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I ♥ RIEN, JE SUIS... Énergique, beaucoup trop même aux yeux de mon entourage. Il faut avouer que le fait que j'ai été diagnostiquer hyperactive quand j'avais cinq ans n'arrange pas les choses non plus. J'ai toujours été une terreur sur patte, même si depuis que je suis un traitement, ça a légèrement changé de ce côté-là, mais il est clair que je déteste rester les deux pieds dans la même chaussure. Il paraît que je suis une personne très tolérante, que j'écoute toujours avant de juger quelqu'un, que je ne suis pas du genre à me faire un avis sans connaître la personne par moi-même. Je pense que c'est une qualité, tout du moins de mon point de vue. Je suis autoritaire aussi, donner des ordres est un peu comme une seconde nature chez moi et comme beaucoup, je déteste quand on ne m'obéit pas, ce qui est fait que je parais un peu marâtre sur les bords. Sécrète, je ne suis pas du genre à déborder sur mes sentiments et cela même quand je ne suis pas au plus haut de ma forme, savoir que quelqu'un en sais trop sur moi me donne l'impression d'être en position de faiblesse. J'ai beaucoup de mal à donner ma confiance. Assez impulsive, il n'est pas rare que je me jette tête la première sans vraiment prendre conscience du danger que je peux encourir ou des conséquences qu'il pourrait y avoir. J'ai souvent tenté de me canaliser, mais c'est vraiment trop difficile à mes yeux. Puis étant du genre persévérante, je ne baisse pas les bras facilement, ce qui m'amène aussi parfois des problèmes, mais que voulez-vous, on est comme on est. Mais c'est une qualité à mes yeux que de savoir ce que l'on veut et surtout de ne pas abandonner lors du premier obstacle. Le pire des défauts ? C'est d'être jalouse et comme je n'ai pas eu de chance au tirage génétique, je le suis. Je ne vous raconte pas le nombre de mes relations que ça a plombées, mais bon, il n'y a toujours pas de médicament contre ça, donc je fais avec tout en essayant de garder mes remarques pour moi quand je vois une bombasse parler à mon copain. C'est un travail de tous les jours. Quant au fait d'être curieuse, ce n'est pas facile à vivre mais pas pour moi, je dis ça surtout pour mon entourage qui est parfois obligé à subir un interrogatoire pire que venant d'un membre du FBI. J'aime savoir ce qui sa passe dans la vie des gens et oui, ça me permet de voir où je me situe moi-même et de voir si mon existence n'est pas misérable. Ce qui est parfois le cas. Je suis quelqu'un de serviable, ça c'est moi qui le dis, mais c'est la vérité. J'adore rendre service, que ce soit pour aider quelqu'un sur un devoir, quand c'est à m'a porté, ou alors pour aller faire des courses pour ma petite voisine du troisième qui est une dame âgée. Mais ce que j'aime le plus, c'est faire du baby-sitting, il est rare que je ne sois pas partante pour ça. Je m'entends super bien avec les gosses. En amitié, je suis quelqu'un de très loyale, je n'aime pas qu'on me fasse souffrir alors je fais en sorte de ne jamais faire quelque chose qui pourrait rendre malheureux une personne à qui je tiens. Ça coule presque de source, c'est comme en amour, l'importance est la confiance. Mes amis m'ont trouvé un joli surnom, Messy, oui vous pouvez traduire littéralement en bordélique. J'avoue, je ne suis pas du genre organiser et je laisse souvent mes affaires traînées, mais pour ma défense, quand je me mets à ranger, c'est le branle-bas de combat et il est impossible de m'arrêter. Pour finir, au grand dam de mes parents, je suis fêtarde et je ne suis pas la dernière à convaincre pour me rendre dans une soirée. Après tout je suis jeune, j'ai le droit de profiter et je ne me gêne pas pour le faire. J'AIME Faire du sport, c'est comme une drogue. Écouter de la musique