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Je peux parfois paraitre froide ou même manipulatrice mais il y a bien une chose que je sais, l'amour n'ai pas fait pour moi, ça fait souffrir, on perd notre temps dans des choses inutiles alors que l'on pourrait les Utiliser dans d'autres. Ok les coups d'un soir se n'est pas des choses géniales et stable mais c'est une façon se se satisfaire physiquement sans pour autant avoir mal au plus profond de notre être
▹ A PARIS DEPUIS : 29/07/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 44 ▹ PSEUDO : Ju' ▹ CREDITS : carrie.
'ai eu une très longue journée au travaille, j'étais vraiment fatigué mais ce qui me remontais le morale c'était que je pouvais enfin me reposer sur mon canapé, une heure de trajet pour revenir chez moi et c'était beaucoup trop long.. Je regardais mes sms et me disais qu'à part ma soeur et les partenaires de la société je n'avais pas beaucoup de message, après tout je passais mon temps au bureau et tout ce qui se passait là bas me fatiguait déjà pas mal. J'étais vraiment épuisé, je regardais donc l'heure, 18h.. Mhh j'avais peut être le temps de faire une sieste ? Non .. ça n'avait pas beaucoup de sens de plus, les avance de certaines personnes au travaille était comment dire.. Assez lourde, je me devais de rester professionnelle, mon père était mort certes mais ça ne me donnais aucun droit de le déshonoré de ce point de vue là, en ce qui concerne ma vie privé, c'est toujours la même chose. Mais je ne m'en pleins pas au contraire, j'en suis assez satisfaite et même si on peu dire n'importe quoi je ne changerais en aucun façon, ma méthode de vie, je suis habitué à celle ci et ça ne changera pas de si tôt.
Arrivant chez moi, j'ouvris la porte et m'affala sur le canapé, regardant le plafond pensant à de nombreuses chose, me demandant ce qui pouvait bien se passer partout ailleurs dans le monde, me posant toujours des questions qui n'avaient pas vraiment d'utilité, des questions qui ne servait presque à rien mais c'était ainsi, j'étais comme ça et ça personne n'y pouvait rien. J'avais beau être une manipulatrice avide de travaille et une garce qui rabaissait les gens quand il le fallait, je n'en avais pas moins un coeur, enfin ça je n'en était pas vraiment sûr après tout, je ne suis toujours avec personne et se n'est pas les propositions qui sont absentes au contraire mais je ne veux pas m'engager dans une relation alors que je sais très bien que j'en souffrirais pas la suite. Mes coucheries d'un soir me vont parfaitement après tout et je ne m'en pleins pas. J'aime tout particulièrement lorsque les homme essais de me contacter et que je ne répond pas, ça donne du piment et ça me prouve qu'ils ont envie de moi. En générale c'est ce qui se passe mais il y a bien une personne sur cette terre que je déteste plus que n'importe quoi... Ronnie, je ne sais même plus pourquoi je le déteste mais je le déteste et c'est tout. Nous avons été à l'école ensemble et depuis je ne peux plus le voir en peinture mais ce qui est plus étrange dans la relation que j'entretiens avec lui, c'est que l'on fini toujours dans le lit l'un de l'autre, étonnant non ? Et pourtant c'est comme ça, une dispute et une partie de jambes en l'air voilà à quoi se résume ce lien assez étrange.
Je me levais du canapé, ça faisait au moins trente minutes que j'étais allongé et j'avais quand même récupéré mais je n'avais pas vraiment de temps à perdre il fallait que je me couche tôt si je ne voulais pas être en retard à mon travaille demain matin, de plus j'avais une réunion assez tôt dans la matinée. Me dirigeant dans la salle de bain j'enlevais mes vêtement pour prendre une douche et me relaxer encore un peu histoire de ne pas piquer une crise de nerf dans la soirée pour une raison x ou y on ne sait jamais réellement ce qui pouvait se passer. Puis mon attention fut détourné par un caleçon, pas n'importe lequel.. Celui de Ronnie, il l'avait oublié cet imbécile comment pouvait il oublier un caleçon ?! Il faut dire que lorsqu'il dort ici il part tellement en colère qu'il pourrait même oublié sa tête si elle n'était pas solidement accroché. Bon et bien il n'y avait qu'une seule chose à faire, lui rapporter... Je sorti de la douche et m'habilla avant de prendre son caleçon du bout des doigts, c'était répugnant, je le mis dans un sac en plastique et me dirigea vers la sortie. Je ferma la porte et partie en voiture jusqu'à chez lui, c'était l’avantage de ces coucheries, je savais exactement où il habitait et je pouvais presque y aller yeux fermé.
Arrivé devant la porte je frappa et attendit qu'il m'ouvre, a peine avait il le temps de réaliser que c'était moi que je lui tendis le sac plastique "Tu as oublié ça chez moi l'autre nuit" Je n'attendis même pas qu'il m'invite à entré, je n'avais pas réellement envie de ses politesse et je savais que si je ne rentrais pas il me fermerait la porte au nez, j'avais donc pris l'initiative seule, de rentrer dans son appartement, assez modeste je trouve mais c'était déjà ça.. "han merci de m'inviter Ronnie c'est trop aimable à toi" J'étais déjà sur les nerf pour une raison qui m’échappais mais la simple présence de cet homme me mettais hors de moi. Je me retourna alors vers lui et lui sourit faussement comme à mon habitude priant pour que ça ne finisse pas comme à chaque fois même si je savais au fond que c'était inévitable.
