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nous sommes fières de t'accueillir sur la version 2.0 de FOQUE YOU, I'M PARISIEN nous te souhaitons la bienvenue parmi nous et nous espérons que tu t'y sentiras comme chez toi !
si tu es nouveau, nous t'invitons à aller lire le règlement et le contexte. des scénarios sont également à ta disposition, n'hésites pas à y faire un tour et peut-être faire le bonheur de l'un de nos membres ! puis direction la fiche de présentation, tu as cinq jours pour la terminer.
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I ♥ RIEN, JE SUIS... VERTUES :: Charmeuse ☆ Extravertie ☆ Fantaisiste ☆ Épicurienne ☆ Audacieuse ☆ Généreuse ☆ Captivante ☆ Perspicace ☆ Confiante ☆ Drôle ☆ Créative ☆ Cultivée ☆ Meneuse ☆ Curieuse ☆ Dynamique ☆ Attentive ☆ Ouverte d'esprit ☆ Joueuse ☆ Intuitive. && VICES :: Narcissique ★ Impatiente ★ Anticonformiste ★ Immature ★ Insouciante ★ Perfectionniste ★ Intransigeante ★ Intéressée ★ Excessive ★ Dépensière ★ Désinvolte ★ Capricieuse ★ Ironique ★ Médisante ★ Hypocrite ★ Sans-gêne ★ Émotive ★ Puérile ★ Androphobe ★ Superficielle. J'AIME L’art dans toutes ses formes et jusque dans ses déclinaisons les plus subtiles. ☸Les dragons, les licornes, les fées, les lutins, les sorcières et tout le folklore fantastique enfantin qui accompagne cette joyeuse ménagerie. Mais dans cette overdose de conte et de magie, son dada ultime ce sont les légendes arthuriennes. ☸L’argent même s’il ne fait pas le bonheur, il contribue fortement au sien. ☸ Le matin très tôt, les nuits très tard. ☸ Les rapaces, en particulier les chouettes et les hiboux ☸ Les vieux films hollywoodien en noir et blanc ☸L’odeur du café au réveil, même si elle n’en boit pas. ☸ La junk food et les pâtisseries. ☸ Les romans policiers qui mettent au défit sa perspicacité. ☸ Emmerder ses voisins en jouant du piano jusqu’à pas d’heure. ☸ Les bande-dessinés en tout genre. ☸ Betty Boop. Poupoupidou-pou ! ☸ Les ballades hasardeuses qui ne mènent jamais à la monotonie. ☸ Les œuvres d’Alfons Mucha. ☸ La musique dans tous ses états. ☸ Briser les codes de la mode et mener les tendances. ☸ Faire chauffer la carte bleue approvisionnée généreusement par daddy et mummy. ☸ Les lieux atypiques. ☸ Les dessins animés du matin. ☸ La solitude. JE N'AIME PAS Les hommes. À ses yeux, ils sont terrifiants et bestiaux. Elle s’improvise donc hétérosexuelle refoulée. ☸Les fins tragiques qui lui mettent toujours la larme à l’œil. ☸ Les légumes, ses ennemis naturels. ☸ La monotonie. Pour elle, c’est la mort du corps et de l’esprit. ☸ Les contraintes qui forcent la répétition, l’ennui et la lassitude ☸ Monaco. C’était beau, propre et lisse. Putain, ce que c’était chiant. ☸ La pauvreté lui fait mal aux yeux et la misère l’horripile. Elle ne peut pas les regarder en face. Tout cela est bien trop éloigné de la perfection de son monde. ☸ Les femmes qui sous prétexte d’être intelligentes se permettent d’être laides. ☸ La vulgarité vestimentaire. ☸ Les endroits trop guindés : bon chic, bon genre. ☸ La cruauté humaine envers les animaux. Malgré son goût pour la mode, sa préférence ira toujours à la fausse fourrure. ☸ L’idée de mourir un jour sans jamais avoir connu le goût du succès et de la célébrité ☸ Les personnes qui lui ressemblent. Elle préfère penser qu’elle est seule au monde dans son genre. ☸ Les prises de têtes. Exceptés les débats philosophique dans quelques lieux branchés bobo parisiens qui sentent bon l’alcool et la fumette. ☸ Les cours de Sup de Pub, trop enclavés dans cette société de consommation standardisée à son maximum. Elle veut plus de fantaisie. Plus de création. Plus de liberté. Autant dire qu’elle va rarement en cours. ☸ Les vieilles peaux tannées et les blondasses oranges. ☸ La vilaine vérité. ☸ Les lesbiennes trop masculines. Si elle ne sort pas avec des hommes, ce n’est pas pour se les taper version « j’ai un vagin ». ☸ La solitude.
