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I ♥ RIEN, JE SUIS... Abordable, affectueux, attachant, authentique, franc, cash, impulsif, jaloux, bagarreur, compréhensif, rancunier, indépendant, épanoui, fêtard, joyeux, blagueur, excessif, intransigeant, lunatique et parfois puéril. J'AIME Deniz aime le chocolat chaud, les sorties cinéma avec ses amis, s'installer devant un piano ou prendre une guitare et jouer de la musique qui est l'une de ses passions depuis qu'il est petit. Il aime également danser en boite de nuit, prendre soin de son corps en faisant du sport, les voyages à travers le monde pour découvrir de nouvelles cultures. JE N'AIME PAS Deniz déteste le café, c'est plus fort que lui il n'arrive pas à en boire, il n'aime pas non plus les araignées, c'est quelque chose qu'il déteste plus que tout au monde. L'hypocrisie est quelque chose qui ne passe pas, il n'aime pas les gens qui se voilent la fasse et ne sont pas réalistes. Il n'aime pas se sentir seul et abandonné par les autres, il a besoin de se sentir intégré. Il n'aime pas perdre des patients à l'hôpital dans lequel il est interne depuis deux ans. Deniz n'aime pas le rock et encore moins le hard rock.
L'HISTOIRE « far away from home »
« Tu as envie de faire quoi l’année prochaine ? » Je relevais la tête lâchant la chicha dans laquelle j’aspirais la fumée parfumée aux fruits de la passion depuis une bonne trentaine de secondes. Je relâchais très lentement cette longue étendue de fumée blanche regardant mon ami sourire en me prenant des mains la chicha pour en faire autant. Voilà ce que nous étions, deux adolescents de dix-sept ans qui défiaient sans cesse les lois, deux petits cons comme pouvaient avoir envie de le dire nos professeurs qui souffraient de notre présence commune dans une classe. Peut-être que séparés nous aurions été plus calmes mais c’était impossible lorsque nous étions ensemble, nous croquions la vie à pleines dents sans jamais nous prendre la tête et c’est ce qui faisait toute la solidité de notre relation là où chacun s’embrouillait avec ses amis dans notre lycée ces derniers temps. « Je pense aller en médecine l’année prochaine. » Je ne sais pas ce qu’il y avait d’amusant dans mes propos mais en tout cas Rudy, mon fameux meilleur ami, était en train de s’étouffer, il ne s’attendait surement pas à ce que je lui dévoile une perspective de carrière très ambitieuse, rigoler avec de la fumée dans les poumons n’était pas quelque chose d’aisé et il était donc en train de tousser, tentant de reprendre son souffle tout en recrachant toute la fumée qu’il avait ingérée grâce à la chicha. « Hey, ne crèves pas au milieu de ta piaule mec, si ta mère apprends que j’ai ramené une chicha chez toi elle va m’étriper et me pendre avec mes propres tripes ! » La mère de Rudy était très caractérielle, divorcée et cougar, le genre qui ramenait des petits jeunes de notre âge à quelques années près pour leur faire voir ce qu’était une MILF, une femme du vingt-et-unième siècle quoi. Malgré son air superficiel elle tenait réellement à son fils et je me méfiais donc d’elle, elle m’adorait, j’étais son chouchou comme elle le disait si bien mais si j’osais pervertir son fils plus qu’il ne l’était déjà alors elle risquait de m’étrangler. Oh et je respectais beaucoup cette femme, je ne faisais donc rien qui pourrait la mettre en colère, du moins j’essayais. Pourquoi est-ce que j’étais aussi soucieux de ce qu’elle pensait de moi ? Que je vous explique. Si ma famille était très riche, avec un compte en banque estimé à plusieurs centaines de millions de dollars grâce à une firme multinationale que gérait mon père et aux quinzaines de chaines qu’implantaient ma mère pour sa marque de vêtements l’étranger. Leur succès me permettait de vivre loin des problèmes financiers c’est sûr mais je ne voyais ma mère que deux fois, peut-être trois par an lorsqu’elle revenait des Etats-Unis où elle connaissait le plus de succès et mon père… N’en parlons pas, il n’était jamais à la maison et était bien trop occupé à sauter ses petites stagiaires dans le dos de ma mère qui vivait avec le fait que son mari soit un salopard de première. J’étais donc seul dans une grosse baraque à Paris, aujourd’hui ça ne me posait plus vraiment de problèmes mais plus jeune ça n’avait pas été aussi simple que ça, la mère de Rudy avait donc toujours été présente pour moi comme une seconde mère et je passais énormément de temps chez elle. Mon meilleur ami n’était pas aussi riche que moi, sa mère avait du mal à finir les mois et je mettais souvent la main au porte-monnaie sans qu’elle n’ait besoin de me le demander, je lui serais redevable à vie pour tout ce qu’elle avait fait pour moi, m’héberger, me fournir la tendresse et l’amour qu’il me manquait… Passons, je regardais mon meilleur ami qui reprenait son souffle. « Désolé je suis juste… Surpris par ce que tu dis… Tu crois vraiment que tu pourras être admis en fac de médecine l’année prochaine ? » Pourquoi pas ? Je soupirais répondant d’un ton énergétique. « Et pourquoi pas ? » Il me regardait, gêné comme s’il s’apprêtait à me dire quelque chose que je risquais de très mal prendre. « Ce que je veux dire c’est… Tu n’as pas vraiment le niveau pour pouvoir suivre un cursus aussi important… Tu vois bien nos moyennes au lycée cette année. » Il n’avait pas tort, là-dessus, nous n’avions pas des moyennes exceptionnelles mais ça ne voulait rien dire à mes yeux. « Le lycée est trop général, ma section ne me plait pas forcément… Je suis passionné par la médecine, je suis certain que je pourrais enfin m’épanouir dans ce domaine. » Les minutes défilaient en même temps que notre débat sur la médecine prenait peu à peu forme.