Ronnie P. des Pugets
les meurtrières.
les dieux nous envient parce que nous sommes mortels, parce que chacun de nos instants peut être le dernier, et que tout est beaucoup plus beau car nous sommes condamnés. tu ne seras jamais plus ravissante qu'à cet instant. plus jamais nous ne seront seuls ici tous les deux.
▹ A PARIS DEPUIS : 20/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 811 ▹ PSEUDO : northern lights. (manon) ▹ CREDITS : lollipops.
Sujet: Re: 0064 - Je crois que ça t'appartiens Mar 30 Juil - 17:47
“ adeline+ronan ” « et je te hais de tout mon corps, mais je t'adore. »
« Je vous demande pardon ? » J'essaie de rester calme. Enfin, mes phalanges commencent sérieusement à blanchir autour du verre que je suis en train de préparer. « Non mais c'est pas croyable d'être un incapable pareil ! Ça fait deux fois que vous vous trompez dans ma commande ! » Je serre les dents sans répondre. Je crois que je suis en train de peser le pour et le contre de l'idée de lui exploser mon verre sur le crâne, à cette pimbêche qui vit sûrement sur un yot et qui est née avec une cuillère d'argent entre les dents. Je termine de préparer mon verre en silence, et je crois qu'un de mes collègues, Marius je crois qu'il s'appelle, remarque que je vais perdre mon sang-froid, dont la jauge n'est déjà pas bien grande. « Euh, tiens Ronan, il est dix-huit heures, ton service est fini, vas-y file je m'en occupe. » Je lui adresse un hochement de tête reconnaissant, avant d'adresser un regard noir à la cliente ingrate, m'éclipsant pour récupérer mes affaires de l'autre côté du comptoir. Je salue les quelques encore présents, avant de franchir les portes du café. Journée finie. Enfin. En ce moment, j'ai l'impression que les secondes s'étirent, transformant les journées en d'interminables moments. Je récupère mon vélo attaché devant, l'enfourche, et m'engage dans les ruelles de Paris.
Il ne me faut qu'une petite dizaine de minutes pour arriver dans les quartiers particuliers du Marais. Je me laisse porter par une légère descente jusqu'à l'entrée de notre appartement, et monte mon vélo pour l'attacher dans l'entrée. Je grime les escaliers et entre la clé dans la porte. « Jules ? » Aucune réponse. Ah si, sur la table, un mot. Je rentre pas ce soir, J. Bon, me voilà seul pour la soirée. Ça tombe bien, j'avais besoin de calme, de m'assommer à quelque chose de fort. Faudrait peut-être que je retrouve ces anxiolytiques là, ça anesthésie bien le cerveau, les pensées, la mémoire. En attendant, je vais me servir un bon verre, ras le bol de ces clients exigeants. Je passe une main dans mes cheveux, ouvrant le frigo quand on frappe à la porte. Je lève les yeux au ciel. Si c'est une fille pour propagande publicitaire, je lui fais bouffer ses prospectus par les narines. Les traits légèrement fatigués, j'ouvre la porte à la volée, pour tomber nez à nez avec... Adeline. Oh, non. Qu'est-ce qu'elle vient foutre ici ? J'en sais rien, vraiment rien. Les seules fois où elle vient, j'imagine qu'on doit être sacrément bourrés, ou bien juste affamés l'un de l'autre. Et au matin, on reprend nos vieilles habitudes : une haine indéfectible. Avec le temps, j'en ai même oublié ce que je ne supporte pas chez elle. « Tu as oublié ça chez moi l'autre nuit. » Je me retrouve avec un sachet plastique entre les mains. Je l'entrouvre pour y distinguer un caleçon. Mon caleçon. Je suis vraiment parti sans ? Ça me semble louche, mais visiblement, je devais pas être très réveillé le matin où c'est arrivé. Je m'apprête à la remercier et à refermer la porte devant elle, mais elle s'invite carrément dans mon appartement. « Han merci de m'inviter Ronnie c'est trop aimable à toi. » Je grimace, et pousse un soupire qui n'a rien de discret. Je referme alors la porte, sans avoir encore répondu un seul mot. « Oh, mais je t'en prie, Adeline. » je réponds, sur le même ton hypocrite. Je lui adresse un sourire aussi faux que le sien avant de la regarder de haut en bas. Bordel, si seulement elle n'était pas aussi attirante aussi... C'est vrai quoi ! J'aurais pu la détester avec tout le loisir possible.. si je n'étais pas forcé d'être aussi attiré par elle, par son beau minois, par ses courbes parfaites. Je me mords la lèvre, tâchant de ne pas laisser paraître comme mes émotions peuvent être contradictoires, s'emmêlant dans ma tête comme les pièces détachées d'un très mauvais puzzle. « Bon, vu que t'es là, j'étais en train de me servir quelque chose à boire, qu'est-ce que je te sers ? » lui demandé-je, sourcils froncés, plantant mon regard fermement dans le sien.