à fond quand je fais le ménage. Retourner à Belle-Île-En-Mer pour les vacances et retrouver cette sensation de liberté. Manger des cochonneries justes pour le plaisir d'aller courir le lendemain pour ne pas me sentir coupable. Regarder des films ou Guillaume Canet, Romain Duris ou encore Leonardo Dicaprio jouent justes pour le plaisir de les mâter pendant pratiquement deux heures. J'adore écouter les gens tenter de prononcer correctement mon prénom et mon nom de famille. Me retrouver avec mon père, sur son bateau pour une partie de pêche. Descendre et monter les escaliers même quand il y a un ascenseur. Essayer de lui faire tourner la tête. Regarder des disneys en compagnie de ma meilleure amie. Me perdre dans Paris et découvrir de nouveaux endroits. Manger des chips. Couper le son dès que « plus belle la vie » commence à la télé. Pleurer comme une madeleine en regardant des films tristes quand je n'ai pas le moral, ça me fait toujours du bien. Flâner à la Fnac pour finir par dévaliser le rayon CD et DVD. Faire semblant de lire un livre dans le métro pour paraître plus intelligente que je ne le suis réellement. L'odeur de l'air après une averse. JE N'AIME PAS Les personnes intolérantes. Devoir parler pendant pratiquement une heure chaque soir avec sa mère au téléphone pour dire à chaque fois la même chose. Les types lourdingues dans les soirées. Patienter pendant des heures pour obtenir un papier qui au bout du compte n'est pas le bon. Le fait d'aller à l'église quand sa grand-mère rendait visite à la famille quand elle était plus jeune. Conduire dans Paris. Zapper quand il n'y a rien de bien à la télé. Travailler pendant des heures alors que le soleil brille à l'extérieur. L'impolitesse de certains parisiens qui pensent que tout leur est dû. Qu'on lui dise ce qu'elle doit faire. Le froid mordant de l'hiver. Être malade comme un chien.
L'HISTOIRE « Quand on ne peut pas changer les choses, il faut faire avec. »
« Ma fille, je ne te vois pas à Paris. » Un petit rire passe mes lèvres, mon père a très bien compris que je n'allais là-bas que pour faire plaisir à ma mère qui avait elle aussi poursuivi ses études dans cette ville. Moi je me serais bien satisfaite de Brest ou encore de Quimper, mais cela va me permettre d'agrandir mon horizon et de découvrir un peu mieux cette ville où je n'ai pratiquement jamais mis les pieds. Je suis bien la fille de mon père, les grandes agglomérations ça n'a jamais été fait pour nous, notre petite île nous a toujours convenu et j'y ai beaucoup de souvenirs. Ce n'est pas toujours une partie de plaisir, certes, mais je n'ai jamais connu d'autre manière de vivre et je ne pense pas que ça me plairait. Nous avons tout ici, un cadre plus que magnifique est surtout la mer pour nous entourer. C'est parfois magique, surtout lors de tempêtes, quand l'océan est déchaîné. Je soupire tout en regardant mon père relancer sa ligne dans l'eau tout en chantonnant, ce genre de moment va vraiment me manquer. « Tu viendras me voir au moins ? » Il tourne la tête vers moi, à cause du soleil il plisse les yeux ce qui lui fait prendre une mimique qui m'est familière depuis toujours. Sa canne fermement coincée, il m'attrape pour me serrer dans ses bras et je réponds à son étreinte tout en essayant de cacher ma peine, partir est vraiment très difficile pour moi. Pourtant je ne pars pas très loin, à seulement un peu plus de cinq cents kilomètres, c'est presque à côté... Presque. On reste comme ça pendant un petit moment avant qu'il ne me repousse et plonge son regard dans le mien. « Tu sais bien que j'irai n'importe où pour toi, même dans cette maudite ville où je suis sur de faire une attaque cardiaque dès que j'aurais posé le pied sur le quai de gare. Pour ma petite fille, j'irais jusqu'au bout du