CLIQUE ICI mon chaton - toutes les deux heures hein et gagnes des points !
nous sommes fières de t'accueillir sur la version 2.0 de FOQUE YOU, I'M PARISIEN nous te souhaitons la bienvenue parmi nous et nous espérons que tu t'y sentiras comme chez toi !
si tu es nouveau, nous t'invitons à aller lire le règlement et le contexte. des scénarios sont également à ta disposition, n'hésites pas à y faire un tour et peut-être faire le bonheur de l'un de nos membres ! puis direction la fiche de présentation, tu as cinq jours pour la terminer.
BAZZART - PRD soutenez le forum - on vous en sera reconnaissante
I ♥ RIEN, JE SUIS... Débrouillarde. Faut pas se leurrer, elle manque cruellement de qualités, la gamine, mais on lui enlèvera pas ça, elle sait se démerder seule. Faut dire qu’elle n’a pas le choix, depuis qu’elle a foutu le camp et qu’elle s’est retrouvée seule. Déterminée, aussi. Enfin, tout dépend de la situation. Avec Marla, tout dépend de quelque chose. Pas foutu d’être la même tout le temps. Elle est déterminée, quand l’occasion ne lui semble pas trop difficile à prendre, et quand elle a la patience. Surtout en ce qui concerne l’argent, en fait. Là, elle est tout de suite plus déterminée. Faut bien prendre en compte qu’elle ne fait pas une chose par hasard, la gamine. Elle a toujours un but en tête. Et puis, quand elle veut quelque chose de quelqu’un, elle l’a. On ne lutte pas contre elle, vous savez. C’est une teigne, la gamine, capricieuse à vous casser les couilles pour n’importe quoi. Elle campe sur ses positions, sort les griffes et les crocs, et malgré son apparence de gamine frêle comme pas deux, elle vous bouffe, comme ça. Elle est téméraire, Marla. Ou aveugle, ouais, c’est possible qu’elle voit tout simplement pas les dangers. Elle fonce dans le tas, Marla. Même si ça coince, elle fonce, comme une fusée, ça passera, ça passe toujours. Puis, elle est franche. Très franche. Trop franche. Les mots sortent tout seuls de sa bouche, c’est pas de sa faute, sérieux. Elle est spontanée, ouais, d’un côté. Elle fait la gueule quand ça lui prend, et elle rit une seconde après, et elle chiale sur son sort, et qu’elle râle contre la terre entière, et elle rit encore, ouais, tout ça, ouais. Marla, finalement, c’est un peu un gros bordel, mais on s’y fait, sérieux. On s’y fait, et y’en a même qui trouve ce joyeux bordel attachant, juré. Enfin, vous savez, y’a des cons partout. Marla, c’est surtout des défauts. Elle est opportuniste. Y’a pas à chercher, elle est là, dans vos pattes, parce que vous lui apportez quelque chose. Marla, elle est là, quelques temps, avec vous. Et quand elle en a marre, que vous ne lui apportez plus rien, elle part, tout simplement. Ah ça, partir, c’est sa spécialité. Elle se tire quand les choses deviennent trop compliquées, quand ça l’ennuie, quand ça l’arrange pas, quand ça la broie. Suffit de voir Liam ou Matheus. Elle vous quitte aussi rapidement qu’elle entre dans votre vie. Elle commence tout à zéro avec une facilité déconcertante. Nouvelle vie, nouvelle identité. Faux papiers, et c’est parti. Nouvelles relations, nouvelle ville, parfois nouveau pays. Pour dire, Marla, elle ne s’appelle pas Marla, en vrai. Marla, elle est désagréable, finalement. Elle est vulgaire, quand elle parle. Elle ne mâche pas ses mots, et elle a l’air de n’connaître que des insultes à rabâcher. C’est une teigne, une vraie teigne, et quand elle n’a pas envie de vous taper la causette, elle n’hésitera pas de vous dire d’aller voir ailleurs. Et puis, elle râle, toujours, pour tout et rien. Y’a toujours quelque chose qui cloque, y’a toujours quelqu’un qui l’énerve. Elle est agressive aussi, et parfois un brin violente. Elle gifle, elle frappe. Elle ne fait pas toujours mal, mais ça ne l’empêche pas d’attaquer. En fait, ouais, Marla, c’est cette gamine sauvage, qui se comporte un peu mal, qui n’a pas appris les bonnes manières ou qui les a oubliées. Cette gamine capricieuse, chiante au possible, un peu perdue, qui sait jamais vraiment quoi faire, où aller. Elle a beau être joueuse, elle est de mauvaise foi et mauvaise perdante. Voyez, elle n’aime pas perdre et a tendance à jouer lorsqu’elle est certaine de gagner. C’est qu’elle a un peu trop de fierté, parfois, et que ça lui ferait mal de s’avouer vaincue.
