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nous sommes fières de t'accueillir sur la version 2.0 de FOQUE YOU, I'M PARISIEN nous te souhaitons la bienvenue parmi nous et nous espérons que tu t'y sentiras comme chez toi !
si tu es nouveau, nous t'invitons à aller lire le règlement et le contexte. des scénarios sont également à ta disposition, n'hésites pas à y faire un tour et peut-être faire le bonheur de l'un de nos membres ! puis direction la fiche de présentation, tu as cinq jours pour la terminer.
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I ♥ RIEN, JE SUIS... Je suis ... J'en sais rien en fait. Je crois qu'il y a une part de jalousie quelque part en moi. La jalousie de la vie tranquille et délicieuse des autres. Ensuite, il y a la gourmandise. C'est pas vraiment un trait de personnalité dis comme ça, mais ça l'est chez moi. Je suis gourmande de tout, de vivre avant tout même. Et puis, il y a la curiosité. Ça a sans doute grandi avec le cirque, parce que quand on vit dans un cirque, on voit des tas de choses. Des choses qu'on ne pense pourtant pas pouvoir voir un jour, et qu'on ne pense même pas pouvoir découvrir un jour. L'esprit est stimulé par l'esprit après tout. Puis ensuite, il y a l'insouciance. J'ignore si c'est une qualité, ou une bêtise, mais malgré les coups durs que m'a donné la vie, j'ai toujours été insouciante, et j'ai toujours continué à m'émerveiller de tout. J'ai aussi un côté très observatrice. Je ne parle pas forcément facilement aux inconnus, mais j'ai un certain talent pour les observer. Je parviens à en apprendre beaucoup grâce à ça, et ça m'aide à ne pas approcher les gens qui n'en valent pas la peine. Je suis aussi quelqu'un d très attentive, et capable d'apprendre rapidement. Il le fallait au cirque, et vraisemblablement, c'est une qualité dans la vie quotidienne, et ça me sert beaucoup dans mes études. Je crois que la liste de mes qualités s'arrête ici, mais j'ai aussi des défauts... J'ai aussi beaucoup de défauts, c'est un fait, et l'un des premiers est sans doute ma tendance à l'excès. Je fais toujours les choses avec un côté excessif, et je pousse certaines limites au delà du raisonnable. Certains diront que ça finira par me tuer, mais je ne suis pas de cet avis, et de toute façon, ce n'est plus le moment d'y penser. Mais si ça s'arrêter là, tout serait idyllique. Alors il y a aussi la méfiance. Parce qu'avec la vie que j'ai eu, j'ai appris à me méfier. Donner sa confiance trop rapidement, c'est dangereux, et nocif à notre bonheur. Il y a cette espèce de crainte des gens. C'est sans nul doute un défaut, mais je ne peux strictement rien faire pour ne pas l'éprouver. Les gens m'effraient à cause de la douleur qu'ils pourraient me provoquer... J'ai aussi, et je le reconnais, un côté peste. Lorsqu'on s'attaque au tigre, il ne faut pas être étonner de rencontrer ses griffes et de les voir venir se loger dans votre peau, et y faire de multiples lacérations aussi douloureuses que dangereuses... Et puis, c'est difficile à expliquer, mais je juge que mon plus gros défaut, c'est cette capacité à tout emmagasiner avant d'exploser de colère et de ne plus être sous contrôle. J'ai l'air de la fille gentille, prête à tout entendre, mais ce n'est qu'une apparence, faites moi confiance pour ce qui est de cela. Ma colère est alors ingérable et très destructrice. J'AIME Les chevaux. C'est la chose qui compte le plus pour moi, et que j'aime le plus. J'ignore pourquoi ils m'ont fasciné à ce point, mais ça a toujours été ainsi, et il est hors de question que mon amour pour eux ne change. La vie. Voir les autres mourir dans les flammes m'a peu à peu enseigné la valeur de la vie. Elle est plus belle que ce qu'elle peut avoir l'air d'être, et je dénigre tout ces gens qui la regarde avec dégout, voir avec haine. La vie mérite d'être vécue et d'être aimée pour ceux qui l'ont perdu. Le cirque. Le cirque a représenté ma vie durant des années, et malgré la fin tragique qu'a eu ma vie de saltimbanque, je