« Deniz… Je crois que je… Que j’suis bourré mec ! » Je pouffais de rire, il ne semblait pas seulement ivre, il l’était et depuis quelques dizaines de minutes maintenant. L’alcool et lui n’avaient jamais été les meilleurs amis du monde et il ne s’en était toujours pas rendu compte. Nous avions tous les deux décroché le bac, à la rentrée, et pour la première fois depuis douze ans, nous allions être séparés. Fini l’école en commun, nous étions libres de choisir notre destin, ce que nous voulions faire pour le restant de nos jours. Rudy s’était tourné vers un bac pro alors que de mon côté j’avais décroché ma place à l’université en médecine. Mon rêve se réalisait à la surprise générale et j’étais fier de pouvoir étonner tout le monde. « Je m’en étais rendu compte, j’ai appelé ta mère pour lui dire qu’on rentrait directement chez moi pour ne pas la réveiller… Je ne voudrais pas qu’elle t’assassine en te voyant épave comme tu l’es ce soir. » Il souriait partant dans un fou rire que lui seul comprenait. Je soupirais visiblement amusé me concentrant sur la soirée qui se déroulait en ce moment-même, il était déjà trois heures du matin et nous fêtions nos diplômes, une bonne centaine de lycéens réunis pour le meilleur et pour le pire je peux vous dire que l’ambiance était là. D’un seul coup Rudy se baissait et commençait à vomir, hideux, une grosse grimace qui méritait d’être immortalisée par une photo traduisait mon dégoût, mon ami n’était pas sortable. « Bon, la soirée est terminée pour toi, je te ramène chez moi ! » Je saluais brièvement toute ma promotion montant dans ma voiture, depuis que j’étais majeur et que j’avais obtenu mon permis les choses étaient tellement plus simples. Je n’avais plus besoin d’être dépendant de quelqu’un, si je voulais aller quelque part je n’avais plus qu’à monter dans ma magnifique Mercedes et y aller. Ce soir je n’avais pas bu la moindre goutte d’alcool, ça ne me dérangeait pas puisque je n’avais pas besoin d’être ivre mort pour m’amuser, au contraire. J’avais conduit pendant une bonne vingtaine de minutes dans Paris pour rejoindre ma grosse maison, le genre qui pouvait abriter au moins vingt personnes alors que nous n’étions que trois dans ma famille. J’aidais Rudy à marcher, il n’était plus capable de le faire lui-même, en entrant je découvrais les lieux vides, mon père était parti en voyage d’affaires pour le mois à venir et ma mère ne comptait pas revenir à Paris avant Noël au minimum. Nous allions donc être pénards pour la nuit et plus globalement la journée. « Je vais aller te préparer la salle de bain, je pense que tu as besoin d’une bonne douche froide pour te réveiller ! » Je le laissais s’asseoir dans le canapé à moitié dans les vapes rejoignant la salle de bain du deuxième étage, celle qui se trouvait dans ma chambre et que moi seul utilisait, j’allumais la douche réglant la température afin qu’elle ne soit pas trop froide. Après l’avoir aidé à monter les escaliers et à se déshabiller j’étais donc parti dans ma chambre pour l’attendre. « Deniz ? » Je relevais la tête, lâchant mon téléphone portable. « Oui ? » Avait-il besoin de quelque chose ? « Tu n’aurais pas un caleçon à me prêter ? Et une serviette par la même occasion ? Il n’y en a pas ici. » Je me relevais prenant une serviette dans un placard ainsi qu’un boxer qui m’appartenait, nous devions sensiblement avoir la même taille, je débarquais dans la salle de bain tournant la tête pour ne pas avoir l’air d’un pervers en le matant. Je lui tendais les affaires qu’il venait de me demander. « Tiens, ce que tu as demandé. » Rudy ne prenait pas ce que je lui avais apporté. « Tu es toujours présent pour moi… Tu m’as sauvé la mise tellement de fois… Je ne t’ai jamais remercié pour ça. » Je fronçais les sourcils ne comprenant pas où il voulait en venir jusqu’à ce qu’il glisse l’une