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I ♥ RIEN, JE SUIS... ☞Sanguin ☞Violent ☞Surprenant ☞Susceptible (quand on lui fait des remarques sont sur son argent) ☞Rancunier ☞Possessif ☞Nerveux ☞Mystérieux ☞Maladroit ☞Maniaque (seulement sur son bureau) ☞Lunatique ☞Sans limite et parfois trop de limites. ☞Jaloux (du bonheur des autres quand il déprime) ☞Impulsif ☞Impatient (dépend du sujet) ☞Fougueux ☞Fêtard ☞Curieux ☞Blasé (par certaines situations) ☞Coléreux ☞Violent (malgré lui) ☞Volage (depuis qu’elle a brisé son cœur) ☞Méfiant (au début) ☞Caractériel
☞Tolérant ☞Vif ☞Sécurisant (lorsqu’il ne se met pas en colère) ☞Sérieux (dans son travail) ☞Serviable (pour les gens qu’il aime) ☞Sociable ☞Protecteur ☞Persévérant ☞Mature (quand il le faut vraiment) ☞Loyal (envers les gens qui en vaillent la peine) ☞Intelligent ☞Indépendant ☞Galant (de par son éducation) ☞Gourmand ☞Imaginatif ☞Attentionné ☞Bienveillant ☞Énergique ☞Fidèle et en même temps infidèle (dépend de son humeur, de la personne, de tout un tas de choses) ☞Consciencieux (dans son travail) ☞Créatif ☞Cultivé ☞Charismatique (bien malgré lui) ☞Tendre (quand il n’a pas de crises et qu’on le connait bien) ☞Artiste
J'AIME ☞ la première cigarette du matin ☞sa sœur ☞le lever du soleil ☞les femmes et les hommes ☞ les langues ☞ les voyages ☞ le café noir sans sucre ni lait ☞la boxe (pour se changer les idées ☞ la pluie ☞ le chocolat et la nourriture en général ☞le piano ☞chanter sous la douche ☞ les films d’horreur ☞ Jurer devant ses parents pour les embêter ☞ la musique ☞ la littérature anglaise ☞ le rire d’un enfant ☞ les câlins ☞ dormir au milieu du lit ☞ les douches chaudes ☞ siffler JE N'AIME PAS ☞ Ses crises de violence ses parents ☞ELLE ☞les arachides (allergie) ☞le thé ☞réfléchir sur lui-même ☞la manière dont l’argent corrompt le monde ☞les hélicoptères ☞la musique électro en dehors des soirées ☞les gens trop hautains ☞ qu’on le juge sur son argent ☞les repas de famille ☞les films à l’eau de rose ☞ qu’on ne laisse pas sa place à une personne âgée dans les transports en commun ☞les ascenseurs ☞ Se faire avoir ☞entendre quelqu’un faire grincer son couteau ☞les strings ☞la solitude
L'HISTOIRE « Until we bleed ! »
▹ La famille Sjöberg est tout d'abord connue pour son extrême richesse et son côté assez noble. Une souche de leur lignée est d'ailleurs reliée jusqu'à la famille royale de Suède. N'ayant jamais manqué de rien, chaque hériter Sjöberg a toujours pu perpétuer l'héritage en laissant derrière lui un fils. Le patriarche actuel de la famille est Vadim Sjöberg, suédo-anglais, il a été, pendant des années, diplomate avant de finir comme ambassadeur. Roza Sjöberg est quant à elle originaire de Russie. Ancienne grande ballerine, elle cherchait un mari qui lui apporterait la stabilité financière et le luxe qu'elle appréciait tant. Elle trouva cela en Vadim. Leur union fut plus un mariage de raison qu'un véritable amour mais aucun des deux n'a jamais trompé l'autre. Vint ensuite les deux enfants du couple. Tout d'abord, Matheus puis deux ans plus tard la petite Synnöve. ▹ Ce fut à l'âge de quatre ans que Matheus quitta pour la première fois le territoire suédois. Son père venait de se faire nommer comme ambassadeur de Suède au Guatemala. Pour le métier du père, la famille ne passait pas plus de quelques années dans le même pays. Les deux enfants furent scolarisés dans diverses écoles privées tout le long de leur vie étudiante. Leur éducation bien que pouvant sembler chaotique et débridée était pourtant efficace et même le point d'or de leur père. Vadim voulait que ses enfants développement pleinement leurs capacités et il attendait d'eux qu'ils se surpassent dans tous les domaines. Poussés trop tôt, trop vite, leur vie d'enfant est vite devenue un enfer. Cours à domicile pour renforcer les connaissances, sentiment de ne jamais être assez bien, dégout de l'école mais obligation de montrer le meilleur si l'on voulait trouver grâce aux yeux du patriarche. ▹ De l'extérieur, la famille Sjöberg est toujours apparue irréprochable et aimante. Garder toujours un sourire sur son visage même si on voulait pleurer était primordial. Tout ce qui comptait et à toujours compter c'était de bien paraitre en permanence mais les apparences étaient plus que trompeuses. La vie familiale était presque inexistante. Les parents avaient des domestiques qui se chargeaient, la plupart du temps, de leurs enfants et tout ce qui comptait c'était qu'ils correspondent à ce qu'on attend. Leur avis n'a jamais véritablement compté, ils devaient simplement