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nous sommes fières de t'accueillir sur la version 2.0 de FOQUE YOU, I'M PARISIEN nous te souhaitons la bienvenue parmi nous et nous espérons que tu t'y sentiras comme chez toi !
si tu es nouveau, nous t'invitons à aller lire le règlement et le contexte. des scénarios sont également à ta disposition, n'hésites pas à y faire un tour et peut-être faire le bonheur de l'un de nos membres ! puis direction la fiche de présentation, tu as cinq jours pour la terminer.
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I ♥ RIEN, JE SUIS... taciturne, désabusé, cynique, impatient, enjôleur, lunatique, sceptique, réservé, charmeur, placide, calme, réfléchi, fidèle en amitié, détaché. J'AIME Zadig est accro à la caféine et à la cigarette ; privé de ces deux plaisirs, il va jusqu'à devenir irascible et franchement désagréable. Il est également amoureux de l'attrait qu'éprouvent les femmes pour lui, bien plus que d'elles-mêmes. Il aime collectionner les conquêtes et charmer ces belles : il est un être très séducteur et romantique, seulement jusqu'à arriver à ses fins - rien ne l'horrifie plus qu'une relation stable et ennuyante. Zadig est également constamment à la recherche de l'adrénaline, du risque, de l'ivresse. Devenir l'amant de la nouvelle femme de son père, partir du jour au lendemain à l'autre bout du monde avec pour seul bagage son portefeuille, consommer tout et n'importe quoi, rechercher l'ivresse de la vitesse en voiture de luxe... Zadig a besoin d'adrénaline pour se sentir vivant. Il s'enivre facilement d'une aventure avec une femme mariée ou fréquentant un notable parisien. Il porte un grand intérêt à son apparence et il n'est pas rare de le voir fréquenter les fashion weeks parisiennes. Ses marques favorites demeurent Sandro, The Kooples ou Iro. Enfin, il serait important d'ajouter qu'il possède sa propre écurie dans le sud de la France composée de chevaux de saut d'obstacle. Bien qu'il soit un bon cavalier, il n'est pas un habitué des concours et préfère confier ses bêtes aux professionnels du moment. JE N'AIME PAS Il n'a jamais connu l'amour et se sent totalement étranger à toute sorte de sentiments. Evidemment, certaines de ses conquêtes sont tombées amoureuses de lui ; il s'en est plus senti horrifié que flatté ou embarrassé, et a rapidement mis fin à leurs histoires. Zadig déteste être redevable de quelqu'un, même de son meilleur ami. Qu'il s'agisse d'argent ou de service rendu, il s'arrangera toujours pour ne jamais dépendre de personne ou pour régler sa dette le plus rapidement possible. Cela dit, il est assez généreux envers ses proches et n'hésitera jamais à venir en aide à l'un de ses amis - aussi rares soient-ils. Il n'est pas patient et n'aime pas attendre, ni être dérangé. Dandy affirmé, il déteste tout ce qui peut vestimentairement paraître cosy ou pratique : les tshirts, les jogging (hormis pour faire du sport), les baskets...