STORY OF MORNING GLORY « I WRITE SINS NOT TRAGEDIES. »
J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans. Un gros meuble à tiroirs encombré de bilans, de vers, de billets doux, de procès, de romances, avec de lourds cheveux roulés dans des quittances, cache moins de secrets que mon triste cerveau. C'est une pyramide, un immense caveau, qui contient plus de morts que la fosse commune. Je suis un cimetière abhorré de la lune, où comme des remords se traînent de longs vers qui s'acharnent toujours sur mes morts les plus chers. Je suis un vieux boudoir plein de roses fanées, où gît tout un fouillis de modes surannées, où les pastels plaintifs et les pâles Boucher, seuls, respirent l'odeur d'un flacon débouché.
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Elle, c’était la petite fille de riches, un peu coincée dans son univers trop bien rangé. Née sur un rocher en or, le cul entre deux chaises. Dépendante de l’argent de ses parents et avide de liberté. Entre quête d’identité et besoin irraisonné de déconner. Elle c’était la populaire. La jolie. La blonde. La fille qu’on regarde et qu’on envie. Elle, elle avait une meilleure amie, friquée comme elle, les envies délirantes en moins. Un peu timide. Un peu maladroite. Pas vraiment concernée par le monde qui l’entourait, vivant bien à l’abri, à l’ombre de cette fille désabusée par la facilité de son existence. Cette fille c’était Andréa. L’autre, la petite boulotte qu’on remarquait à peine, s’appelait Faustine. Et malgré le fossé de leurs idées et de leurs envies divergentes rien n’avait su les séparer depuis leur première rencontre. Une première approche qui dans leurs esprits avait toujours sentit bon la pâte à modeler et les crayons de couleurs bon marché. Comme un souvenir d’enfance impérissable, qui finit toujours par refleurir malgré la froide rudesse de l’hiver des sentiments.
▬« Allez, tire un coup dessus. Ça te décoincera. T’sais si tu veux que l’autre là, Aurélien, te remarque, tu devrais te la jouer plus cool, tu vois ? Et perdre…quatre, cinq kilos aussi, mais bon. »
Andréa s’arrête et ricane en lui tendant le joint. Elle est stone et s’en fiche pas mal. La Faustine de quatorze ans à peine hésite et fini par le prendre en main sans toutefois oser le porter jusqu’à ses lèvres.
▬« Peut-être que ça ne m’intéresse pas. Enfin. Je veux dire. Euh. Tu sais. Je préfère peut-être qu’il ne s’intéresse pas à moi… » ▬« T’es gouine ? »
Elle se met à rire de plus belle comme si l’expression portait en elle une singulière touche d’hilarité. Elle est défoncée. Rien n’est réel. Elle peut rire de tout et avec tout le monde. Même avec personne. Mais l’adolescente potelée sent le rouge lui monter aux oreilles et tente vainement de s’offusquer.
▬« N-no-n-non ! Pourquoi tu dis ça ? C’est pas ça ! C’est juste que…Et s’il ne m’aime pas comme moi je l’aime ? »
La jolie blonde se rapproche un peu plus sans un mot et lui attrape le poignet, la forçant à porter le joint de cannabis jusqu’à sa bouche.
▬« Allez, avale ! Avale ! Avale ! Oh, putain… »
Elle s’exécute à contre cœur. Dans un premier moment, elle sent la fumée âcre titiller son palais. Rapidement ensuite, il lui semble que ses poumons la brûlent de l’intérieur. Elle ne tient plus. La débutante en crack recrache un nuage de fumée dans une cacophonie d’étouffements rauques et douloureux, tandis qu’Andrea pose sa tête sur son épaule. Elle ne rit plus.
▬« Tu sais, moi je crois que je le suis. » ▬« Suis quoi ? »
Andréa relève sa tête sans rien dire. L’ambiance a changé. Doucement, elle rapproche ses fines lèvres tout près du visage de sa meilleure amie. Elles échangent un court baiser, humide et âpre. Les langues se délient et finissent par se séparer. Le silence est gêné. Prostrées, elles décident d’un commun accord muet de garder le secret. Dans les joies, comme dans les peines. Jusqu’à ce que la mort les sépare.