suivre le mouvement. Cela marcha assez bien durant les premières années de leur vie parce qu'ils étaient bien trop jeunes pour se rendre compte de ce qui se tramait dans leur dos. Cela changea en grandissant. Ce monde devint en quelque sorte leur prison dorée. Ils devaient être tel qu'on attendait même si cela revenait à changer ce qu'ils étaient au fond d'eux. Un sentiment d'impuissance et de mal-être grandit assez vite chez chacun des enfants. ▹ Avant même de s'en rendre compte, Matheus s'engouffra dans une voie sans issue. Etre un autre le poussa à renfermer en lui tout ce qu'il désirait. S'en même s'en rendre compte, il devint une bombe à retardement. Lui qui laissait si souvent son beau minois apparaitre ne pouvait plus contenir toute cette colère qu'il retenait en lui. A force de l'empêcher de s'exprimer, il était devenu une furie. Son visage serein pouvait se transformer à n'importe quel moment en violence exacerbée. Il n'était qu'un enfant mais d'une certaine manière, il était déjà foutu. Pourri, détruit par un monde qu'il n'avait nullement demandé. Oh, il y avait de bons côtés, il n'arrivait malheureusement pas à les apprécier quand il pensait à tout le reste. ▹ Pour contrôler son comportement, ses parents l'emmenèrent voir un psy, puis un autre jusqu'à totalement arrêter. Monsieur et Madame Sjöberg n'appréciaient nullement les allusions faites sur leur manque d'intérêt pour leurs enfants. Alors, on se servit de l'argent pour arranger les choses. S'il frappait un autre élève dans la cours de récrée, on payait grassement la famille. Si la situation devenait trop scabreuse, on trouvait un moyen de partir rapidement du pays. Jamais on ne cherchait à résoudre le véritable problème, simplement ses désastreuses conséquences. ▹ Matheus grandit donc pris au piège de son propre comportement qu'il n'arrivait pas à maitriser bien longtemps. Sa seule bouée de sauvetage fut sa petite soeur. Synnöve était toujours là pour l'accompagner, pour le maintenir à flot, pour l'empêcher de totalement craquer. Il n'était véritablement lui-même qu'avec elle parce qu'elle savait tout de lui et il savait tout d'elle. C'était un pacte qui allait dans les deux sens, à la vie, à la mort. ▹ L'adolescence fut une période de grands troubles pour lui. Il n'était pas vraiment un élève modèle, il séchait, répondait aux profs, il faisait tout ce qu'il ne fallait pas faire sans vraiment de but précis. Il cherchait sa voie mais il se perdait malheureusement en route. Son monde se tourna bien vite vers des substituts de bonheur : la drogue, le sexe, l'alcool, la cigarette. Il pensait à l'immédiat pour faire taire ses vieux démons. ▹ Ce fut à l'âge de seize ans qu'il arriva en France. Cela fut son nouveau lieu de vie. Son père venait d'être muté ambassadeur à Paris. Bien que retissant à l'idée de vivre ici, il s'habitua bien vite au mode de vie et continua de grandir entre cette part sombre de lui et l'homme qu'il devait être lors de grands évènements. ▹ Après l'obtention de son bac, il entama des études en langues germaniques. Ces dernières comprenaient bien entendu l'anglais et l'allemand mais aussi une grande partie des langues scandinaves sous-groupe des langues germaniques. L'université eut des conséquences positives sur son comportement. Il était plus libre de vivre sa vie comme il l'entendait et cela lui permet de se sentir mieux avec lui-même. Il arrêta quelques conneries mais sa violence était maintenant indissociable de lui. Elle était son démon personnel contre laquelle il devrait se battre tous les jours. Lors de la dernière année de ses études il décida de passer un an en Allemagne pour développer un peu plus cette langue. Il voyait cela comme une expérience mais aussi un moyen de briser totalement l'influence de sa famille sur lui. Il avait agi comme un égoïste, il laissait derrière lui sa moitié, sa soeur. Ce ne fut pas de gaité de coeur qu'il l'abandonna mais c'était un besoin vital pour lui de s'éloigner du milieu dans lequel il avait été élevé. C'était un des seuls moyens pour lui de s'assurer qu'il ne finirait pas comme ses parents ou alors totalement fou. ▹ Le destin se chargea de lui faire payer son erreur. Il mit sur sa route Poesy, une demoiselle qui brisa son coeur. Il l'avait pris pour une charmante demoiselle malheureusement atteinte d'une maladie grave qui causerait sa mort. Il n'avait pas pensé une seule seconde qu'elle lui mentait sur toute la ligne. Lorsqu'il revint en France, ce fut en hômme brisé qui ne croyait plus en l'amour. Pour lui, cela n'est plus que mensonge, il n'aime plus, il