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I ♥ RIEN, JE SUIS... pas parfait, clairement. C'est dit au moins... Nan, sans blague ? Je suis un homme plutôt curieux. J'aime farfouiller dans les affaires de mes potes, histoire de dénicher un sujet de taquinerie. Du genre le nom des dernières gonzesses qu'ils ont ramenés à l'appartement. Ouais, j'suis un connard en fait. Ça aurait été mon deuxième prénom, si j'en avais eu un. Je suis un mec jaloux. Jaloux en amour, comme en "amitié" si je peux dire. Disons que ça me fait chier de voir l'un de mes potes avec une nana. J'suis possessif aussi. Surtout en amour en fait. J'aime pas qu'on touche à ma nana. J'aime pas non plus que l'un de mes potes me pique ma dernière conquête, soyons bien clair là-dessus. J'suis fier. Ma fierté est trop grande pour que je daigne m'excuser auprès de qui que ce soit pour une futilité. C'est bête, hein ? Sinon, je suis aussi fidèle en amour et rancunier. Très rancunier même. Je supporte pas que les personnes que j'aime souffrent. Autant par ma faute, que par la faute d'une autre personne. Je suis lunatique et trop pensant. Je pense toujours à tout. J'vis sur ma lune, j'suis même une tête en l'air. J'oublie souvent ce qu'on me dit de faire, comme j'oublie de faire les courses pour mes potes. J'suis une mec sympa et dragueur aussi. Un beau-parleur, même. En fait, je suis beaucoup de choses à la fois. Je suis aussi con que je peux être adorable. Je suis romantique comme je peux être un vrai bâtard. En fait, je suis compliqué à cerner. J'AIME le calme ▹ la tranquillité ▹ fumer un coup ▹ prendre une barre avec mes potes ▹ me saouler et rentrer à pied à l'appart ▹ draguer ▹ charmer les mamies en étant complètement saoul ▹ marcher seul ▹ faire la bouffe ▹ préparer un nouveau défilé ▹ acheter de nouveaux fringues ▹ mes ray bans chéries ▹ sortir et faire la fête ▹ passer pour un taré ▹ faire le con avec les potes ▹ la vie de coloc ▹ les femmes comme les hommes ▹ la famille ▹ les ami(e)s ▹ que les gens me regardent dans la rue ▹ qu'on parle de moi. JE N'AIME PAS qu'on me prenne la tête pour une connerie ▹ qu'on me manque de respect ▹ les personnes qui se permettent de me juger ▹ celles qui se permettent de faire du mal à mes amis ▹ penser à elle ▹ me dire que j'aimerais l'avoir auprès de moi ▹ quand les potes me parlent d'elle ou qu'ils me taquinent sur mes conquêtes ▹ qu'ils racontent des conneries sur moi aux nana qu'on croise en boites ▹ encore moins qu'un d'eux me pique ma nana, ouais c'est déjà arrivé ▹ paris, j'aime pas cette ville ▹ tout comme j'aime pas me dire que j'suis français, bah ouais j'suis italien ▹ me geler les fesses dehors, en plein Paris.
Dernière édition par Alceo-Vito Sàggio le Dim 3 Mar - 20:47, édité 1 fois
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Alceo-Vito Sàggio
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Sujet: Re: ALCEO-VITO ▹ « A trop regarder par le trou de la serrure, on se prend la porte dans la gueule. » Dim 3 Mar - 16:25
L'HISTOIRE « Toute la nuit, j'ai cru entendre le chromosome en plus qui tournait en rond dans ma case en moins. »
Tu tires une dernière taffe sur ta cigarette puis tu l'as jette, comme une merde sur le sol. Ton visage se crispe, le froid envahit doucement ton corps. Tes mains gèlent au contact de cet air frais. Tu frémis. T'es dehors depuis des heures, à marcher. Seul, comme un con. Tu penses. Tu réfléchis. Tu remets en doute ta décision. Tu l'as blessé, tu le sais toi-même. Tu lui as manqué de respect en la traitant de conne. T'es partie. Simplement. Comme elle te l'as demandé ? T'es sortie de chez elle et t'as marché. Tu n'avais rien d'autre à faire après tout. T'es un con, un abruti même. Tu l'as perdu. Et ce, à jamais. Elle ne veut plus te voir, elle te l'a avoué. Si durement, si froidement qu'elle t'a fait frémir de peur. T'as pris peur, t'en avait marre de son comportement, c'est vrai, mais ça te fais chier. Cette situation, elle te fait chier. T'as perdu ton amie d'enfance, ta meilleure amie, ton histoire de cul et aussi ton histoire de cœur. Cette fille tu l'aimais. Depuis des années, vous étiez ensemble. C'était beau. Elle te comblait au début. Tu l'aimais. Ouais, t'as