ne peux m'empêcher d'aller voir les spectacles de cirques qui passent parfois en ville. Le cirque c'est la magie, et la beauté ultime résumée en un seul lieu, sous une seule tente. Le printemps. Le printemps a toujours représenté quelque chose de doux et d'agréable pour moi. Sans doute parce que c'était à chaque printemps que j'étais la plus heureuse dans ma vie. La douceur de l'air printanier a quelque chose de vraiment magique pour les balades à cheval, et pour les promenades. Les muffins. Parce que les jours où toutes mes larmes me reviennent et où j'ai envie de disparaître, croquer dans un muffin est la chose la plus délicieuse qui m'ait été donné de faire, et ce malgré le fait que ce soit quelque chose qui soit arrivé tardivement dans ma vie. Les muffins n'étaient pas souvent au menu quand je vivais au cirque. Les orchidées. Elles ont toujours été ma fleur préférée, sans doute était-ce pour ça que j'avais insisté auprès de Igor pour en porter une dans les cheveux lorsque je faisais mon numéro. La pâleur et la fragilité de l'orchidée contrastait tellement bien avec la puissance et la beauté des chevaux noirs... Le violoncelle. J'ignore pourquoi, mais cet instrument m'a toujours rendu heureux, et m'a toujours procuré une sensation de bien-être. Il y a des choses, comme ça, que l'on ne s'explique pas. Et malgré tout l'excès dans lequel je vis, ces choses simples me rendent heureuse... Les flammes. La chose la plus fascinante qu'il m'ait jamais été donné de voir... Après tout, elles m'ont toujours fascinées, c'est sans doute ce qui fait que j'aime tellement allumé mon briquet et plonger les yeux dans la flamme qui sort du briquet. C'est la chose que je crains le plus au monde. Elles ont quelque chose de terrifiant, et elles sont bien trop proches de la mort pour moi. Je crois que le jour où je reverrais une flamme sortir d'ailleurs que d'un briquet, ce sera l'heure de ma mort.
JE N'AIME PAS La mort. C'est sans doute la chose la plus stupide que j'ai jamais eu à dire, mais la mort me répugne. Pas parce qu'elle signifie la fin de la vie, non. Parce qu'elle m'a arraché trop de gens. L'hiver. L'hiver est froid, et surtout lorsqu'on vit seul, comme c'est le cas en ce moment, pour moi. L'hiver vous glace le sang, et fini par vous tuer, comme par un simple coup dans le dos. Il vous prend par surprise, et personne, non aucun de vos proches, ne sent venir le coup... Pourtant, il tue chaque parcelle de bonheur de votre cœur. Les guêpes. Allez savoir si c'est à cause de la fichue piqure à laquelle j'ai eu le droit lors de l'une de nos représentation, il n'empêche que je déteste ces bestioles. En voir une voler autour de moi me rend tout simplement malade. Je cours autour des arbres en hurlant lorsque j'en vois une... La télévision. C'est sans doute stupide, parce que c'est l'endroit où tout est possible d'après ce qu'ils disent, mais je ne supporte pas la bêtise que nous offre la télévision. Oui, j'ai choisi l'excès dans ma vie, où plutôt m'a-t'il choisi, mais il est stupide de l'offrir aux yeux des jeunes à la télévision. Les bananes. C'est une bête question de goût. Mais de la même façon qu'un muffin peut réussir à me rendre le sourire en une seule bouchée, les bananes me donnent l'envie de vomir. Leur texture, et leur goût trop sucré, très peu pour moi. Ce n'est définitivement pas le genre de chose que j'apprécie. La crainte. Je ne parle pas de celle qu'il peut m'arriver de ressentir, non, je parle de celle que l'on est contraint de lire, parfois, dans le regard de certaines femmes qui ne savent pas comment affronter leur petits amis autoritaires et désagréables. Après tout, toute femme DOIT être libre. Peut importe ses choix de vies. Les aux revoirs. C'est toujours le moment le plus douloureux après tout. Celui qui fait le plus mal, et qui fait le plus pleurer, et puis il y a aussi les moments où on ne peut pas dire au revoir. Ceux où la vie fait qu'on voit les gens disparaître, sans avoir le temps de leur dire au revoir...