Ce soir je voudrais dépenser tout l'or de ma mémoire, déposer mes bagages trop lourds. Il n'y a plus devant mes yeux que le ciel nu, les murs de la prison qui enserrait ma tête, les pavés de la rue. Il faut remonter du plus bas de la mine, de la terre épaissie par l'humus du malheur, reprendre l'air dans les recoins les plus obscurs de la poitrine, pousser vers les hauteurs - où la glace étincelle de tous les feux croisés de l'incendie - où la neige ruisselle, le caractère dur, dans les tempêtes sans tendresse de l'égoïsme et les dérisions tranchantes de l'esprit.
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Son mascara a coulé et sa jolie robe à virginale, estampillée par un grand nom de la mode, est abondamment tâchée. Mais tout cela, Faustine ne peut pas le voir au téléphone. Elle ne peut qu’imaginer l’état déplorable de sa meilleure amie, pleurant à chaude larmes contre le combiné. Le cœur serré, elle l’imagine repliée sur elle-même dans un coin de sa grande chambre vide. Seule. Apeurée. Désorientée. Dans son esprit, l’image est limpide et ses lèvres se mettent à trembler sous l’émotion. Elle n’ose pas poser la question fatidique. Elle craint la réponse plus que tout. Elle avance puis recule. Torturée entre le dénie et la volonté de savoir. Mais acculée au bord du précipice, elle n’a d’autre choix. Elle s’élance pour un saut de l’ange interminable avec l’impression désagréable que plus rien ne sera jamais comme avant.
▬« Andréa, parle-moi. »
Le silence est long et les sanglots déchirants.
▬« Faustine, je me sens tellement sale. Si tu savais. Je veux mourir…Pitié, dis-moi que ça va s’arrêter. » ▬« On…t’as fait du mal ? »
Les gémissements redoublent d’intensité dans un flot de larmes sans fin. La réponse semble équivoque. La petite brune s’effondre sur son lit. Abattue par la nouvelle, elle tente de reprendre son souffle et s’accroche à son téléphone.
▬« Tu es chez toi ? Tu veux que je vienne ? » ▬« Non ! Je veux pas. Je veux pas qu’on me voit comme ça ! Je veux pas…aide-moi, Faustine. Aide-moi ! J’ai mal. J’ai tellement mal. »
Elle ne peut pas pleurer. Elle sait qu’elle se doit d’être forte pour deux. Mais c’est un combat titanesque de chaque instant, perdu d'avance.
▬« Qui a fait ça ? » ▬« Tu…tu promets de ne jamais rien dire à personne ? Jamais, tu jures, hein ? » ▬« Je te le promet, Andréa. Je te le promets. »
Alors qu’elle s’apprête à se mettre à nu, les images de son cauchemar éveillé défilent dans sa tête à toute allure. À cet instant, elle se sent vulnérable. Blessée. Salie. Jusqu’au plus profond de son être.
▬« On était à cette soirée, tu sais. Et…y avait Aurélien. Il m’a dit de venir avec lui pour discuter au calme…je pensais qu’on allait parler de toi, tu sais. Je suis désolée…je…je savais pas qu’il avait bu. Il…il m’a forcé… »
Sa voix se brise, incapable d’aller plus loin. À l’autre bout du fil, Faustine a laissé tomber son téléphone sur le sol, quelques secondes après la révélation. La ligne s’est coupée sous le choc. Le lien qui les attachait si fermement s’est rompu cette nuit-là. Et aussi cruel soit-il, le destin ne raccommode jamais ce qui a été brisé. C’est ainsi, à la vie comme à la mort.
Trois mois plus tard, Andréa mettait fin à ses jours. Elle avait seize ans. Sur sa tombe, on peut encore lire l’épitaphe : « En mémoire de ce printemps, fané trop vite. Qu’il puisse éternellement refleurir dans nos cœurs. »
Notre-Dame est bien vieille : on la verra peut-être enterrer cependant Paris qu'elle a vu naître ; Mais, dans quelque mille ans, le Temps fera broncher comme un loup fait un bœuf, cette carcasse lourde, tordra ses nerfs de fer, et puis d'une dent sourde rongera tristement ses vieux os de rocher ! Bien des hommes, de tous les pays de la terre viendront, pour contempler cette ruine austère, rêveurs, et relisant le livre de Victor : alors ils croiront voir la vieille basilique, toute ainsi qu'elle était, puissante et magnifique, se lever devant eux comme l'ombre d'un mort !
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Dans son grand appartement encore vide de toute substance, au milieu de ses cartons toujours hermétiquement clos, Faustine se sent libérée d’un poids. Le poids d’un rocher tout entier. Elle n’est plus la petite fille timide, renfermée et un peu bizarre. Au revoir peurs enfantines. Elle n’est plus l’adolescente boulotte en manque d’attention. