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nous sommes fières de t'accueillir sur la version 2.0 de FOQUE YOU, I'M PARISIEN nous te souhaitons la bienvenue parmi nous et nous espérons que tu t'y sentiras comme chez toi !
si tu es nouveau, nous t'invitons à aller lire le règlement et le contexte. des scénarios sont également à ta disposition, n'hésites pas à y faire un tour et peut-être faire le bonheur de l'un de nos membres ! puis direction la fiche de présentation, tu as cinq jours pour la terminer.
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I ♥ RIEN, JE SUIS... flemmard, ce qui explique la suite sous forme de liste. Extraverti, joueur, fêtard, souriant, sociable, fou, délirant, gamin, tête en l'air, bordélique, coureur de caleçons, tenace, tête à claques, curieux, séducteur, sarcastique, cynique, moqueur, sans gêne, rêveur, profiteur, un peu égocentrique sur les bords. J'AIME ma meilleure amie, les films Harry Potter, les mecs (surtout quand ils sont à poil), la musique anglaise (Ed Sheeran, Mcfly, Lawson...), faire du vélo la nuit alors que je suis bourré, en parlant de ça j'aime l'alcool, les sorties avec les potes, le cinéma, chanter (comme une casserole) dans un karaoké, le quartier du marais, les bretelles, ma condition de fils unique, le parfum Hugo Boss, la mode, relooker mes amies, geeker sur le pc de Salomé et fouiner dans son historique. JE N'AIME PAS ceux qui n'aiment pas ma meilleure amie, les hypocrites, les menteurs, les gens trop sérieux, les coincés, les égoistes, les chiens (j'y suis allergique), les transports en commun (surtout la ligne 4...), les bars avec happy hours de 16h à 19h, les boites de nuit pour les beaufs, mes cheveux le matin, quand Salomé nique toute l'eau chaude avec ses douches à rallonge.
L'HISTOIRE « Nos actes ont toujours des conséquences... Mais il faut qu’on vive avec. »
Salomé t'es une grognasse ! Je hurle à travers l'appartement, le corps prostré contre le mur de la baignoire. L'eau est froide. Encore. C'est une habitude avec ma meilleure amie. Je pense qu'elle envoie toute l'eau chaude disponible dans les pays pauvres. C'est la seule explication. Alors que je peste comme un charretier, la voilà qui entre distraitement dans la pièce, coiffant ses jolis cheveux aussi lisses qu'une cascade. J'ai toujours détesté ses cheveux toujours impeccablement coiffés. Moi, j'ai besoin d'un lisseur et de trois heures de temps libre pour arranger les miens. C'est un calvaire permanent et elle, elle défile comme une mannequin avec sa touffe à la L'oréal. Sans aucune gêne, je sors de la baignoire pour la toiser, posant mes mains sur mes hanches pour lui montrer que je suis en colère. Je ne masque même plus mon entrejambe qu'elle connait par cœur. Salomé, je t'aime, hein. Mais j'aime encore plus l'eau chaude. Et puis je croise ses yeux. Ma grimace se transforme en sourire. J'ai jamais été convainquant comme garçon. J'attrape une mèche de ses cheveux que je caresse distraitement. Tu as cours avec monsieur sexy aujourd'hui je présume ? Je m'empare de ma brosse à dent et du dentifrice que j'étale grossièrement dessus. Je fourre le tout dans ma bouche, observant attentivement Salomé. Ça avance avec lui ? Sans faire attention aux postillons qui volent sur le miroir, je continue de frotter énergiquement mes dents blanches comme la tête de ma meilleure amie quand elle croise l'un de mes amants dans les chiottes. J'adore cette fille. Notre histoire a débuté il y a des années, alors que nous étions en maternelle. De suite, ce fut le coup de foudre. Et maintenant, nous habitons ensemble, dans un quartier très prisé de Paris, le marais. Un quartier parfait pour moi puisqu'il est le repaire d'une foule d'homosexuels avides de rencontres. J'ai l'habitude de sortir très souvent, que ce soit dans les bars ou dans les boites de nuit du coin. La porte de l'appartement claque. Et merde, je suis tellement dans la lune que j'ai loupé le départ de Salomé. Je soupire avant de cracher le dentifrice que j'ai dans la bouche. Mon téléphone sonne alors qu'un sms s'affiche sur l'écran. T'es en retard.
