CLIQUE ICI mon chaton - toutes les deux heures hein et gagnes des points !
nous sommes fières de t'accueillir sur la version 2.0 de FOQUE YOU, I'M PARISIEN nous te souhaitons la bienvenue parmi nous et nous espérons que tu t'y sentiras comme chez toi !
si tu es nouveau, nous t'invitons à aller lire le règlement et le contexte. des scénarios sont également à ta disposition, n'hésites pas à y faire un tour et peut-être faire le bonheur de l'un de nos membres ! puis direction la fiche de présentation, tu as cinq jours pour la terminer.
BAZZART - PRD soutenez le forum - on vous en sera reconnaissante
Sujet: ⊱ lou-jane. méfie-toi de cette fille-là Dim 28 Juil - 11:59
lou-jane collins
prénoms ⊱ lou-jane. nom ⊱ collins. surnoms ⊱ écrire ici. date et lieu de naissance ⊱ écrire ici. âge ⊱ écrire ici. origines ⊱ écrire ici. statut civique ⊱ écrire ici. attirance ⊱ écrire ici. profession/étude ⊱ écrire ici. groupe ⊱ écrire ici. opinion politique ⊱ écrire ici (centre/gauche/droite). crédit ⊱ écrire ici.
caractère ⊱ décris ton personnage et son caractère en quelques lignes. décris ton personnage et son caractère en quelques lignes. décris ton personnage et son caractère en quelques lignes. décris ton personnage et son caractère en quelques lignes. décris ton personnage et son caractère en quelques lignes. décris ton personnage et son caractère en quelques lignes. décris ton personnage et son caractère en quelques lignes.
Sept questions pour savoir où réside votre cœur.
▹ C'est dimanche. Au programme, ton occupation dominicale indispensable sera : Un brunch en famille ou chez des amis de longue date. Un tour en forêt, un jogging, une escapade dans les rues de Paris à la recherche de l'inconnu. La glande totale devant un DVD. Éventuellement un café-aspirine entre potes vers 18h.
▹ Tu viens de recevoir ta paye et tu as envie de t'offrir un petit quelque chose : Une énième paire de chaussures, un chapeau, un sac. Un stylo, un cahier, un porte-clé. Un nouveau blackberry, une babiole ultra luxe.
▹ C'est la saint-valentin aujourd'hui. Comment réagis-tu ? Tu es seul(e) chez toi et tu te gaves d'un pot de glace goût chocolat-noisette. Tu décides d'aller voir un(e) ami(e)/ton(ta) petit(e) ami(e) et de lui déclarer ta flamme. Tu te fiches complètement de cette journée, elle est banale à tes yeux.
▹ T'es jeune et tu as tes préoccupations. Quelles sont-elles ? Web, livre, fringue, téléphone, "C'est juste pas possible !" Facebook, grave, soirée, roc, déchiré, "Ah mais ouais carrément !" Dîner, bourse, défilé, BBM, Londres, "Tu devineras jamais ce que j'ai appris !"
▹ Et toi, tu te déplaces comment ? En voiture/scooter/moto En vélo/à pied En métro/bus
▹ Si tu devais partir en vacances ou si on t'offrait un voyage, t'irais où ? Un Club Med au soleil, avec vos potes ou votre chéri(e), ou alors un trip roots et sportif en Amérique du Sud. Un peu à la campagne en famille, puis un peu en amoureux en Corse. St-Tropez l'été, Courchevel l'hiver, ou New York.
▹ Cet après-midi, rendez-vous entre amis. Votre QG : Un bar propre, staïly, à la déco qui se la raconte un peu. Un salon de thé bobo, un café tout en bois, calme et cosy. Un salon de thé à l'ancienne, un café bourgeois, un bar de musée ou d'hôtel.
