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nous sommes fières de t'accueillir sur la version 2.0 de FOQUE YOU, I'M PARISIEN nous te souhaitons la bienvenue parmi nous et nous espérons que tu t'y sentiras comme chez toi !
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I ♥ RIEN, JE SUIS... ambitieuse, stratège, obstinée, lascive, lucide, créative, véhémente, intense, loyale, acerbe, médisante, excessive, intransigeante, caustique. J'AIMELes séries télévisées. Si elle rêve beaucoup trop d’Amérique et de ses grandes productions, elle ne peut s’empêcher de dévorer leurs séries avec une avidité peu commune. De Community à Mentalist en passant par Shameless et Lost Girl, elle pourvoie un répertoire immense et toujours plus varié. – La plage. Fille des villes, elle chérit la plage comme une mère son enfant. Elle adore sentir le sable sous ses pieds, le bruit des vagues, le soleil qui caresse sa peau. Autant elle abhorre le ski et ses paysages enneigés, autant les bords de mer lui donnent immédiatement le sourire. Qui dit plage dit bikini, bronzage, robe d’été, maitres nageurs… - Si la jeune femme connaît quelques limites, elle n’a rien contre les soirées alcoolisées, bien au contraire. Danser, boire, rire, draguer. Elle aime l’ambiance des boites de nuit, le gout de la vodka et la musique envahissant ses oreilles. Si elle boit rarement jusqu’à en oublier sa soirée, elle peut dire merci à son métabolisme qui lui a toujours épargné les gueules de bois matinales. – Les hamburgers la font saliver rien qu’à y penser. Comme toute jeune parisienne qui se respecte, elle fait attention à sa ligne mais rien ne vaut un bon cheeseburger à la sortie de boite, bien graisseux, fondant dans la bouche. - Candice voue un culte tout particulier à son ours en peluche nommé ketchup lors de ses plus jeunes années. Seul bien offert par son père biologique, il dort dans son lit chaque nuit et lui réserve une place toute particulière dans ses bagages lorsqu’elle voyage. - Ce qu’elle fait assez régulièrement puisque la demoiselle adore découvrir de nouvelles contrées. Se fondre dans la foule des mexicains, danser à cuba ou boire trop de vodka à kiev. Elle passe autant de vacance qu’elle le peut à l’étranger et ne s’en lasse pas. Tout un pan de mur est consacré aux photos qu’elle prend, aux souvenirs qu’elle ramène. - Si l’odeur de la sueur l’incommode quelque peu, excluant donc tout sport de son calendrier, Candice pratique pourtant la salsa depuis déjà presque six ans. Elle aime le contact avec son partenaire, la musique latine et la proximité que cette danse implique. JE N'AIME PASLes hommes nounours. CC n’a pas une très bonne approche de l’amour et a une tendance assez farouche à fuir tout ce qui ressemble de près, ou de loin à un engagement. Elle n’apprécie que moyennement les compliments n’en faisant que très peu elle-même et ne supporte pas ceux qui avoue leur amour au bout d’une semaine. – Les films d’horreur. Elle s’effraie pour un rien et s’imagine trop facilement que les ombres prennent vie la nuit. Elle n’en regarde jamais sous peine de se blottir sous sa couette, son ours en peluche sous le bras, des cauchemars pleins les paupières. – Parler de son père. Son véritable père. Sa mère disait peu de choses. Trop blanc, trop grand, trop pauvre, trop glandeur, trop irascible, trop, trop, trop. Mais pour elle surtout pas assez. – Les piercings. En plus de trouver ça hautement inconfortable, elle ne trouve aucune harmonie, aucune beauté au fait de se retrouver percé, sur quelque endroit que ce soit. – La neige. Son âme d’enfant continue à s’extasier lorsque les flocons envahissent le ciel parisien mais son esprit plus critique comprend bien que c’est une horreur. La glace, le verglas suivi de cette boue infâme le long des trottoirs. Les films de Woody Allen. Où les autres voient un génie elle ne voit qu’un vieil homme dont les idées se recoupent encore et toujours. – La bière et le whisky. Pour le premier, ce n’est pas un drame, le vin blanc faisant parfaitement l’affaire pour un apéritif un peu plus casual mais sa mère continue de lui répéter qu’une femme de bonne famille doit s’y connaître en whisky. Si ce n’est le fait que sa mère, issu des quartiers dit à risques de bordeaux, a tout apprit sur le tard, la demoiselle ne peu bore un verre de l’alcool sirupeux sans le rendre dans la foulée. Triste histoire.