monde. » Je ne peux que me sentir flatter, étant sa fille unique, il m'a toujours dit qu'il ferait son possible pour que je réalise mes rêves, pour que je puisse vivre ma vie comme je l'entends. Mon père avait vingt-sept ans quand il a croisé la route de ma mère, qui approchait déjà la quarantaine, un véritable coup de foudre entre eux qui a beaucoup fait parler. Elle était divorcée et avait déjà deux enfants de sa précédente union qui avait fait le choix de rester vivre avec leur père. Ils se sont rapidement mis en ménage et il a été vite question d'avoir un bébé, tout simplement car mon père avait envie de connaître la paternité et que ma mère voulait lui faire ce cadeau, par amour. Je suis née près de trois ans plus tard, les comblant, enfin d'après ce qu'ils m'ont dit. Quelques années plus tard, ils devaient s'en mordre les doigts en voyant la terreur qu'ils avaient mise au monde. Mais dès mon plus jeune âge, j'ai su que je pouvais compter sur eux, qu'ils seraient toujours là pour moi, comme moi pour eux. « Qu'est-ce que je ferais sans vous ? » La question à passer mes lèvres et il ne peut s'empêcher de rire avant de me répondre. « Je me le demande bien ma chérie, je me le demande. » Je fais sembler d'être choqué avant de rire, profitant de mes derniers instants de bonheur sur ma petite île avant le grand départ. Attention Paris, me voilà.
Je n'en reviens pas, ce type se croit vraiment tout permis, il ne sait pas à qui il a affaire et je pense qu'au bout du compte il vaut mieux pour lui. Posant mon sac de sport par terre, je croise mes bras sur ma poitrine avant le regarder avec un petit sourire sur les lèvres, s'il pense qu'il me fait peur, il se met le doigt dans l'oeil et jusqu'au coude. Il faut croire que j'avais raison en pensant que les parisiens ne connaissaient pas la politesse, par ce que là, j'ai un véritable cas devant moi. « Bouge-toi. » S'il pense que ça va me faire déguerpir c'est qu'il croit encore au Père Noël malgré son âge, en tout cas, il n'a pas l'air du tout patient et j'adore ça. Il essaye de me faire bouger pour pouvoir passer par la porte, mais il semble étonner du fait que j'ai l'air plus forte que je ne le parais. Faut que je pense à remercier mon père pour ça, le rugby ça aide vachement. « Non, quand tu auras dit pardon, j'envisagerais peut-être de te laisser passer. » La colère commence à se lire sur son visage, mais ce n'est pas pour autant que j'ai peur, il m'en faut un peu plus, ou alors je suis complètement dingue. C'est certainement le cas, mais je ne pense pas qu'il s'en prendrait à une fille, alors là, il descendra encore plus dans mon estime. Il soupire, je suis prête à gagner et je ne peux m'empêcher de sourire en le voyant abdiquer enfin, une joie immense m'envahissant. « Excuse-moi de t'avoir bousculé, maintenant aurait tu la gentillesse de me laisser passer ? » Je m'exécute et le regarde partir en courant, je ne le quitte pas des yeux en espérant sincèrement croiser à nouveau son chemin, juste pour pouvoir le remettre à sa place. Après tout, c'est un élève au même titre que moi et je ne vois pas pourquoi je devrais me rabaisser devant lui seulement car il est plus âgé. Mais bon, il semble avoir compris que lui-même ce qui fait qu'il remonte doucement dans mon estime. Après être passé au vestiaire, je prends la direction du gymnase où je vais passer les quatre prochaines heures à m'entraîner et surtout à me dépenser. Je crois bien que si je pouvais faire du sport toute la journée, ça ne me dérangerait pas, sauf peut-être quand il est question de badminton, je déteste ces maudits volants qui ne prennent jamais la bonne direction. Il y a déjà un certain nombre de personnes, dont ma pauvre victime un peu plus loin qui est en train de discuter tranquillement avec ces