ai connu, c'est.tout. Puis, je l'ai fait connaître : toute puissance ▹ PRESENCE : 03/7 jrs. J'vis à Matignon.
Dernière édition par Léotime De Polignac le Dim 14 Avr - 11:36, édité 17 fois
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Mar 9 Avr - 20:23
Ai-je le droit de tomber amoureuse de toi ?
(bienvenue)
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Mar 9 Avr - 21:04
Donne-toi tous les droits. Invente-en même si tu le veux
(merci)
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Mar 9 Avr - 21:14
Parfait, je t'aime alors
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Mer 10 Avr - 5:45
NON
j'suis pas d'accord
*pisse en passant*
Au faite, bienvenue nouille trop molle !
JE T'AIME
PAS
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Mer 10 Avr - 7:13
Bienvenue
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Mer 10 Avr - 8:11
Mademoiselle de Gas
Morel, Morel, Morel. Nouille trop molle qui devient dure une fois exposée à l'air ! Puis les délires mâle Alpha c'un peu châtreur C'est moi qui pisse, pas toi, tu es supposée être une Lady ! Nanmé où va le monde ?
Puis, on s'en branle qu'tu sois d'accord ou pas, femelle
Cimer mon bon Matthieu
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Mer 10 Avr - 8:15
J'vais t'faire bouffer ton doigt et PAS par la bouche !
Une lady ? PFFFFF
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Mer 10 Avr - 8:17
Tant que tu m'touches, j'ai envie de dire : essayes toujours
Arrêtes-moi ces sautes d'humeur, on dirait un doberman
Dernière édition par Léotime De Polignac le Mer 10 Avr - 8:21, édité 1 fois
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Mer 10 Avr - 8:20
Bwahahahahaha
Bah quoi ? faut bien qu'ta face soit isocele, viens mon mignon, j'vais t'faire une autre cicatrice
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Mer 10 Avr - 8:23
Une gueule isocèle , ta tête au carré. On sera géométrique ( <= que j'aime ce smiley, il est tellement à mon image)
Bwahahaha : non.
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Mer 10 Avr - 8:26
Faut bien qu'il y aie trique quelqu'part vu que t'es pas capable de l'être
BOOM
J'avoue, il t'ressemble bien ! Vulgaire c'te nouille, vulgaire
SOOOO j'arrête d'flooder ta vie, j'vais m'faire taper et j'sais que t'attends qu'ça !
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Mer 10 Avr - 10:59
t'es pas bien beau, mais bienvenue quand même ( jalousie mode on )
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Mer 10 Avr - 12:05
Gabriela VTFF. ( mpotte-moi, sale hyène)
Toi, t'es dégueulasse, vite j'saigne des yeux ( sinon, je désactive ton mode jalousie à l'aide d'une chanson d'Patrick Sébastien)
De rien. ( )
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Mer 10 Avr - 19:02
Welcome
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Mer 10 Avr - 20:00
AVOUE MES MP te manquent ! *sors*
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Jeu 11 Avr - 7:02
Je suis amoureuse de ton style ! Hier j'étais genre :"il m'a tué c'est bon j'ai décédé"...
Bienvenue en tout cas !!!!!
PS : et puis les paroles de Damien Saez je crois que j'ai mourus une seconde fois 8D
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Jeu 11 Avr - 15:42
Dante
Morel, à la niche
Charles-Henry, si j'eusse été une fille Hélàs, je suis un homme Cela dit, changeons de sexe Arrêtes saligaud, je rougis
Puis Saez
Sinon, merci
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Jeu 11 Avr - 16:45
Oh on peut devenir gay aussi /SBAFF
Rougis car tout ce que j'ai dis est vrai... Je... Je ne peux t'enlever mais te demander un lien et un rp lorsque nous serons validé est-ce que c'est possible ?
Invité
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Jeu 11 Avr - 16:48
Oh pour cela demande à Morel
Pas m'enlever mais me séquestrer ( cela dit, ça revient au même ) Et pour les liens et RP, évidemment
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Jeu 11 Avr - 17:28
Et toi il faut que tu demandes aux deux femmes de ma vie
Han génial ! *O* Je suis vraiment tombée amoureuse de ton style magnifique !
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Ven 12 Avr - 9:47
La nouille, elle fait chavirer les coeurs !
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Ven 12 Avr - 11:40
Bienvenue
Lila-Rose P. Leroy
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée Sam 13 Avr - 21:31
Bienvenuuue J'aime le pseudo
Je t'informe aussi que ton délai de cinq jours s'achève demain soir à minuit. Si besoin est, tu peux bénéficier d'un délai de trois jours supplémentaires. Sans nouvelle de ta part, ta fiche sera considérée comme abandonnée et ton compte sera supprimé.
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Sujet: Re: LEO □ La déchirure d’une occasion ratée