« shorty get down, good lord, baby got them up open all over town. »
Elle se rappelait vaguement les instructions de sa mère qui continuait bravement a essayer de s’impliquer dans la vie de sa fille. Thés à foisons et soirées caritatives faisaient lieu de soirées en famille au grand désarroi de Candice. Elle répétait, jamais, ô grand jamais ne porte de pantalon en cuir, tu n’es pas un tueur à gage. La Clein n’était pas une rebelle, elle ne séchait pas les cours, avait un futur, un avenir, un but. Et pourtant elle se trouvait sur le trottoir, vêtue d’un pantalon en cuir et d’une chemise blanche à dentelle approximativement transparente. Son sac à la main, elle observe la foule qui piétine devant le club, à la merci des videurs. Son téléphone vibre dans son sac mais elle ne le sort pas. Elle sait, elle est encore en retard. Elle n’attend pas plus longtemps et ses talons claquent sur les pavés parisiens tandis qu’elle remonte la file sous le quolibet de certains impatients. Elle esquisse un sourire à Bastien, le grand brun à l’entrée. Il occupe aussi le rôle de gardien dans son hôtel. Elle lui glisse discrètement un billet de vingt dans la poche de son blouson avant de passer la corde qu’il enlève pour elle. D’abord vient la musique. Forte. Les basses résonnent dans son corps. La chaleur arrive juste après. Le genre de chaleur étouffante qu’on ne trouve qu’ici. Le vestiaire est sa première étape, le bar sa deuxième. Elle aperçoit la table de ses amis, leur fait un léger signe de la main ainsi qu’un sourire avant de se tourner vers le bar pour attirer l’attention du barman et commander deux shots de tequila. Elle est en retard sur ses camarades, un devoir à finir. « CANDIIICE ! » La voix de Barbara lui aurait probablement déchiré les tympans s’il n’y avait pas eu David Guetta en fond sonore. Candice ouvre les bras, y accueille sa meilleure amie qui se presse contre elle. BB et CC, deux monuments historiques. Deux entités parfaitement dissociables et pourtant si semblables. « Viens, il y a le frère de… » Le reste de ses paroles se perd dans la foule et Candice peine à boire ses deux shots avant d’être happée par cette main qui traine sa carcasse inlassablement. Elle sent l’alcool brulant réchauffer ses entrailles tandis qu’elle dit bonjour à tout le monde. Une bise par ci, une bise par là. Et sans le moindre hasard, elle se retrouve près de lui. Le frère de. Elle a beau ne pas savoir à qui il est relié, il n’en est pas moins certain qu’il était à son goût. Grand, brun, ses muscles se devinaient sous sa chemise hors de prix. HORS JEU ▹ GROUPE : yves saint laurent ▹ AVATAR : tiera skovbye ▹ SCENARIO ou PERSONNAGE INVENTE : scénario de zadig ▹ PSEUDO/PRENOM : al ▹ ÂGE : vingt-et-un ans ▹ OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : bazzart ▹ PRESENCE : principalement la semaine.
Dernière édition par Candice Clein le Lun 25 Fév - 15:52, édité 10 fois
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Sujet: Re: cc. deal whith it. Lun 25 Fév - 11:00
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Sujet: Re: cc. deal whith it. Lun 25 Fév - 11:02
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Sujet: Re: cc. deal whith it. Lun 25 Fév - 11:02
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: cc. deal whith it. Lun 25 Fév - 11:05
merci
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Sujet: Re: cc. deal whith it. Lun 25 Fév - 11:06
Bienvenue :)
Ronnie P. des Pugets
les meurtrières.
les dieux nous envient parce que nous sommes mortels, parce que chacun de nos instants peut être le dernier, et que tout est beaucoup plus beau car nous sommes condamnés. tu ne seras jamais plus ravissante qu'à cet instant. plus jamais nous ne seront seuls ici tous les deux.
▹ A PARIS DEPUIS : 20/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 811 ▹ PSEUDO : northern lights. (manon) ▹ CREDITS : lollipops.