se contente de relations qui ne durent pas. Il sait le mal que peut faire l'amour et il ne veut oplus jamais ressentir ça. ▹ Depuis la fin de ses études, il s'est trouvé un appartement pour s'éloigner encore davantage de l'influence de ses parents. Il les côtoie encore mais c'est surtout pour essayer de sauver sa petite soeur et parce qu'il est un peu sans le sous. Poesy lui a pris tout l'argent qu'il avait mis de côté. Il doit donc se montrer un peu plus agréable à leur égard. Il reste surtout pour Synnöve. Depuis son départ, il ne reconnait plus sa moitié. Elle est devenue tout ce qu'il déteste, une petite poupée qui se détruit. Comment tout cela a pu changer ? Il s'en veut et il fait tout pour arranger les choses. Parce qu'elle est sa moitié et surement la dernière personne qu'il veut voir souffrir. HORS JEU ▹ GROUPE : Serge Gainsbourg ▹ AVATAR : Nico Tortorella ▹ SCENARIO ou PERSONNAGE INVENTE : Personnage inventé ▹ PSEUDO/PRENOM : Mandine ▹ ÂGE : 20 ans ▹ OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : Par une amie qui s'inscrit également (Marla Hasting)▹ PRESENCE : 5/7
Dernière édition par Matheus B. Sjöberg le Lun 25 Fév - 16:14, édité 5 fois
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Sujet: Re: Bö ☞ It's hard to dance with the devil in your back Dim 24 Fév - 11:41
L'HISTOIRE « Le problème avec le temps c’est qu’il finit toujours par s’écouler.»
SYNNÖVE . « Monsieur Sjöberg la leçon n'est pas finie. » Tu n'avais pas écouté, tu étais parti en courant parce que passer deux heures devant un exercice qui ne te servirait jamais à rien. Tu avais pourtant essayé parce que tu le devais. Tu voulais faire le bien mais cela te faisait du mal, tellement que tu ne savais plus tenir ton crayon. Tu t'étais alors levé pour ne pas sauter sur ton professeur particulier. Tu t'étais précipité dans ton antre. Là, tu t'étais acharné sur tout ce qui t'était tombé sous la main. Un vase, un poster, un oreiller, le mur. Ton poing s'enfonça dans ce dernier comme si c'était du beurre. La douleur te faisait revenir sur terre. C'était ton antidépresseur, ton moyen de t'assurer que tu étais bien vivant et en même temps de ne pas finir par devenir totalement frappa-dingue. Tu l'étais au fond et pas qu'un peu mais tu ne pouvais pas combattre cette nature pesante qui s'était emparé de toi sans que tu ne t'en rendes compte. Tu t'acharnais sur ce mur comme si c'était l'unique chose qui pouvait te rendre heureux. Tu étais dans un monde où tu oubliais tout. Tu sentis cette main venir se poser sur ton épaule et ton corps fut le premier à réagir. Ta main vint s’abattre sur le visage de la personne qui venait te porter secours. Tu ne le faisais pas exprès. Tu étais ainsi, incapable de te contrôler. Tu voyais cette tâche rouge se profiler sur son visage et tu te demandais de qui provenait ce sang ? Tu espérais qu'il soit tient parce que tu ne voulais pas lui faire de mal. Parce qu'elle était la prunelle de tes yeux mais que tu étais malheureusement incapable de contrôler tes pulsons. Si tu avais réussi à parler, tu lui aurais, sans l'ombre d'un doute, demandé de partir en courant parce que tu ne voulais pas la blesser davantage... La folle ! Elle s'approchait de toi, petit à petit jusqu'à t'encercler de ses bras. Elle n'avait rien dit mais cela valait toutes les paroles du monde. Son contact apaisait presque immédiatement cette part sombre en toi. Elle te rendait humain, simple, calme. Tu étais en sécurité parce qu'elle était là. Elle était ta bouée, celle qui te ramenait au port. Elle savait te faire perdre ta colère comme personne d'autre ne pouvait le faire. C'était elle et personne d'autre parce qu'elle était ta soeur, ta moitié, cette partie de toi-même que tu ne voulais pas perdre. Vous étiez seuls contre le monde mais bel et bien à deux. « Je ne voulais pas... Désolé. » Elle te répondait par un regard compatissant et tu savais qu'elle te pardonnait. Tu étais ainsi et elle savait combien tu te battais chaque jour contre ce que tu étais. Elle comprenait parce qu'elle aussi vivait la même chose à sa manière. Tu ne comptais plus le nombre de fois où elle s'était faufilée dans son lit pour échapper à son angoisse constante. Tu te rappelais également toutes ses fois où tu avais dû la serrer tout contre toi lorsque quelqu'un lui faisait une remarque. Vous étiez ainsi, deux tares de la nature qui avait besoin l'un de l'autre pour survivre. Deux âmes perdues, brisées, désaxées, malade sans le vouloir mais heureuse parce que vous étiez peut-être deux mais au fond, vous n'étiez qu'une seule âme.