copains. Pour ma part, je vais rejoindre les quelques filles installer un peu plus loin, elles sont plutôt sympathiques et j'espère pouvoir faire plus ample connaissance avec elles dans le futur. Le silence ou presque est ambiant pendant quelques minutes avant qu'une voix ne nous ramène à la réalité. « Bon, on se rassemble tout de suite. » Mon cœur manque un battement et je me retourne pour le voir lui, un sourire aux lèvres alors qu'il regarde dans ma direction. Non, ça ne peut pas être possible, lui, professeur ? Je m'approche et n'ose pas croiser à nouveau ses yeux, je me sens beaucoup trop idiote pour ça et je ne dois faire tout mon possible pour ne pas prendre mes jambes à mon cou. « Je vais être clair, bien que je suis jeune et encore assez novice dans l'enseignement, il ne faut pas me prendre pour votre copain car je ne le serais pas. Nous allons instaurer une bonne entente, mais n'usez pas de ma gentillesse car elle a ses limites. Bon maintenant, nous allons faire quelques tours de terrain pour nous mettre en condition. Vous êtes prêt ? » Un brouhaha lui répond pendant que nous partons tous en direction de la sortie pour rejoindre l'arrière du gymnase. Je le sens près de moi, je ne peux pas faire autrement après tout et je sens une sorte de joie émanée de lui, qu'est-ce que je ne donnerais pas pour lui remettre sa fierté en place. Mais non, je ne dois pas, il faut que je garde mon calme. Toutefois, lui a envie de mettre les choses un peu plus au clair avec moi. « Je ne te tiendrais pas rigueur de ton petit speech de tout à l'heure sur les bonnes manières, mais sache que cela ne devra pas se reproduire car comme je l'ai fait comprendre, je ne suis pas du genre à me laisser marcher sur les pieds. Et j'aimerais éviter que tu me tutoies, cela pourrait vraiment faire mauvais genre devant mes élèves. » Que je me sens idiote, mon Dieu, je veux rentrer chez mes parents, maintenant.
Ses mains sont partout sur moi, je ne sais plus comment il faut faire pour penser, pour faire en sorte que cette situation prenne fin maintenant. Mais je n'ai même pas le temps de souffler que ses lèvres reprennent possession des miennes et que j'occulte complètement le fait qu'on se trouve dans un endroit public, que quelqu'un pourrait nous trouver. Je n'ai jamais rien fait d'aussi terrifiait de ma vie et d'aussi exaltant maintenant. Ma peau brûle littéralement et je ne peux pas m'empêcher de le toucher, de rechercher le contact avec lui qui est presque total puisqu'il m'écrase littéralement contre le mur. Il faut bien avouer que je n'ai jamais rien ressentit de tel avec un garçon, aucun de mes anciens petits copains ne savait comment faire pour me que je vibre littéralement alors que lui, j'ai l'impression que mon corps est fait pour lui. À bout de souffle, je le repousse et détourne le visage afin de ne pas voir la colère prendre la possession de ses traits. Mais rien ne viens pour le moment, ses mains se sont stoppé sur mes hanches qu'elles caressent doucement, faisant courir des frissons dans chaque partie de mon anatomie. Voyant qu'il ne prenait toujours pas la parole, un soupir passa mes lèvres. « On n'aurait pas dû, je m'excuse. » Oui, par ce qu'encore une fois tout est de ma faute, j'ai cherché à le provoquer et de le voir aussi en colère m'a fait ressentir quelque chose de complètement dingue et je lui ai littéralement sauté dessus. Il m'attire. Oh mon Dieu, pourquoi est-ce qu'il faut que ça tombe sur moi ce genre de chose, surtout que nous ne sommes pas faits l'un pour l'autre, c'est même le contraire. Bon, il ne faut pas que je panique, c'était seulement un moment d'égarement, rien d'autre. Alors pourquoi est-ce que je ne me dégage pas et que j'apprécie de plus en plus cette caresse sur mes hanches ? Je ferme les