peur de l'avouer au monde, mais c'était bel et bien le cas. Elle te faisait vivre, elle te faisait te sentir toi. Ton cœur battait à l'unisson avec le sien depuis tellement de temps. T'aimerais revenir en arrière, t'excuser d'avoir joué au con avec son cœur, d'avoir joué avec sa fierté. Mais tu peux pas, tu le sais. Elle l'a dit. T'y peux rien. Alors, tu fermes ta gueule et t'avance. Tu fermes les yeux et tu la rayes de ta vie. Entre nous, c'est beaucoup mieux comme ça, nan ? Tu sers les dents, tu tires sur ta veste. T'as froid, putain, c'que t'as froid. L'hiver parisien te glace le sang. Tu veux rentrer. Te réchauffer. Poser tes fesses contre un radiateur et attendre que la chaleur réchauffe ton corps. Et ton cœur au passage. Tu sors, encore. Une énième fois pour te changer les idées. Londres t'a accueilli à bras ouvert, les Anglaises aussi. Tu préfères sortir et boire un coup plutôt que de rester sagement chez toi, le cul dans ton lit et la tête pensante. Tu sors une clope de son étuis et l'allume, de ton petit briquet noir. Tu veux boire, planer et tirer. C'est tout ce que tu désires ce soir. No feeling, comme diraient ses Anglais que tu croises dans la rue. Tu vis ici depuis six mois. Tu crois y avoir trouvé ta place. T'apprend la langue, les coutumes. Bien que tu t'en fous. T'as changé. Mais t'es toujours ce con, celui qu'elle aimait tant. Le con qu'elle avait pourtant foutu dehors, pour une histoire conne en somme. On est d'accord, n'est-ce pas ? Bref ! Tu veux pas y penser. Tu veux t'amuser ce soir. Pas de sentiments, pas de baiser, pas de beaux mots. Juste profiter de ton physique auprès de ses dames et les faire crier toute la nuit. Ouais, t'es un bâtard mec. Un gros con même. T'es devenu celui que tu voulais pas. Celui que tu refusais d'être pour Carrie. Putain, ça te fais chier de parler d'elle. T'as essayé de l'oublier, tu lui en veux surtout. Mais tu sais pas. Tu te demandes ce qu'elle devient loin de toi. Tu demandes si elle est avec un mec. Si un bâtard dans ton genre l'a touché cette nuit. Ouais, t'es le con qui se pose toutes ses questions. T'aimerais dire que cette fille te manque pas, qu'elle ne fait plus partie de ta vie. Mais toi et moi, on sait bien que c'est pas le cas. Qu'au fond, ses années à ses côtés, resteront à jamais gravées dans ton cœur. Tu quittes Londres pour Paris, comme t'avais quitté Paris pour Londres. C'est rapide, un coup de tête. T'arrêtes tes études. Après plus de deux ans en Angleterre, tu veux reprendre ta vie. Tu veux laisser une chance à ce monde. Tu te décides à intégrer une agence de mannequinat. Ouais, tu sais très bien que ton corps plaît. Que ce soit en Angleterre ou en France, c'était pareil. Tu rentres à la maison. Tu revois ta mère. Puis ton père. Des médecins, tous ou presque. C'est ta famille. T'es conscient que t'as loupé des trucs, mais tu sais pas quoi dire en les voyant. Tu décroches un salut. Ton père te regarde et tu le fuis presque du regard. Il est pas content. T'as lâché son rêve de toubib pour une carrière de mode. Putain, tu l'as déçu mec. Mais dans le fond, il est content de te revoir. Comme ta mère. Tu leur à manqué à ces deux-là. Dans le fond, eux aussi t'ont manqué. C'est tes parents, ceux qui t'ont tant appris. T'es leur gamin. C'est tout, juste leur putain de gamin. Ta mère te serre dans ses bras. Tu sais pas trop comment réagir. C'est vrai, tu l'as pas vu depuis tant de mois. Alors tu passes tes bras autour de son ventre et tu la tient fort contre toi. Comme si t'allait mourir. Comme si t'allait repartir. Comme si tu disais une autre fois au revoir. Comme si tu leur avouait que t'allais crever. Ton père, il reste là à vous regarder. Tu jettes un œil dans sa direction et aguiche une légère mimique. On croirait que tu souris. Que t'es heureux de les voir. En fait, on en sait trop rien. "Salut Alceo, est-ce que tu te souviens de moi ? J'imagine que non. Je me rappelle de la dernière fois que je t'ai vu, on c'était violemment disputé et ni l'un ni l'autre n''avait eu le courage d'admettre ses tort. On est plus des adolescents maintenant, je me sens obligé de te dire ce que je pense désormais : ce jour-là, j'ai fait une erreur. Je t'avais dit que je