L'HISTOIRE « i don't feel guilty, but that doesn't mean i'm not »
Je me fiche de ce que vous pensez de moi
❝ Je suis devenu père à l'âge de 28 ans. Les industries Lecomte se portaient extrêmement bien, j'engendrai le premier véritable profit de ma carrière ; autant vous dire que la venue au monde de Zadig n'était au moment le plus propice. Ma femme est décédée en couche. Je n'eut choix que de le confier à des nurses et gouvernantes. Je le voyais très peu. Il est devenu un être qui me ressemble mais est très différent de moi à la fois. Nous avons le même goût des femmes, la même facilité à attirer leur attention et la même attirance pour l'argent. Cependant, je n'ai plus que peu d'influence sur lui. Il dépense tout son argent en drogues, alcools et plaisirs divers. ❞ Charles LECOMTE père
❝ En mariant un ténor des affaires, je ne me doutais absolument pas que j'allais fréquenter son fils. Zadig est tout ce qu'il y a de plus distingué, charmeur et déterminé. Je n'ai jamais su si il avait voulu notre aventure pour narguer son père, ou si notre alchimie comptait vraiment à ses yeux. Il a su me donner tout ce que son père ne m'offrait pas. Du paternel j'avais la sécurité financière, le prestige, les privilèges ; du fils j'avais la fougue, le désir. Je ne regrette absolument pas notre relation, même si j'y ai perdu mon mari, et je n'hésiterai pas une seule seconde si je devais tout recommencer. ❞ Caroline DELACROIX amante, ex-femme de son père
❝ Zadig est un mec intègre. Il est loyal et généreux. Il n'abandonnerait jamais quelqu'un qui a besoin de lui - sous condition tout de même qu'il estime cette personne. Je le connais depuis des années. Nous partageons beaucoup de choses, parfois même les femmes. Rien ne nous a jamais séparé, et je doute que quelque chose puisse un jour le faire. ❞ Etienne de BAULIEUX ami
❝ Ce gamin est un petit con. Il n'a aucun respect si ce n'est pour son argent, qu'il dépense n'importe comment. Il finira par ruiner son père et ses société en chevaux, femmes entretenues, voitures de luxe pliées et drogues diverses. Il a toujours été un poids pour Charles et ne changera jamais. Tout lui a toujours été servi dans une cuillère en argent : ce n'est pas avec cette éducation qu'on devient un homme d'affaire, capricieux et impatient. ❞ Paul-Henri SATTLER directeur financier de son père
❝ Certes, Zadig est un gamin. Certes, il a presque quinze ans de moins que moi. Mais il est l'être qui me fait sentir vivante, qui me change mon quotidien lugubre. En tant que femme de ministre, ma vie consiste à sourire dans les gala caritatifs, à accompagner les voyages officiels et à assurer une bonne presse lors dans campagnes présidentielles. J'ai rencontré Zadig lors d'une soirée organisée par son père, dans le sud de la France. L'ambiance y était plutôt calme et décontractée, entre fond de musique douce, champagne et discussions sérieuses. Nous avons couché ensemble dans la cabine du commandant de bord. C'était complètement fou, grisant, enivrant. Je pense qu'il cherche en moi une figure maternelle qu'il n'a jamais connu. ❞ Elisabeth JOHNSON amante
❝ J'hésite souvent entre le mépriser et l'adorer. Zadig m'a toujours ignoré en tant que demi-soeur, je crois qu'il me détestait d'avoir trois parents, même si je n'ai fait d'effort pour intégrer la famille de Charles. Mais nous sommes plus proches qu'il ne le montre, il m'a déjà sauvé de mauvais pas. Je me suis parfois arrangé pour que Charles ne se rende pas compte que sa carte platine avait disparu, que certains cristal familiaux extrêmement coûteux avaient été vendus ou échangés au profit d'alcools et de call-girls. Nos personnalités sont semblables. Il est comme mon âme-soeur. Parfois, je déteste ma mère de s'être mariée à Charles. ❞ Candice Léa CLEIN demi-soeur
Paris, place Vendôme.