de ses mains sous mon t-shirt contre mon torse musclé. « Qu’est-ce que tu fais ? » Demandais-je en le regardant, il était nu, devant moi avec un regard que je ne connaissais que trop bien pour l’avoir vu dans les yeux de plusieurs filles qui étaient sorties avec moi. « J’ai envie que tu me fasses l’amour ! » Je le regardais sans comprendre ce qu’il était en train de dire, je n’avais jamais éprouvé la moindre attirance pour un garçon jusqu’à maintenant. « Arrêtes, t’es bourré ! » Rudy approchait encore et prenait possession de mes lèvres, j’aurais voulu être capable de lui résister mais à ce moment-là je ne m’en sentais pas capable, après m’être furtivement débattu je prolongeais, la nuit fut sauvage entre nous et la journée d’après également, nous avions été les meilleurs amis du monde et aujourd’hui nous étions bien plus que ça.
« Tu as finalement réussi… Tu as réalisé ton rêve, qu’est-ce que ça te fais ? » Après six longues années d’études j’avais réussi à obtenir ma place d’interne dans une clinique très reconnue nationalement et internationalement même. Voilà maintenant deux années que je suivais mon internat et tout se passait pour le mieux, je n’étais pas déçu d’avoir voulu exercer un tel métier, bien au contraire j’étais passionné par ce que je faisais et je me voyais bien devenir moi-même un chirurgien dans quelques années lorsque mes années d’internat serait terminées. En presque huit ans rien n’avait changé entre Rudy et moi, j’avais été effrayé à l’idée que nos coucheries incessantes pendant toute ma première année de fac ne détruisent notre amitié mais au final elle s’était renforcée. Depuis deux ans nous avions complètement arrêté de nous voir pour faire l’amour, j’étais en couple depuis le début de mon internat avec une jeune femme que j’aimais plus que tout au monde, rien de mieux pour moi je peux vous l’assurer même si ces derniers temps les choses n’étaient pas réellement en train se dérouler comme je le désirais. « Je t’avais dit que j’étais capable de faire de la médecine. » Il souriait, heureux pour moi de s’être trompé sur moi, lui aussi s’en était plutôt bien sorti, il s’était réorienté dans le monde de la mode après ses études et était devenu styliste pour les stars en France mais également aux Etats-Unis, c’est ma mère qui lui avait permis de se faire une notoriété là-bas et ça nous avait permis de nous rapprocher elle et moi. Ma copine était d’ailleurs américaine, nous avions fait connaissance à une soirée organisée par ma mère pour la nouvelle collection qu’elle venait de sortir. « Comment ça va avec Callie ? » Je regardais longuement mon meilleur ami, soudainement beaucoup plus concentré. « Pas très bien… Tu sais, on ne se voit plus énormément depuis qu’elle a terminé ses études en août… Elle est repartie vivre à New-York et la relation longue distance ne me plait pas du tout… De plus… Tu sais… Je t’ai parlé de Freddie ? » Il hochait la tête positivement n’ajoutant rien pour que je puisse poursuivre. « Lors d’une soirée à la maison je lui ai dit que… Que je l’aimais et on s’est embrassés. » Rudy me regardait, déstabilisé. « Et tu ressens quoi vis-à-vis d’elle ? Tu l’aimes vraiment ? » Je me mordillais la lèvre. « Je crois que oui… » HORS JEU ▹ GROUPE : Monsieur tout le monde. ▹ AVATAR : Julian Schratter ▹ SCENARIO ou PERSONNAGE INVENTE : Personnage inventé ▹ PSEUDO/PRENOM : Redpix/Loïc ▹ ÂGE : 17 Y.O. ▹ OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : Sur bazzart. ▹ PRESENCE : 5/7 J
Dernière édition par Deniz E. Weber le Lun 22 Avr - 16:36, édité 6 fois
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Sujet: Re: DENIZ ✈ I shouldnt be crying, tears were for the weak. Jeu 18 Avr - 17:20
T'es beaaau
Je suis ravie de te voir parmi nous Bienvenuue
Cass Desnoyers de Marbaix
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