L'HISTOIRE « « Je suis venu pour te voler Cent millions de baisers. » »
12/04/1991: Le jour d'une naissance dans la famille Adamski. La famille Adamski était une famille de fermier Polonais. Une famille qui neuf mois auparavant, avait appris la naissance future d'une charmante petite fille. Une petite rouquine qui poussa son premier cri ce jour là, et qu'on baptisa du nom de Sinéad, Eleanor Adamski. L'ainée d'une famille, que les parents voudraient particulièrement grande. Après tout, quelle plus grand joie pourrait-il y avoir, que celle de voir courir ses enfants dans les prés et de les voir jouer et apprendre à vivre avec les chevaux. Sinéad serait la première de ces enfants. Personne ne pourrait nier, dans les alentours, qu'elle était une Adamski. Sa tignasse et ses tâches de rousseurs étaient, et seraient toujours là pour le prouver. D'ailleurs, les premières années de la vie de Sin fut comme ses parents l'avaient imaginés. Elle vivait entouré des animaux, et aimait passer de longues heures à jouer et à observer les chevaux. Mai 1999: Elle rentrait d'une longue promenade avec sa jument préférée ce jour là. Du haut de ses huit ans, elle avait vue la fumée au loin, mais c'était lorsqu'elle avait été face aux flammes qu'elle avait compris ce qui était en train de se passer. Et avec toute l'insouciance d'une enfant, elle avait vue le feu anéantir la ferme de ses parents, et emmener avec lui, ses parents. Elle se souvenait du souvenir de sa mère, lui annonçant quelques semaines auparavant qu'elle allait bientôt être grande sœur et du rire de son père, la prenant sur ses épaules en imitant les chevaux. Cette époque là, était révolue. Sa famille avait disparue, et ce malgré les efforts des gens venus essayé d'éteindre le feu. Pourtant, observant ce spectacle de loin, elle se rendait compte qu'elle n'avait tout simplement jamais été aussi fasciné par quelque chose, sauf peut-être par les chevaux. Quelques jours plus tard, Igor apparu dans ma vie. Il me recueillie, sans que je puisse pourtant savoir en quoi est ce que cette vie consisterait. Il m'expliqua finalement qu'il tenait un cirque... Et me laissa retrouver mes compagnons de toujours: les chevaux. Sans eux, et sans Igor, jamais la petite fille ne s'en serait sortie. 2001: Du haut de ses 10 ans, la jeune Sinéad passait l'essentiel de ses journées, et de ses nuits, auprès des chevaux. Elle leur racontait tout, et semblait avoir, en retour, développer un véritable don avec eux. Elle parvenait à leur faire faire certaines choses, et parvenait à les monter dans des positions particulièrement complexes. Alors Igor vit la plus belle occasion de sa vie, et ils commencèrent à travailler, ensemble, à un numéro. Elle voyait la plus belle occasion de sa vie, et elle avait tout simplement décidée de réussir. Ce ne fut pas si difficile. Ces quinze chevaux noirs lui offraient quelque chose qu'elle n'avait jamais pu vivre avant, et cela éblouit doucement, les yeux du public. A force de jour, et de temps, le numéro de la jeune écuyère se développa. et elle devint bientôt le numéro phare de ce cirque où elle vivait maintenant, et qui était devenu sa famille. 2005: Il avait quinze ans. Le même nombre que celui de mes chevaux. Il était français et il avait décidé de nous rejoindre. Comment aurais-je pu être plus heureuse? J'avais enfin quelqu'un de mon âge, ou presque, avec qui passer cette vie. Cela signifiait que nous étions deux maintenant, les deux enfants étoiles. Il me fascinait lorsqu'il montait sur son fil, et c'était moi qui l'avait fasciné le jour où il avait décidé de s'engager avec nous. Il m'avait appris les vices auquel je n'aurais jamais du goûter, et c'est à cause de lui que j'ai commencé à fumer sur le toit du train, la nuit. Il était mon repère, celui qui égayait chacune de mes journées, et qui me protégeait des regards, parfois déplacés, des autres saltimbanques. Et puis il était celui qui m'aidait à tenir le coup lorsque, la nuit, mes cauchemar venaient me terrasser. Il s'appellait Gaëtan, et il était, en quelque sorte, le frère que je n'avais jamais eu. Il n'était pas vraiment un frère, il était plus que cela en réalité. Après tout, c'était aussi lui, qui me promettait qu'un jour viendrait, où nous vivrions seuls, ensemble, avec notre ferme et nos chevaux... C'est comme ça que tout aurait du se passer. 2010: Un pari, un soir, à Varsovie. On m'avait simplement lancé un stupide pari. Rien n'aurait du se dérouler de la sorte. Pourtant, les flammes avaient grandis. J'avais commencer à allumer les flambeau sans que Pawel n'ait eu le temps de m'expliquer qu'il ne fallait JAMAIS les allumer côte à côte. Le vent avait emporté le feu, et la toile où avait lieu le spectacle avait commencé à s'enflammer. Je savais ce que cela signifiait. Le premier numéro, c'était celui de Gaëtan, et j'étais certaine que le feu ne serait pas éteint assez rapidement... J'avais laissé tombé le flambeau qui servait à allumer les autres, et j'avais couru. Je n'avais jamais couru aussi rapidement de toute ma vie. Les gens couraient vers la sortie, moi je courrais jusqu'à lui. Je le vis, droit sur son fil. Nous étions tous au sol, et pouvions tous accéder à la sortie. Pas lui, les flammes avaient déjà envahis la piste, et descendre était devenu impossible. J'ai croisé son regard, il a semblé me dire...