L'HISTOIRE
« Petite citation de la mort qui tue ! »

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I▹ Il est fils unique, du moins c’est ce que son père prétend, mais tout le monde sait qu’il a plusieurs bâtards en liberté. Il n’a jamais pris contacts avec eux, et ne le veut pas, c’est lui qui s’est taper tout seul la famille de barge, il a au moins le droit d’avoir l’argent à la fin. II▹ Sa cicatrice dans le dos lui vient de sa nourrice, quand il avait treize ans, il a eu le malheur de courir torse nu près d’elle alors qu’elle avait une marmite d’eau bouillante, elle s’est déversé sur ses omoplates, lui laissant une trace indélébile sur les épaules. III▹ Son prénom rappelant celui du méchant du roi lion, on s'est souvent foutu de sa gueule, surtout avec depuis qu'une cicatrice lui barre la joue. Le pire, le roi lion est son Disney préféré. IV▹ Fanatique de fringue, il peut dépensé des fortunes pour des vêtements, ou autre objets matériels. Mais malgré son amour grandissant pour les habits, son bébé, son enfant restera toujours sa moto, une suzuki hayabusa. V▹ Musicien dans l'âme, il avait un groupe de rock, il y a quelque année, et rêverait de le reconstruire.

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Endormi, affalé dans son lit, un gosse de seize ans dort, la bouche ouverte, ses baguettes à la main, comme trop effrayer de les perdre, qu’on les lui vole, qu’on l’empêche de faire ce qu’il veut réellement. Mais de ce silence apaisant, la voix douce et criarde du belle blonde plantureuse le sortie de son coma bienfaisant. « Scaar ! Bordel Scaar ! » Un grondement féroce sortit de sa gorge. Il haïssait qu’on le sorte de sa léthargie. « Quoi ? Arrête de gueuler, merde à la fin. » Son grommèlement était incompréhensible. Du moins quand on n’est pas habitué à ses mauvaises humeurs matinales. « Ne me parle pas comme ça ! Je suis ta mère, tu me dois le respect ! » Qu’est-ce qu’elle lui pompait l’air avec ses crises d’insécurité passagères. Elle s’en tapait une limite chaque matin. Et les femelles qui hurlaient sans raison étaient une des raisons qui le poussait à trouver que les femmes étaient une race inférieure. Non sérieusement regardez-les ! Elles et leurs sautes d’humeurs intempestives, leurs inutilités chroniques. Il ne pouvait pas s’empêché d’être ignoble. « Madlyn t’es pas ma mère, t’es la pétasse qui se tape mon père, nuance. » Cru, froid. D’un côté, il n’avait pas tords, son père de quarante-huit ans baisait cette gourdasse de vingt-six ans. Osez lui dire que ce n’était pas pour son fric. Et surtout d’où elle avait le cran de se faire passer pour sa mère. Elle était morte sa mère, y’a quelque années. Cancer. Et à peine deux semaines qu’elle était enterrer que l’autre débarquait avec ses valises, ses régimes végétariens, et ses cours de yoga. Le pire, oui, le pire c’était qu’elle était goy. Pas qu’il ait un problème avec les non-juifs. Non, c’est que son père, ce connard limite marier au rabbin qui le gavait dès qu’il osait manger du poulet non casher, couchait avec une catholique. Hypocrite. « Sale gosse. T’as cours, Scaar. Tu dois bouger ton cul. » Difficilement, il sortit de son lit, il l’écoutait, pas parce qu’elle avait raison, mais parce qu’au fond il l’aimait bien, cette gourdasse. Elle y était pour rien, elle, si son père était un connard. Et puis, il avait déjà trop séché, le lycée, ou la chose la plus inutile au monde. Torse nu, il enleva son t-shirt, le jetant en boule au sol. Sa présence dans son dos le rassurait. Il savait qu’elle regardait ses cicatrices, elle le faisait toujours. Doucement, sa main toucha son épaule, il la lui prit avec douceur, l’embrassant avec tendresse. Se retourna vers elle, alors que ses lèvres s’emparèrent des siennes. Elle n’était pas à lui, et c’était tout ce qui la rendait intéressante. Ah, ce qu’il ne ferait pas pour faire chier son père.

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HORS JEU ▹ GROUPE : Molière. ▹ AVATAR : le plus beau, le plus sexy, le plus orgasmique, le dieu vivant venu sur terre, Gaspard Ulliel. -non, je ne suis absolument pas fanatique de ce mec - ▹ SCENARIO ou PERSONNAGE INVENTE : Pi, cey la vie. ▹ PSEUDO/PRENOM : Bs. Babe ▹ ÂGE : dix sept ans, gosh, j'suis vieille. ▹ OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : bazzart, my friend. ▹ PRESENCE : la semaine qui arrive, comptait pas sur moi, j'ai un truc super qui s'appelle le bac blanc, d'ailleurs je devrais la réviser là sinon dès que je peux me connecter .