Je dérape sur le pavé, me jetant sur une chaise située en terrasse. Devant moi, lasse, ma mère m'observe avec son petit air pincé habituel. Salut maman, désolé pour le retard, le chat de Salomé est mort et j'ai été obligé de la consoler. Je déteste mentir mais ma mère déteste quand je suis en retard. Elle plonge ses yeux dans les miens, une grimace discrète sur les lèvres. J'en suis désolé. Passe-lui ma sympathie. Je soupire de soulagement avant d'attraper son sac à main duquel je sors son paquet de cigarettes. La main de ma mère fuse aussi rapidement qu'une balle de fusil et je lance un petit cri de douleur alors qu'une trace rouge se développe sur le dos de ma main. C'est pas une bague ça, c'est un poing américain ! que je lui lance en pointant mon index sur son affreux bout de métal autour de son doigt. Sans même sourciller, la voilà qui s'allume une cigarette sous mes yeux. La garce. Alors Gaspard. Tout va bien ? J'attrape la carte des commandes en me demandant si prendre un martini à 9h30 est convenable. Sans doute que oui, ma mère lape quelques gorgées de vin blanc. Hum. Oui, tout va bien. La semaine prochaine je dois réaliser un film avec d'autres étudiants. Ça va être sympa. Alors qu'elle hoche distraitement la tête par dessus son smartphone, je tends doucement ma main vers son paquet de cigarettes. L'une d'elle roule dans ma main et victorieux, je l'allume rapidement pour la fourrer dans ma bouche avant que ma mère ne puisse l'attraper. Fuck yeah. Elle ne lâche plus son téléphone. Okay, super conversation entre une mère et son fils. Papa va bien ? Maman acquiesce, sans rien ajouter de plus. Excédé par son attitude, je me lève et je marche en direction de Châtelet, dans l'optique de m'acheter une nouvelle paire de bretelles pour me consoler. Elle ne me rattrape même pas. Pire, je jette un coup d’œil en arrière pour découvrir qu'elle me parle sans voir que je ne suis plus là. Alors que je me marre de cette situation inhabituelle, je percute quelqu'un qui me lance de suite une insulte bien sentie. Je me retourne rapidement, observant le visage divin du type qui me fait face. T'es canon. Tu viens chez moi ? Je vais me faire pardonner.