Zadig était accoudé au bar du Ritz, l’hôtel parisien où il logeait. Il était désert à cette heure-ci, même le barmaid avait retiré costume trois pièces et torchon étoilé pour aller se reposer dans son appartement de fonction. Il jouait nonchalamment avec le pic à olives de son martini, perdu dans ses pensées. Il était plus ou moins quatre heure du matin, il venait de descendre de son avion avant de traverser la ville en taxi. Son père ne savait pas qu'il était rentré de Normandie, où il était censé suivre un stage de saut d'obstacle auprès d'une célébrité du milieu. Zadig possédait sa propre écurie et il était son propre sponsor ; autant dire que cette lubie lui coûtait une fortune. Depuis tout petit il était attiré par les chevaux : sa défunte mère était cavalière d'obstacle à bon niveau et les photos et médailles affichées dans les bureaux de son père l'avaient encouragé. Il rêvassait toujours quand des bruits de pas attirèrent son attention. Il se retourna doucement, son verre en main. « Candice... Je ne m'attendais pas à te voir ici. » Une certaine pointe d'animosité était perceptible dans son timbre de voix rocailleux. « A vrai dire, moi non plus, très cher... Tu es censé être en Normandie, n'est-ce pas ? Père est-il au courant que son fils est de retour ? » Zadig tiqua, l'oeil sombre. « Charles n'est pas ton père, de même que tu n'es pas ma soeur, Candice. » Il la scruta sans gêne. La jeune femme, d'une ou deux années sa cadette, était très belle. Elle possédait des jambes immenses, une poitrine ronde et soutenue, un visage presque parfait. Il n'était pas étonnant que Charles soit tombé amoureux - ou du moins ai très apprécié la beauté - de sa mère. « Pourquoi toujours autant de tension entre nous, Zadig ? » Elle s'était rapprochée, ses talons hauts claquant le sol de marbre. « Pourquoi aussi peu de dentelle ? Je ne savais pas que tu accompagnais les hommes de cet hôtel. » Candice portait une très fine et très courte robe de chambre. Elle ne releva pas la dernière remarque de son demi-frère. « A vrai dire, j'étais descendue prendre un verre. Je n'arrivais pas à trouver le sommeil - père m'a proposé d'occuper le penthouse en ton absence. » Elle sourit devant son air désabusé. « S'il savait ce que tu y caches... » Elle s’apprêtait à prendre le verre de Martini que Zadig avait toujours en main, quand il lui attrapa le poignet. « Ne touche pas à mes affaires, veux-tu ? » La jeune femme ne se débâtit pas. Elle se rapprocha encore de lui, le fixant dans les yeux. « Tu n'as aucun ordre à donner, je suis aussi chez moi que toi ici... » La tension était palpable, l'atmosphère électrique. Il rapprocha doucement ses lèvres des siennes. « Même l'inceste ne t'effraie pas... » souffla la jeune femme. Il rouvrit les yeux. « Tu n'es pas ma soeur. Tu en rêves, n'est-ce pas ? » Un sourire narquois déformait son visage impassible. Elle se détacha de son étreinte et lui arracha son verre des mains. « Bonne nuit, Zadig. J'espère que tu n'as pas encore fait monter tes affaires. » Il s'adossa au bar, puis rétorqua. « Tu sais bien que je voyage sans bagages. » La jeune femme tourna les talons et prit le célèbre ascenseur de l’hôtel. Charles lui passait tout, elle était bien trop sure d'elle ; mais sans lui, elle n'était rien. Le jeune homme s'alluma une cigarette puis sortit de l'hôtel.
Paris était toujours une ville très agitée, même en plein nuit. Zadig héla un taxi. « Avenue Foch, s'il vous plait. » Le conducteur acquiesça avant de s'engager sur la route. « Voila, Monsieur. » Le jeune homme lui laissa un billet avant de sortir du taxi. Il marcha quelques minutes avant de s'arrêter devant un superbe immeuble, haussmannien à souhait, son portable en main. « Salut Etienne. Désolé de te déranger. Je suis devant ta porte. » Etienne, en tenue d'Adam dans son lit, soupira. « Désolé ma beauté, on se revoit dans la semaine... » La jeune femme sortit gracieusement des draps de soie, récupéra rapidement ses affaires et s'en alla. « C'est bon, mec, monte. » Zadig sourit en voyant la demoiselle à moitié nue descendre les escaliers de marbre. Etienne était encore plus Don Juan que lui... Il rentra dans l'appartement sans sonner et serra la main de son ami. « Tu m'as manqué, mais putain, qu'est-ce que t'es chiant à jamais prévenir ! » Zadig ricana. « Tu étais en charmante compagnie, je vois... Désolé. Candice s'est installée dans le penthouse, je savais pas où aller. » « Candice... » soupira Etienne. Il ne l'avait jamais oublié, même après l'avoir laissé en plan à l'aéroport Charles de Gaule, alors qu'elle l'attendait pour partir dans le sud. « Elle me déteste toujours, hein ? » Zadig sortit son paquet de cigarette et y retira un joint. « J'en sais rien, demande-lui. » Il l'alluma avec son zippo et tira deux bouffées, avant de s'avachir sur le lit.
« Putain mais coupe ce portable ! »
Etienne balança un oreiller sur la table de basse où vibrait le téléphone, emportant au passage deux bouteilles de whisky vide et le cendrier. Zadig marmonna quelques mots intelligibles avant de se redresser, complètement groggy. « J'ai un de ces mal de crâne... » Il tenta tant bien que mal de récupérer son téléphone sans se lever et la sonnerie cessa. Il se laissa retomber sur le canapé, mais le portable se remit à sonner. « Bordel ! » Il l'attrapa d'un geste. « Ouais ? Oh, bonjour, père. Oui. Oui, je suis de retour. » Il adressa une grimace à son ami, puis se leva et se dirigea tant bien que mal vers le couloir. « Oui père, je sais. Je serai là. Quoi, dans deux heures ?! » Il jeta un coup d'oeil à sa montre en or : il était 9h. « Aucun problème, je serai là. » Il raccrocha. « Putain... J'ai un brunch à 11h. Je dois y aller. » Etienne ricana. « Plutôt toi que moi... » Zadig observa son ami ; il avait l'air aussi peu frais que lui. « Oublie. Ca a l'air important, ta famille y sera. En fait, je crois que tout le monde sera là. Qu'est-ce qu'on a encore oublié... » Etienne soupira, un oreiller sur le visage.
10h45, les deux jeunes hommes se garèrent devant l'entrée du Ritz. Un voiturier se jeta presque sur les clés de la voiture luxueuse. « Faites attention, s'il vous plait... » souffla Etienne, avant de s'avancer vers l’hôtel. Le réceptionniste s'avança vers eux. « Messieurs Lecomte et de Baulieux ? Vos pères sont déjà là, dans la salle de séminaire. Suivez moi, je vous prie. » Zadig était presque plus à l'aise dans son costume que dans n'importe quelle autre tenue. Il portait une chemise rayée, un cardigan, un pantalon et une veste bordeaux. Son noeud papillon bleu marine était noué à la perfection. « C'est ca, notre monde » songea-t-il en apercevant tout le gratin parisien échangeant des politesses un verre de champagne à la main. Charles remarqua l'arrivée de son fils, avec le jeune de Baulieux. Il les rejoint rapidement, serrant leur main. « Bonjour. Etienne, je suis content que tu ais pu te joindre à nous. Zadig... » Il fit un rapide geste de la main, indiquant qu'il voulait lui parler seul à seul. Etienne se décala, attrapant au passage une coupe de champagne que portait une serveuse. « Bonjour, père. Que me vaut un accueil aussi... Chaleureux ? » Charles passa un bras par dessus l'épaule de son fils. Il redoutait ce moment d'un certain côté, mais d'un autre il avait hâte de s'en débarrasser. « Comme tu devrais le savoir, notre société se porte bien. J'envisage de créer une succursale américaine, et de là m'est venue l'exc excellente idée de te confier sa gérance. Il est prévu que tu prennes un avion pour la Californie d'ici le courant de la semaine prochaine. » Zadig le dévisagea. « Je n'ai aucune envie d'aller en Californie. Le milieu parisien me convient parfaitement. J'ai des affaires, ici. » « Quelles affaires ? » rétorqua Charles d'un ton un soupçon dédaigneux. « Des contacts avec les dealers des beaux quartiers et les jolies jeunes femmes du service de cet hôtel ? Je ne pense pas que nous songeons pareillement aux affaires. » Le jeune homme continuait de marcher, l'air impassible. « J'ai un anglais basique, aucune attache aux Etats-Unis... Cet firme ne me concerne pas, père. C'est votre affaire, pas la mienne. » Charles acquiesça doucement, avant de retrouver sa femme, la mère de Candice. Zadig en profita pour se rapprocher d'Etienne. « On va fumer » lui intima-t-il