J'AIME le fric. comme tout le monde. fumer des gitanes. les jeux à gratter, cette connerie de jeux à gratter. Liam, même si c'est trop tard, bien trop tard. JE N'AIME PAS les français, les anglais. Les gens trop heureux, les malheureux, les détraqués, les trop parfaits, les rouquins, les gosses de riches. ah ça, les gosses de riches.
L'HISTOIRE « après tout ce que les hommes ont fait pour lui, dieu aurait tout de même pu se donner la peine d'exister, vous ne croyez pas ? »
THERE'S A SHARK IN THE POOL AND A WITCH IN THE TREE.
« Liam, j’ai froid. » et Liam ressert son étreinte promptement. Elle ferme les yeux et tente d’oublier le vent glacial en fourrant sa tête dans le cou de son frère. Elle aimerait y trouver de la chaleur, mais Liam est gelé, juste gelé. Il fait froid, cette nuit, en Allemagne, ah ça, oui, il fait froid. Elle se sert contre son frère, plus encore. Un peu plus et elle l’étouffe, son frère. Mais ça ne change pas grand-chose, elle tremble toujours autant, et le froid la bouffe, toujours, toujours. Elle a l’impression que le vent lui taillade la peau, aussi. Et ça s’arrête pas, non, non. Il a mal choisi son moment, ce con de propriétaire, pour réclamer son loyer. Six semaines de retard. Forcément, on vous fout à la porte, aussi sec que ça. Con, con, con. Elle aurait pu trouver une solution, s’ils auraient eu un délai supplémentaire. Elle se serait arrangée pour dénicher un peu d’argent quelque part. Ou au moins avoir un plan b. Retour au point de départ. La suite, elle la connait. Le même schéma, si tout va bien. Ou du moins pas trop mal. C’est la même comédie depuis que Liam s’est fait renvoyé. On vit comme on peut, voilà. On trouve de l’argent ; pas toujours légalement. Liam déniche toujours un job, mais il ne se fait pas toujours payer, et quand c’est le cas, c’est toujours un salaire de misère. Et puis, ça dure jamais longtemps. Et elle, elle trouve de l’argent à sa manière. Elle est trop jeune pour travailler, à quinze piges. Elle a beau mentir, on préfère ne pas l’embaucher pour ne pas prendre de risques. Elle se démerde comme elle peut, alors, en se servant chez ses têtes de cons qu’elle ne supporte pas. Elle préfère viser les riches, la gamine, et voler un billet par ci, un billet par-là. C’est à peine s’ils s’en rendent compte, en général. Mais, parfois, elle ne peut pas, parce qu’elle peine à se faire remarquer par ces enfoirés. Que voulez-vous, l’air maigrichonne, l’air des rues, ça attire pas toujours. C’est qu’il faut être présentable, même pour arnaquer ces gens, comprenez. Et quand on déniche un peu d’argent, on crèche à l’hôtel le plus pourri du coin. Le moins cher. Et on retourne dehors quand on est de nouveau à sec. Et ça recommence. Tant qu’ils parviennent à mettre la main sur quelques billets, ça va, ça va.
I'M A SPACE BOUND ROCKET SHIP AND YOUR HEART'S THE MOON.