« j'ai été ravi de te connaître », il m'a regardée en sachant qu'il allait mourir. La fumée me piquait, et il fut difficile de savoir si mes larmes étaient dû à mon chagrin ou à la fumée... Je perdis connaissance. 2013 Je vis maintenant à Paris. Lorsque je m'étais réveillée, après mon intoxication, j'avais demandé à Igor où aurait lieu l'enterrement de celui dont j'avais effacé la vie... Il m'expliqua alors que mon funambule avait survécu. Mais que les brulures et les blessures avaient été multiples et très difficiles. Mais aussi qu'il avait rejoint sa ville d'origine, Paris. Je mourrais d'envie de le rejoindre, mais je n'avais pas le droit de le faire, du moins c'est ce qu'Igor me disait. Il justifiait son choix de la sorte: « Tu comprends, si tu vas le voir, il va t'en vouloir, Sinéad. » Mais dans le fond, ma décision avait été prise. J'allais quitter le cirque, sans lui, ça n'avait absolument plus de sens. Je n'arrivais plus à rien sans lui. J'abandonnais une famille, et j'abandonnais mes chevaux, mais j'avais besoin de le retrouver. Peut importait ce que j'y trouverais, je partirais pour Paris. Je vis à Paris depuis un an maintenant. J'adore cette ville. Je m'y sens bien, je m'y sens neuve, et un jour, je suis sûre que je m'y sentirais heureuse... Il ne me manque qu'une chose ici. Je n'avais pas retrouvé Gaëtan. Ce prénom, c'était la seule chose que j'avais de lui. Je ne savais ni qu'il portait un deuxième prénom, ni quel était son nom de famille. J'apprenais à vivre à la française comme on dit, et finalement, je multipliais les excès: Les soirées, les amis, l'alcool, le sexe. Tout. C'était ça maintenant, ma vie. Maintenant, je suis des études de vétérinaire, et j'ai un job de serveuse la nuit, pour payer mon loyer. Ces études me permettraient de retrouver les animaux, et je savais qu'avec eux, je serais heureuse à nouveau. J'avais toujours besoin de revoir Gaëtan, pour lui avouer. Pour le retrouver... Mais pas une trace de lui...
HORS JEU ▹ GROUPE : Serge Gainsbourg ▹ AVATAR : dasha sidorchuk ▹ SCENARIO ou PERSONNAGE INVENTE : Scenario ▹ PSEUDO/PRENOM : Emy ▹ ÂGE : 21 y.o ▹ OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : Sur un top site▹ PRESENCE : 5/7 en moyenne.
Dernière édition par Sinéad E. Adamski le Jeu 28 Fév - 15:43, édité 33 fois
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Sujet: Re: SINEAD E. ADAMSKI - LET US FLY AWAY - END Jeu 28 Fév - 13:05
Bienvenue
Ronnie P. des Pugets
les meurtrières.
les dieux nous envient parce que nous sommes mortels, parce que chacun de nos instants peut être le dernier, et que tout est beaucoup plus beau car nous sommes condamnés. tu ne seras jamais plus ravissante qu'à cet instant. plus jamais nous ne seront seuls ici tous les deux.
▹ A PARIS DEPUIS : 20/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 811 ▹ PSEUDO : northern lights. (manon) ▹ CREDITS : lollipops.
Sujet: Re: SINEAD E. ADAMSKI - LET US FLY AWAY - END Jeu 28 Fév - 13:19
J'ai vu "Sinéad" je me suis dis WTF déjà ? Bon. Omg. MERCIIIIIIII. Merci vraiment de tenter mon scénario. En plus tu as gardé le prénom et Dasha est juste parfaitement parfaite, mon dieu. Non mais le service express là. N'hésite pas à me harceler de millions de MP s'il le faut.
Spoiler:
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Sujet: Re: SINEAD E. ADAMSKI - LET US FLY AWAY - END Jeu 28 Fév - 14:31
Bienvenue à Pariiis
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Sujet: Re: SINEAD E. ADAMSKI - LET US FLY AWAY - END Jeu 28 Fév - 15:37
Bienvenue ici demoiselle
Ronnie P. des Pugets
les meurtrières.
les dieux nous envient parce que nous sommes mortels, parce que chacun de nos instants peut être le dernier, et que tout est beaucoup plus beau car nous sommes condamnés. tu ne seras jamais plus ravissante qu'à cet instant. plus jamais nous ne seront seuls ici tous les deux.
▹ A PARIS DEPUIS : 20/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 811 ▹ PSEUDO : northern lights. (manon) ▹ CREDITS : lollipops.
Sujet: Re: SINEAD E. ADAMSKI - LET US FLY AWAY - END Jeu 28 Fév - 17:54
Je n'avais pas pris le temps de lire le scénario d'Harlem, mais dieuu qu'il est génial C'est tellement émouvant je trouve Je te valides avec grand plaisir et gardes moi un super lien de côté
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Sujet: Re: SINEAD E. ADAMSKI - LET US FLY AWAY - END
SINEAD E. ADAMSKI - LET US FLY AWAY - END
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