Sujet: Re: ⊱ lou-jane. méfie-toi de cette fille-là Dim 28 Juil - 11:59
⊱ diamondsin the sky
« Maman reprends-toi s'il te plait! Nous fait pas ça je t'en supplie.. » J'arrive pas à la sortir de cet épisode dépressif, elle est trop détruite pour que je puisse faire quoi que ce soit. Elle ne prend même plus ses cachets alors à quoi bon persister. En fait je sais plus quoi faire, sa maladie l'a rongée. Mon père fait comme si tout allait bien, comme il l'a toujours fait alors que rien ne va. Je suffoque à force de pleurer parce que la vie a pris ma mère, ce n'est plus qu'un corps sans vie, ce n'est plus la mère aimante qu'elle était avant. Et même lorsqu'elle est euphorique, je sais qu'elle n'est pas vraiment heureuse, je sais que c'est seulement la maladie qui le lui fait croire. Jamais il ne sera question de l'interner, elle n'est pas folle ma mère. Elle est juste malade. Et si elle est entourée de fous, c'est comme si je la perdais pour de vrai. La maladie nous a pas laissés de répits, on a fait que subir sans pouvoir profiter un seul instant d'elle. Et j'ai peur de devenir comme elle, parce que je sais que ça se transmet par les gènes. Alors j'essaie de rester calme, de ne pas penser à l'avenir parce que je sais qu'il me fera trop peur. J'ai que seize ans, je suis qu'au secondaire et j'arrive pas à profiter de la vie. Je fais comme toutes mes copines, je sors, je bois et je drague des garçons mais j'ai toujours la tête ailleurs parce que j'ai toujours peur de ce que pourrait faire ma mère. Les gens prennent ma mère pour une cinglée alors qu'ils ne la connaissent même pas. Alors je suis "la fille de la cinglée" ni plus ni moins mais je m'en moque parce que, quoi que les gens disent, ma mère était une femme formidable et je ne supporte pas que les gens puissent cracher sur sa mémoire ainsi. Je parle comme si elle était morte et je me déteste à faire ça, mais je ne peux plus parler d'elle au présent, c'est trop difficile.
« Non! Maman! Nan c'est pas possible! » J'aurais aimé que ce jour-là, mon petit frère n'eut jamais été en train de faire la vaisselle en face de la vitre de la cuisine. Il a vu le corps de ma mère tomber du deuxième étage et s'écraser à terre. Elle s'était droguée aux médicaments avant, pour être sûre de ne jamais se réveiller. J'aurais voulu ne jamais voir ça non plus. C'était la vision la plus horrible que je n'eus jamais vu. La femme que j'aimais le plus au monde était étalée au sol, exposée au reste du quartier, sans vie. Elle n'était plus qu'un corps, ma mère n'était plus là. Alors, je me suis allongée à côté d'elle, et je n'ai pas pleuré, j'ai juste regardé dans le vide en attendant que les pompiers arrivent et prononcent son décès. Ils ont voulu m'emmener aussi parce qu'ils pensaient que je n'étais pas totalement normale. Et puis je suis partie en courant, j'ai fait des tas de kilomètres en courant avant de m'écrouler par terre, de fatigue et de tristesse. J'étais arrivée dans un quartier chic, et les gens me regardaient de haut en bas, dégoulinant de sueur, et le maquillage coulant sur mon visage. Je ne ressemblais plus qu'à une épave. Un seul gars prêta attention à moi. « Hey est-ce que ça va? » « Oui. » « T'es vraiment dans ton état normal là? » « Oui. » « Ok, alors t'es une cinglée. » Une cinglée... Cette expression trottait dans ma tête, et je me jetais sur lui pour le battre de toutes mes forces, mais je n'arrivais qu'à lui mettre une pauvre gifle parce que je n'avais plus de force, parce qu'il en