Je suis seul, allongé dans un lit bien trop grand pour moi. Le type s'est barré il y a quelques minutes. Je déteste l'après-acte. Je ne discute pas avec mes conquêtes. Je ne garde pas de numéros. J'aime la nouveauté, j'aime innover. Garder le même amant pour plusieurs coups, c'est pas mon genre. Peut-être que je suis encore trop jeune mais je ne pense pas à l'amour. Je préfère les plaisirs de la chaire et je n'ai pas envie de m'engager émotionnellement. La seule personne qui est présente dans mon cœur c'est Salomé. Seulement elle. Ça toujours été elle. Je suis heureux comme ça. J'ai ma meilleure amie, des amis supers, une famille étriquée mais foutrement présente, des études qui me plaisent et une vie très remplie. Sérieusement, j'ai pas à me plaindre. Enfin... je peux me plaindre du manque d'eau chaude, des cheveux dans le lavabo, des traces de vernis par ci par là et du boysband sur lequel fangirl Salomé... n'empêche que j'aime cette vie. Alors que je commence à somnoler, un sms me tire de ma solitude bienfaitrice. Ce soir. 19 heures. BHV. Je lève les yeux au ciel. Il est déjà 17 heures et je suis pas prêt. Je me lève précipitamment, courant dans la chambre de Salomé pour fouiller ses tiroirs. J'ai plus de capotes et ce soir s'annonce épique. Je sors dans une soirée privée où les pédés seront en masse. Ce soir donc, je chope. Et comme je veux seulement choper des mecs et pas des maladies, il est hors de question d'y aller sans rien. Problème, je trouve rien dans la table de chevet de Salomé. Bordel, où cache-t'elle ses trucs sexuels celle-là ? Je sais qu'elle possède des trucs de fous (j'ai même essayé un machin vibrant une fois mais chut) mais impossible de savoir où. Alors que mes espoirs s’éteignent, je tombe nez à nez avec un pot de lubrifiant et une boite de capotes juste sous le lit. Super cachette... je m'empare du tout, repartant dans ma chambre pour me choisir une tenue adéquate. Un pantalon moulant, une chemise et une paire de bretelles, pour changer. Je vais sans doute embarquer Salomé aussi. Mon plus bel accessoire. D'ailleurs, la voilà qui ouvre la porte d'entrée. Sans lui laisser le temps de respirer je l'attrape par le bras, refermant la porte avec fracas. Direction la soirée la plus orgasmique de l'année ma belle !
Plus vite Salomé, si je suis en retard c'est la fin du monde. Enfin non, c'était y'a deux mois. Mais quand même ! Quand tu veux voir ton prof je dois me lever à l'aube pour que tu puisses choper la meilleure place alors tu peux faire ça pour moi. Je lui lance un sourire avant de sonner à l'interphone. L'appareil grésille alors qu'une voix masculine se fait entendre. Nom, prénom ? Sérieusement ? Gaspard Dumas, comme Alexandre Dumas mais sans le Alexandre. Et Salomé St-Mars m'accompagne mais y'a pas de gens célèbres qui portent son nom donc on s'en fiche. L'homme éclate de rire avant d'ouvrir la porte du bas. Je laisse passer ma meilleure-amie devant moi -plus courtois que moi tu meurs- et je m'avance après elle, montant rapidement dans l’ascenseur. Mine de rien, c'est haut six étages. Des heures plus tard -seulement quinze secondes en fait- nous débarquons devant une porte somptueusement décorée. Elle s'ouvre, révélant un appartement magnifique, montrant clairement la richesse de ses propriétaires. Un majordome propose une coupe de champagne dès l'entrée, ce qui est fortement appréciable en ces temps difficiles. Sans même attendre quelques secondes de plus, je lâche le bras de Salomé pour me diriger vers un groupe de mecs que je déteste. Ce sont des imbéciles qui passent leur temps à frimer comme des dindes en attendant d'être fourrés par des banlieusards en rûte. Clairement les gens que je déteste. J'affiche un air surpris en les toisant de haut en bas. Mon Dieu, les soirées prestigieuses sont en solde en hiver ? J'éclate de rire -comme ma mère quand elle est soûle- et je regarde derrière moi pour retrouver Salomé. Et merde. Elle a disparu et avec mes conneries j'ai rien remarqué. Bon. Y'a des types assez vieux ce soir et hétéros, elle va sans doute trouver son bonheur. Après tout c'est son dada. Le champagne me montant légèrement aux joues, j'en avale un autre, histoire de me mettre dans l'ambiance. Je vais chercher Salomé et on va se marrer toute la nuit. Hey, il est vachement mignon le barman. Ma meilleure amie attendra. Non. Si. Non. Allez juste un coup vite fait. Non, je l'ai embarquée de force ici je dois rester avec elle. Je donne un coup de poing sur le démon qui se balance sur mon épaule et j'attrape le micro du DJ, un sourire mutin sur les lèvres. Salomé St-Mars est attendue au bar, Salomé St-Mars est attendue au bar, merci. Caissière à Carrefour, un métier d'avenir pour moi. HORS JEU ▹ GROUPE : Serge Gainsbourg ▹ AVATAR : Louis Tomlinson ▹ SCENARIO ou PERSONNAGE INVENTE : Scénario ▹ PSEUDO/PRENOM : Arthur ▹ ÂGE : 23 ans ▹ OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : Bazzart ▹ PRESENCE : 5/7.