C’est une mauvaise idée, c’est certain, mais ça, comme d’habitude, elle le réalise qu’après. C’est qu’elle réfléchit pas assez, sur le moment. Elle fonce, elle fonce, et elle arrive à ce point où c’est bien trop tard pour reculer. Elle se retrouve coincée, ouais, dans ses propres conneries. Mais elle tient bon, elle lutte, elle continue. Faut terminer le travail, comprenez. Elle s’imagine montrant tout l’argent qu’elle amassera à Liam, et tout de suite, elle panique moins. Quelques semaines de plus à tenir. Faut la comprendre, la gamine, elle, elle a pas l’habitude de faire des choses comme ça. Matheus, c’est sa première grande arnaque. Généralement, elle se contente d’actions plus lâches, comprenez. Un petit billet, par ci, un autre par-là. Parfois, le portefeuille entier, mais les gens sont pas cons, vous voyez, y’a jamais rien, dans les portes-feuilles. Seulement quelques billets. Et c’est pas de cette façon qu’ils allaient quitter l’Allemagne, avec Liam. Fallait plus d’argent, vous voyez. C’est pour ça qu’elle a voulu viser plus haut. Et Matheus s’est présenté à elle et semblait avoir le profil idéal. […] «arrête, arrête, j’ai mal au cœur. » qu’elle souffle quand elle en peut plus, vraiment plus. Insuffisance cardiaque, qu’elle lui a dit, un jour. Peu de temps qui lui reste à vivre. Impossible d’avoir une quelconque greffe ou je-ne-sais-quoi, parce qu’elle est loin d’être la première sur la liste. C’est vrai qu’au début, c’était un simple mensonge pour faire cesser les coups. Ses coups, à lui. Parfois, elle se débat, elle griffe, elle mord, elle frappe, elle aussi. Et puis, elle crie fort, bien fort, qu’un jour, elle le tuera, et qu’elle le déteste. Et d’autres fois, elle subit, trop épuisée pour faire quoi que ce soit, elle subit, point barre. C’est vrai qu’elle a failli foutre le camp trop tôt, à cause de ça, et qu’elle a failli foutre en l’air l’occasion de repartir avec (beaucoup) d’argent. Lorsqu’elle a choisi Matheus pour cible, elle ignorait ses crises de violences, comprenez. Et puis, c’est qu’il faut le voir, Matheus, après. C’est à cause de ces « après » qu’elle décide de rester, encore un peu. Il s’en veut, Matheus, il s’en veut, et c’est pas de la comédie, c’est certain, ça, oui. Et elle trouve ça touchant, la gamine. Aussi étrange que ça puisse être, elle trouve ça touchant, et elle décide de ne pas partir maintenant, parce qu’elle a la preuve qu’il tient à elle. Et c’est, après tout, ce qu’il faut, pour amasser son pognon, au riche. Qu’il tienne à elle. Suffisamment pour qu’il ait envie de financer je-ne-sais-quoi pour qu’elle termine en première place sur une liste d’attente pour transportation cardiaque. Parce que, la gamine, elle a réussi à lui mettre en tête que les médecins, ça aiment l’argent et les pots de vins, et que ça aide pas mal pour griller des places. Faut la comprendre, sa mère -qui avait véritablement une insuffisance cardiaque- est décédée avant de le recevoir, son don, elle. La petite, elle a pensé que les riches passaient avant les autres –toujours.
DON'T DIE. EVER.