ne voulais plus jamais te revoir alors que le soir même je serais tombé dans tes bras sans même trop y penser. Tu dois en avoir rien à foutre aujourd'hui, après tout ça fait déjà trois ans, mais à l'époque tu étais mon meilleur ami, mon confident en plus de tout le reste et je te considère toujours comme quelqu'un en qui je peux avoir confiance aujourd'hui. Mon père est mort, il y a bientôt 4 mois. Depuis on peut dire que j'ai touché le fond, j'ai arrêté mes études, j'ai commencé à me droguer, à en avoir rien à foutre de tout le monde. J'habite toujours dans ce duplex qu'il avait acheté avant de se construire une maison dans la compagne, je n'arrive toujours pas à m'habituer à la vie en ville, mais toi si non ? Ta mère m'a dit dernièrement que ta carrière de mannequin décollait, que tu habitais en ville et que tu traînais avec les plus grands, mais que tu n'avais pas le temps de voir ta famille. C'était une façon subtile de me dire que j'aurai dû t'épouser et te convaincre de devenir médecin comme ton père. Bref, dernièrement ma meilleure amie (cette garce) m'a fait faire une cure, quelle belle hypocrite elle est encore plus défoncée que moi H24. Selon elle, j'ai commencé trop vite et trop tôt, mais j'ai pas envie d'arrêter. Ça e fait me sentir bien et en vie, est-ce que c'est trop demandé ? Je n'ai pas envie de mourir en ayant des regrets comme mon père, je veux des souvenirs, trop de souvenirs ! A la base, je devais t'envoyer une lettre en m'excusant de tout ce que j'aurai pu te faire de mal, je dis bien à la base. Je me rappelle que d’un seul mauvais moment avec toi, le reste n’est que plaisir et ça me manque parce que là tout de suite, j'aurai juste besoin que tu sois là pour enfin pleurer la mort de mon père. Je n'ai pas réussi à pleurer à son enterrement, ça fait de moi un monstre ?" Tu tiens cette lettre entre tes mains. C'est ta mère qui vient de t'la donner. Pas de nom. Tu pestes intérieurement. T'aurais préféré ne jamais lire ça. Tu sais parfaitement de qui elle vient. Tu sais très bien. Fais pas le con, je sais que tu sais. T'es pas fière de toi. Tu sais que cette fille pense encore à toi. Tu sais que votre histoire n'est peut-être pas fini. Depuis trois ans. Trois ans merde. Réveilles toi, mec. Tu te prends une baffe après tant de temps. Tu veux juste déchirer cette feuille, ruiner cette si belle écriture et faire celui qu'en à rien à foutre. J'le sais. Fais pas l'ignorant. Tu veux l'oublier, mais tu peux pas. T'es trop con. Ouais mec. T'es un con. Con de penser que cette fille t'aime encore. Con de penser que votre histoire peut avoir une autre chance. Con de croire qu'elle t'a attendu depuis tout ce temps. J'me permet de te rappeler que t'as changé. Londres t'as changé mec. T'es plus le petit copain de Carrie. T'en a baisé des Anglaises. Les Anglais aussi, en passant. Alors, tu comptes faire quoi au juste ? Hein ? Te dégonfles pas mon pote. T'es pas revenue pour elle. T'es là pour ta carrière. T'es model. T'as toutes les filles pour toi. Les mecs aussi. Parce que je sais que t'aime ça. Te taper des mecs. T'es bisexuel. Ouais, t'oses pas le dire non plus. Pas à tes potes avec qui tu crèches. T'as peur de leur réaction. Peur de dire que les hommes t'intéressent désormais autant que les femmes. Même si c'est ta vie, tu préfères fermer ta gueule sur tellement de choses. T'as toujours été comme ça. Un truc te plaît pas ? Tes potes parlent de ta petite blonde d'adolescent ? Ou de la dernière trainée que t'as ramené à l'appart' hier soir ? Tu te la ferme juste. Tu préfères éviter les conflits. Dans l'fond, tu les aimes tes potes. Ils te permettent beaucoup de choses. Vous formez une belle brochette tous les quatre. C'est moi qui te le dit. Tes potes te font rire. Et ce, tous les jours. Tu le vois pas toujours, t'es un abruti. Tu préfères les envoyer chier. Leur dire de se la fermer quand ils te taquinent. Mais au fond, je sais que tu les apprécie. C'est tes potes, bordel. Alors, joue pas au con avec eux. Ces mecs-là, ils te soutiendront toujours. Ils te lâcheront pas. Ils te feront chier toute ta vie. Ils t'aiment, ouais. Vous vous connaissez depuis un bout de temps. Et sans eux, tu serais pas là. Pas à Paris.