Dernière édition par Gaspard T. Dumas le Sam 23 Fév - 18:33, édité 51 fois
Lila-Rose P. Leroy
▹ A PARIS DEPUIS : 09/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 877 ▹ PSEUDO : PINGUS. ▹ CREDITS : Tumblr + Frenchaddicted.
Sujet: Re: There are nights, we sleep, while others they weep (Tim) Sam 23 Fév - 15:00
Bienvenue Bon courage pour ta fiche, et si tu as la moindre question, nous sommes là
Ronnie P. des Pugets
les meurtrières.
les dieux nous envient parce que nous sommes mortels, parce que chacun de nos instants peut être le dernier, et que tout est beaucoup plus beau car nous sommes condamnés. tu ne seras jamais plus ravissante qu'à cet instant. plus jamais nous ne seront seuls ici tous les deux.
▹ A PARIS DEPUIS : 20/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 811 ▹ PSEUDO : northern lights. (manon) ▹ CREDITS : lollipops.
Sujet: Re: There are nights, we sleep, while others they weep (Tim) Sam 23 Fév - 15:06
GASPARD Louis est trop sex sur ton vava en plus _____
Merci encore de tenter mon scénario, hâte de lire ta fiche
BIENVENUE SUR LE FORUM & si tu as des questions n'hésites pas
Invité
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Sujet: Re: There are nights, we sleep, while others they weep (Tim) Sam 23 Fév - 15:10
Vos avatars sont à tomber merci énormément pour votre accueil, ça fait super plaisir Salomé t'es même pas la première à me dire bienvenue, je boude --->
I'M PARISIEN ♥
▹ A PARIS DEPUIS : 23/01/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 1376 ▹ CREDITS : wanderlust
Sujet: Re: There are nights, we sleep, while others they weep (Tim) Sam 23 Fév - 15:11
OHHHH wihuuuuuuu trop seksuaaaaall ce petit Louis.
BIENVENUE PARMI NOUS j'ajoute pas "très bon choix d'avatar" tu l'as compris
et bonne chance ! Si tu as des questions (ou même si t'en as pas) hésite pas à me contacter *BAFFE*
Invité
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Sujet: Re: There are nights, we sleep, while others they weep (Tim) Sam 23 Fév - 15:11
Bienvenue parmi nous Si tu as la moindre question, n'hésite pas à nous harceler
Invité
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Sujet: Re: There are nights, we sleep, while others they weep (Tim) Sam 23 Fév - 15:13
Merci Lou en gros je peux t'envoyer un mp n'importe quand pour te dire n'importe quoi si j'en ai envie ? tu sais que si c'est le cas je vais largement abuser ?
Et merci Eleonore
E. Anakin Cohen
THAT'S THE SPIRIT
“Why’s it starting to feel like you’re Batman and I’m Robin? I don’t wanna be Robin all the time!”
Sujet: Re: There are nights, we sleep, while others they weep (Tim) Sam 23 Fév - 19:09
En ce qui me concerne, tout est bon L'histoire est superbe, le personnage m'a l'air bien drôle Ne reste plus qu'à attendre l'avis de Salomé bien que je pense qu'elle ne dira pas non
Invité
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Sujet: Re: There are nights, we sleep, while others they weep (Tim) Sam 23 Fév - 19:11
Génial j'attends son avis
E. Anakin Cohen
THAT'S THE SPIRIT
“Why’s it starting to feel like you’re Batman and I’m Robin? I don’t wanna be Robin all the time!”