C’est terminé, qu’elle se dit, définitivement terminé. Elle a de l’argent, la petite. Plus que d’habitude. Beaucoup plus. Non, cette fois, elle a de l’espoir. Elle a quitté l’appartement de Matheus en pleine nuit. Faut pas croire, ça lui arrive souvent, cette manie, pour retrouver son frère. Elle a passé tellement de temps avec lui. Comprenez-là, ça lui semble injuste qu’elle puisse clairement pioncer chez un bourgeois et que son frère soit contraint de fermer l’œil dans un endroit miteux. Alors, elle tente de le rejoindre, quelques nuits, et puis, comme avant, elle passe quelques heures à dormir, serrée contre lui. Elle est partie, mais cette nuit, elle a pris son vieux sac avec elle, la gamine. Elle a peut-être oublié deux-trois affaires chez Matheus, mais peu importe, elle a de l’argent, et ça compense. […] Elle ouvre la porte, et elle sourit un peu bêtement en voyant son frère assoupi. Ils vont partir, ils peuvent partir. Elle le réveille, doucement. Il râle un peu en pestant qu’il aimerait bien passer une nuit complète, cette fois, sans être emmerdé par une chieuse pareille. Il râle, mais il est heureux, ça se voit, parce qu’il sourit, lui aussi, un peu bêtement. Elle s’assoit au pied de son lit et sort de son sac sa fierté. Elle les pose négligemment sur le lit, l’air de rien. Lui, il capte pas, au début. Mais quand il remarque enfin, il faut le voir, avec ses grands yeux noirs, et puis, son immense sourire. « putain, mais t’as trouvé ça où ? » haussement d’épaules. « je passais pas mes nuits chez un riche pour le plaisir. » il rit, un peu. Elle est heureuse, enfin heureuse, d’avoir fait ce qu’il faut pour eux. Ca change des quelques petits billets qu’elle ramène, parfois. Là, c’est quelque chose. Là, ce n’est pas rien. Un grand coup, un grand coup. « c’est pas possible, on peut pas, enfin, y’en a trop, vraiment trop. » elle hausse les sourcils, étonnée par ses propos. Comment peut-il en avoir trop ? Pourquoi se contenter de si peu, comme à leur habitude, alors qu’ils peuvent avoir plus ? Idiot. « Tu peux pas prendre autant à quelqu’un, enfin, merde, c’est du vol ! il se passera quoi, quand il remarquera ça ? » « on sera pas là, on peut partir. Tu dis toujours que t’en as ral-le-cul de ces connards d’allemands. Y’a assez pour quitter le pays, non ? Hein, y’a assez ? Je ne sais pas combien ça coûte, moi. » il secoue la tête. Elle ne le lâche pas du regard. Il ne peut pas l’abandonner sur ce coup. « je peux pas faire demi-tour, Liam, c’est trop tard. » Hors de question de retourner chez le riche. Il l’a rend malade, à force. « non, non, mais tu peux pas refuser. » ça monte, ça monte. Elle panique. Elle a une boule dans la gorge, et les larmes aux coins des yeux. Elle s’emballe, elle s’emballe vite, la gamine, pour un oui, pour un non, elle rit, elle crie, et parfois, elle pleure. Pas de sa faute, mais c’est qu’elle s’imaginait bien faire, elle. Une belle surprise, comprenez. Elle ne pensait pas décevoir Liam, encore moins qu’il refuserait son offre. « tu vas pas me laisser, putain. Tu peux pas, hein ? dis, tu veux pas ? » l’idée de se séparer de son frère l’effraie, en fait. Elle ne s’imagine pas faire quoi que ce soit sans lui. C’est qu’ils n’ont jamais été séparés. Et qu’ils sont devenus véritablement inséparables depuis la mort de leur mère. « je marche pas. » elle comprend pas, elle comprend pas. Elle reste un instant muette. Et puis, elle explose. Elle finit toujours par exploser, la gamine. « Tu n’es qu’un idiot, Liam, vraiment, on pourrait partir tous les deux, de cette Allemagne qui, visiblement, ne convient ni à toi, ni à moi. On a une nouvelle chance, bordel. » Et lui, il reste silencieux, à son tour, pendant dix secondes, vingt, trente. Elle en chiale, elle en chiale et il joue l’impassibilité, le con. Mais quel con. « tu devrais partir, alors. Vraiment. » elle comprend pas, toujours rien, mais elle se lève. Elle ramasse une bonne moitié des billets. Elle prend ça comme un défi, ouais. Il veut qu’elle parte ? D’accord. Elle donnerait tout pour qu’il l’invite à rester, à se nicher entre ses bras, comme avant. Mais il est dur et froid. Elle se barre, alors, elle se barre, il le cherche aussi. Et elle le verra plus jamais, son frère, et ce sera trop tard, lorsqu’il lui manquera. Décision à la con, toujours. HORS JEU ▹ GROUPE : gainsbourg.▹ AVATAR : kristine froseth▹ SCENARIO ou PERSONNAGE INVENTE : personnage inventé. ▹ PSEUDO/PRENOM : spleen. ▹ ÂGE : dix-sept ans. ▹ OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : bazzart. ▹ PRESENCE : hm, assez présente.