HORS JEU ▹ GROUPE : gainsbarre ▹ AVATAR : mariano di vaio ▹ SCENARIO ou PERSONNAGE INVENTE : scénario ▹ PSEUDO/PRENOM : yuliana ▹ ÂGE : seize patates mon loup ▹ OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : t'as d'ses questions toi ? *_* ▹ PRESENCE : everyyyday mon chooou
Dernière édition par Alceo-Vito Sàggio le Mer 6 Mar - 21:12, édité 5 fois
E. Anakin Cohen
THAT'S THE SPIRIT
“Why’s it starting to feel like you’re Batman and I’m Robin? I don’t wanna be Robin all the time!”
Sujet: Re: ALCEO-VITO ▹ « A trop regarder par le trou de la serrure, on se prend la porte dans la gueule. » Dim 3 Mar - 16:50
Merci les gonzesses Vous êtes bellesaussi
Merci ma Carrie, promis si j'ai besoin, j'te mpotte
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Sujet: Re: ALCEO-VITO ▹ « A trop regarder par le trou de la serrure, on se prend la porte dans la gueule. » Dim 3 Mar - 17:00
rebienvenue
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Sujet: Re: ALCEO-VITO ▹ « A trop regarder par le trou de la serrure, on se prend la porte dans la gueule. » Dim 3 Mar - 17:08
Re Bienvenue héhé dire ç a à admin c'est la classe Quel choix d'avatar de fifou
Invité
Invité
Sujet: Re: ALCEO-VITO ▹ « A trop regarder par le trou de la serrure, on se prend la porte dans la gueule. » Dim 3 Mar - 17:11
salut, tu es bien sexy ! REBIENVENUE
Ronnie P. des Pugets
les meurtrières.
les dieux nous envient parce que nous sommes mortels, parce que chacun de nos instants peut être le dernier, et que tout est beaucoup plus beau car nous sommes condamnés. tu ne seras jamais plus ravissante qu'à cet instant. plus jamais nous ne seront seuls ici tous les deux.
▹ A PARIS DEPUIS : 20/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 811 ▹ PSEUDO : northern lights. (manon) ▹ CREDITS : lollipops.
Sujet: Re: ALCEO-VITO ▹ « A trop regarder par le trou de la serrure, on se prend la porte dans la gueule. » Dim 3 Mar - 20:51
tu as parfaitement compris le personnage, j'aime ta façon d'écrire et j'en suis même fan je crois que je suis tombé amoureuse de ton personnage (ou de toi j'hésite encore ) tout est parfait
« ADMINISTRATEUR »
Alceo-Vito Sàggio
i'm thebest babe
▹ A PARIS DEPUIS : 03/03/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 497 ▹ PSEUDO : yuliana ▹ CREDITS : #CHEVALISSE
Sujet: Re: ALCEO-VITO ▹ « A trop regarder par le trou de la serrure, on se prend la porte dans la gueule. » Dim 3 Mar - 20:54
Merci
Ah ma Carrie, j'ai eu peur que tu n'apprécie pas le style. Mais je suis ravie du contraire J'en suis tout autant amoureuse. Il m'a tellement inspiré Je m'auto-valide
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Sujet: Re: ALCEO-VITO ▹ « A trop regarder par le trou de la serrure, on se prend la porte dans la gueule. »
ALCEO-VITO ▹ « A trop regarder par le trou de la serrure, on se prend la porte dans la gueule. »