MARLA AKA POESY.Bam Bam Boum... Les bruits d'un coeur qui aime. Il te suffit d'un regard vers elle pour ressentir tout l'amour d'une vie. Toi, tu étais venu en Allemagne pour en découvrir la langue mais en aucun cas pour trouver l'amour. Tu n'avais jamais pensé cela possible ou plutôt, tu n'y avais pas vraiment réfléchi. La question ne s'était pas posée avant que tu ne la rencontres. Le destin avait décidé de la mettre sur ta route. En un instant, ils vous avaient fait vous rencontrer. Il l'avait contrainte à s'étaler de tout son long au sol tandis qu'il t'avait amené à lui tendre la main. Un geste qui t'avait conduit à ne pouvoir te détacher d'elle. Comment deux êtres aussi différents avaient-ils pu devenir aussi complémentaire ? Tu ne le savais pas vraiment mais tu ne te posais toutefois point la question. La raison t'importait peu elle était là et c'était tout ce qui comptait pour toi. Tu l'aimais et rien ne pouvait changer cela. Elle n'était pas ta première fois, elle n'était pas si différentes des autres mais pour toi elle était la seule qui comptait. Parce qu'elle avait pris ton coeur parce que tu t'étais laissé avoir avec la plus grande envie. Encore couché dans ton lit, tu cherchais sa présence à tes côtés mais tu ne la trouvais pas. Presque immédiatement, presque comme si tu en étais contraint, tu devais la retrouver parce qu'elle était ton petit monde. La personne de qui te tu ne pouvais te passer, pas ici, pas maintenant. Rapidement tu la retrouvas, affublée sur la petite terrasse regardant l'extérieur de l'appartement. Assise de la sorte, elle t'apparaissait tel un ange ce qui te réchauffait le coeur tout en te glaçant le sang. Tu ne voulais pas la voir partir... Tu ne voulais pas qu'elle devienne véritablement un ange... « C'est ton coeur ? » Tu aurais pu l'embrasser, lui dire combien elle comptait mais à cet instant précis, tu devais être rassuré. Un seul signe de tête te fit comprendre que le verdict était sans appel... Pourquoi ton temps avec elle était-il si limité ? Pourquoi vous faisait-on vivre cela ? Tout doucement, tu t'étais approché d'elle avant de la prendre dans tes bras. Tu respirais son délicat parfum, tout en essayant de rester calme. Oh bien sûr, elle connaissait tes coups de colère, elle en avait d'ailleurs été plus d'une fois la cible mais elle comprenait que tu faisais tout ce qui était possible pour les contrôler. « Les docteurs m'ont prévenu que cela n'allait pas aller en s'améliorant... Tu sais bien que je suis... » Tu l'embrassas immédiatement pour l'empêcher de sortir ce dernier mot. Tu ne voulais pas l'entendre, tu ne voulais pas savoir et jamais plus elle ne devait dire de pareilles bêtises. « On trouvera une solution... Tu n'es pas condamnée, tu ne vas pas mourir, tu m'entends ! Tu vas vivre, on va trouver une solution. On va... »Tu avais besoin d'en trouver une et tu ferais tout ce qui serait en tout pouvoir pour y arriver. Sa vie valait bien tout l'or du monde... Tu ne savais pas encore à quel point...
Dernière édition par Matheus B. Sjöberg le Mar 26 Fév - 18:00, édité 4 fois
Ronnie P. des Pugets
les meurtrières.
les dieux nous envient parce que nous sommes mortels, parce que chacun de nos instants peut être le dernier, et que tout est beaucoup plus beau car nous sommes condamnés. tu ne seras jamais plus ravissante qu'à cet instant. plus jamais nous ne seront seuls ici tous les deux.
▹ A PARIS DEPUIS : 20/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 811 ▹ PSEUDO : northern lights. (manon) ▹ CREDITS : lollipops.