Dernière édition par Marla Ainsworth le Ven 1 Mar - 20:35, édité 16 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: real eyes, realize, real lies. Dim 24 Fév - 13:27
+1 si jamais. peut-on me réserver Froseth ?
E. Anakin Cohen
THAT'S THE SPIRIT
“Why’s it starting to feel like you’re Batman and I’m Robin? I don’t wanna be Robin all the time!”
Sujet: Re: real eyes, realize, real lies. Dim 24 Fév - 13:29
BIENVENUE SUR LE FORUM & bon courage pour ta fiche
Ronnie P. des Pugets
les meurtrières.
les dieux nous envient parce que nous sommes mortels, parce que chacun de nos instants peut être le dernier, et que tout est beaucoup plus beau car nous sommes condamnés. tu ne seras jamais plus ravissante qu'à cet instant. plus jamais nous ne seront seuls ici tous les deux.
▹ A PARIS DEPUIS : 20/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 811 ▹ PSEUDO : northern lights. (manon) ▹ CREDITS : lollipops.
Sujet: Re: real eyes, realize, real lies. Dim 24 Fév - 23:09
Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche
Invité
Invité
Sujet: Re: real eyes, realize, real lies. Lun 25 Fév - 10:12
Bienvenue à Pariiis
Invité
Invité
Sujet: Re: real eyes, realize, real lies. Lun 25 Fév - 10:15
Bienvenue à Paname
Lux Grayson
▹ A PARIS DEPUIS : 24/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 221 ▹ CREDITS : Mattress hole (avatar)
Sujet: Re: real eyes, realize, real lies. Lun 25 Fév - 10:31
Bienvenue parmi nous Autant dire que j'adore ton pseudo et ton vava
Invité
Invité
Sujet: Re: real eyes, realize, real lies. Lun 25 Fév - 10:41
Danielle St-Martin a écrit:
Bienvenue parmi nous
merciii.
T. Hugo Amiel a écrit:
bienvenue à toi
Leto. merci.
Chanel-Rose I. LaCroix a écrit:
Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche
Merciii.
Marilyn Dubois a écrit:
Bienvenue à Pariiis
Merci.
Raphaëlle A. Delaunay a écrit:
Bienvenue à Paname
merciii.
Lux Grayson a écrit:
Bienvenue parmi nous Autant dire que j'adore ton pseudo et ton vava
merci. je connaissais pas ton avatar, mais il est trèèès beau.
Invité
Invité
Sujet: Re: real eyes, realize, real lies. Lun 25 Fév - 22:52
BIENVENUE.
Invité
Invité
Sujet: Re: real eyes, realize, real lies. Mar 26 Fév - 16:56
Toi Bouge un peu ton boule chérie ! T'es Belle. Cela fait plaisir de te revoir. J'te veux. C'tout. Point barre. Au souvenir du bon vieux temps où Betty et Félix se câlinaent
Invité
Invité
Sujet: Re: real eyes, realize, real lies. Mer 27 Fév - 19:11
Ninon Beauchamps a écrit:
BIENVENUE.
ROSIIIIIIE. merci.
Océane Roche a écrit:
Toi Bouge un peu ton boule chérie ! T'es Belle. Cela fait plaisir de te revoir. J'te veux. C'tout. Point barre. Au souvenir du bon vieux temps où Betty et Félix se câlinaent
je me dépêche, je me dépêche. tu m'auras, tu m'auras !