tacitement. Ils s’apprêtèrent à quitter la salle quand Charles demanda la parole. « Votre attention, s'il-vous-plait. Vous connaissez tous mon fils Zadig, brillant diplômé de l'ESCP. Zadig, à l'âge de 24 ans, s'est enfin décidé à rejoindre son père dans le monde des affaires. Il est désormais à la tête de la succursale américaine de Lecomte Inc. Zadig, s'il-te-plait... » Charles lui lança un sourire neutre, l'invitant de la main à venir le rejoindre au devant de la salle. A contrecœur, il fit demi-tour et se posa aux côtés de son père, la visage fermé. Les invités l'applaudirent chaleureusement, puis chacun retourna à ses affaires, qu'elles soient d'ordre gustatif ou mondain. « Père, qu'est-ce que cela... » Charles le coupa, la voix un ton plus bas. « Tu prendras un avion mercredi pour les Etats-Unis. Ne me déçois pas. »
Alors comme ça
« Alors comme ça tu as claqué la porte ? » On ne pouvait ignorer l'once d'amusement qui trottinait dans la voix de la jeune femme. Zadig ne se retourna même pas pour toiser sa demi-soeur, comme il avait l'habitude de le faire. Il se demandait simplement comment Candice avait fait pour le retrouver à cette heure-ci, dans ce bar parisien. « Je vois que les nouvelles vont vite. » Le jeune homme tira une dernière latte de sa cigarette qu'il écrasa dans le cendrier de cristal. S'il était interdit de fumer dans les lieux publics, il n'en existait pas moins une sorte de caste qui se passait de respecter les lois. Zadig en faisait partie. « Père est plutôt furieux.... » ajouta Candice d'un ton faussement détaché. Elle aimait jouer avec son demi-frère, s'enquérir de son humeur, allumer l'étincelle qui ferait exploser son masque de détachement. « Tu penses sincèrement que cela m'affecte ? » répondit calmement Zadig. Il était à la rue, sans aucune autre bagage que son permis et sa Master Card - et Dieu seul savait combien de temps aurait-il encore accès à son compte. Il n'avait plus de travail. Son père était bel et bien furieux. Et son esprit était vide de tout ressenti. « Je m'en fou, Candice, je m'en contrefous. »
HORS JEU ▹ GROUPE : yves st laurent ▹ AVATAR : jon kortajarena ▹ SCENARIO ou PERSONNAGE INVENTE : personnage inventé ▹ PSEUDO/PRENOM : voltaire/sixtine ▹ ÂGE : 18 ans ▹ OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : via une publicité sur Bazzart ▹ PRESENCE : je suis en prépa donc 7j/7 durant les vacances, un peu moins durant les cours.
Dernière édition par Zadig C. Lecomte le Lun 25 Fév - 12:02, édité 9 fois
E. Anakin Cohen
THAT'S THE SPIRIT
“Why’s it starting to feel like you’re Batman and I’m Robin? I don’t wanna be Robin all the time!”
Sujet: Re: ZADIG CAMILLE LECOMTE Dim 24 Fév - 21:05
JON
BIENVENUE SUR LE FORUM & bon courage pour ta fiche
Invité
Invité
Sujet: Re: ZADIG CAMILLE LECOMTE Dim 24 Fév - 21:09
Un deuxième JON, je suis au paradis .
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche.
Invité
Invité
Sujet: Re: ZADIG CAMILLE LECOMTE Dim 24 Fév - 21:10
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche
Ronnie P. des Pugets
les meurtrières.
les dieux nous envient parce que nous sommes mortels, parce que chacun de nos instants peut être le dernier, et que tout est beaucoup plus beau car nous sommes condamnés. tu ne seras jamais plus ravissante qu'à cet instant. plus jamais nous ne seront seuls ici tous les deux.
▹ A PARIS DEPUIS : 20/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 811 ▹ PSEUDO : northern lights. (manon) ▹ CREDITS : lollipops.