yeux et me retiens de me taper la tête contre le mur qui se trouve derrière moi. « Tu n'es pas la seule fautive, je ne t'ai pas repoussé... J'en avais autant envie que toi. » Mon cœur manque un battement, il avait aussi envie de m'embrasser, qu'est-ce que je dois en déduire ? C'est mon professeur, impossible qu'il y est quoi que ce soit entre nous et surtout, nous pouvons pas nous encadrer tout du moins de mon côté. Mais il y a tellement de choses qui font aussi que je pourrais littéralement craquer pour lui, comme notre passion commune pour le sport. Alors pourquoi est-ce que j'ai pris l'initiative de l'embrasser, un baiser qui m'a fait me sentir plus vivante que jamais. Je suis tellement perdu dans mes pensées que je sursaute en sentant sa main sur ma joue, caressant doucement ma peau et je ferme les yeux une seconde avant de parler. « Je suis idiote, je n'aurais jamais dû, on ne peut pas faire ça et il vaut mieux d'oublier tout de suite ce qui vient de se passer. » Je m'écarte assez difficilement et lui lance un regard avant de m'éloigner pour rejoindre les vestiaires où je range mes affaires rapidement avant de quitter le gymnase. Il ne faut pas que je retombe sur lui, il faut juste que je quitte le campus pour rentrer prendre une bonne douche et surtout essayer d'oublier. Plus facile à dire qu'à faire. HORS JEU ▹ GROUPE : Mr Tout le monde. ▹ AVATAR : Saoirse Ronan. ▹ SCENARIO ou PERSONNAGE INVENTE : Personnage inventé. ▹ PSEUDO/PRENOM : Marine. ▹ ÂGE : Dix-neuf ans. ▹ OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : Sur Bazzart. ▹ PRESENCE : Tout les jours, sauf en cas de problèmes ou d'imprévu.
Dernière édition par Naïg Eon-Guivarch le Lun 25 Fév - 10:57, édité 19 fois
Lila-Rose P. Leroy
▹ A PARIS DEPUIS : 09/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 877 ▹ PSEUDO : PINGUS. ▹ CREDITS : Tumblr + Frenchaddicted.
Sujet: Re: i find it kinda sad the dreams in which i'm dying are the best i've ever had - naïg Sam 23 Fév - 15:13
Bienvenue Bon courage pour ta fiche, et si tu as la moindre question, nous sommes là
Invité
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Sujet: Re: i find it kinda sad the dreams in which i'm dying are the best i've ever had - naïg Sam 23 Fév - 15:14
Merci beaucoup pour cette accueil, je n'hésiterais pas en cas de question.
Ronnie P. des Pugets
les meurtrières.
les dieux nous envient parce que nous sommes mortels, parce que chacun de nos instants peut être le dernier, et que tout est beaucoup plus beau car nous sommes condamnés. tu ne seras jamais plus ravissante qu'à cet instant. plus jamais nous ne seront seuls ici tous les deux.
▹ A PARIS DEPUIS : 20/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 811 ▹ PSEUDO : northern lights. (manon) ▹ CREDITS : lollipops.
Sujet: Re: i find it kinda sad the dreams in which i'm dying are the best i've ever had - naïg Sam 23 Fév - 15:20
BIENVENUE SUR LE FORUM & bon courage pour ta fiche
Tu hésites entre qui et qui ? *O*
Invité
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Sujet: Re: i find it kinda sad the dreams in which i'm dying are the best i've ever had - naïg Sam 23 Fév - 15:21
Merci pour votre accueil, je n'hésiterais pas.
C'est ça le problème, je n'ai personne d'autre en tête, mais j'hésite quand même à prendre Saoirse, même si c'était ma première idée.
Ronnie P. des Pugets
les meurtrières.
les dieux nous envient parce que nous sommes mortels, parce que chacun de nos instants peut être le dernier, et que tout est beaucoup plus beau car nous sommes condamnés. tu ne seras jamais plus ravissante qu'à cet instant. plus jamais nous ne seront seuls ici tous les deux.
▹ A PARIS DEPUIS : 20/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 811 ▹ PSEUDO : northern lights. (manon) ▹ CREDITS : lollipops.