avait beaucoup plus que moi et que je n'étais plus rien. « Wow ok, du calme. Désolé, je voulais vraiment pas te vexer. » « C'est raté. » « Alors, qu'est-ce qui t'arrives? » « Ça ne te regarde pas.. » « Peut-être que non, mais je suis sûr que j'arriverais à faire en sorte que ça ne te mette plus dans un état pareil. » « Ma mère vient de se jeter d'une fenêtre à la maison, et les pompiers ont voulu m'amener voir un psychiatre lorsqu'ils m'ont vu allongée à côté d'elle pour être sûre que je n'étais pas aussi folle qu'elle. » « Ow... Ok je suis désolé, je pensais pas que c'était un truc aussi grave, vraiment. » « Ouais. Tu sais quoi? Je vais y aller, j'vais me casser et oublier ta sale gueule. »
« Où est mon putain de cadre? Qu'est-ce que vous en avez fait bordel? » Pour ma dernière année de secondaire, mon père m'a collée à l'internat, parce qu'il ne me supportait plus à la maison, parce que je lui rappelais trop maman. Mais cet internat est trop sévère, j'ai même pas le droit de poser ce cadre avec une photo de famille à l'intérieur sur ma table de chevet. Le surveillant a dû me la prendre et je sors comme une furie de ma chambre, je ne me contrôle plus. « Mon cadre! Vous en avez fait quoi? Dîtes-le moi! Dîtes-le moi! » « Respirez Mlle Collins. » « J'ai pas envie de respirer, j'ai envie de vous cracher à la gueule! » « Restez polie ou je vous colle. » « Fermez votre putain de bouche et rendez-moi ce cadre tout de suite! » « Je ne peux pas. » « J'ai dit tout de suite! » « Calmez-vous. » Et je l'ai pris par les épaules, et j'ai cogné son crâne contre le mur plusieurs fois. Des filles de l'internat sont venues nous séparer parce qu'elles ont crus que j'allais le tuer. Moi aussi j'y ai cru. Je sais pas ce qui m'a pris, cet épisode d'hystérie c'était pas moi. C'était l'autre facette de ma personnalité. Alors, j'ai été renvoyée de l'internat et mon père m'a foutue une claque mémorable. Il m'a amenée chez le psy parce qu'il me pensait pas capable de me tenir à carreau. En fait, il avait surtout peur que je devienne comme ma mère: une cinglée. Je sais qu'il le supporterait pas ça. Moi non plus d'ailleurs, ni mon petit frère.
« Non, c'est pas possible ça! Vous vous trompez ok? » « Mademoiselle Collins, vos symptômes prouvent le contraire. Vous êtes bipolaire, je suis désolé. Mais ça se soigne, vous le savez ça. » « Je le sais oui. Mais ma mère, elle devenait un vrai légume quand elle les prenaient vos médocs à la con! » « La science a avancé, le traitement n'a plus d'effets secondaires. » « Allez vous faire foutre avec votre traitement à la con! »
Carrie T. Vuitton
▹ A PARIS DEPUIS : 23/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 221 ▹ PSEUDO : fucking face. ▹ CREDITS : Kowalski. (avatar)
Sujet: Re: ⊱ lou-jane. méfie-toi de cette fille-là Dim 28 Juil - 20:50
LAWRENCE
BIENVENUE SUR LE FORUM & bon courage pour ta fiche
D. Anne-Sophie L-Mercier
À CAUSE
DES GARÇONS
Tu déconnes on va pas se faire encore un plan gros ça comme. De quel plan tu causes, tu oses, c’est toi qu'a commencé. J'abandonne. T'es vraiment trop conne. À pas grand chose tu déconnes. Ben tu vois, lui, me trouve super bonne. À cause des garçons. On met des bas nylon, on se crêpe le chignon. À cause des garçons. Et du qu'en dira-t-on, on pleure sur tous les tons. À cause des garçons. On s'allume pour de bon. À cause des garçons.
▹ A PARIS DEPUIS : 23/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 420 ▹ PSEUDO : endless hope, bitch. ▹ CREDITS : retrotrend. tumblr.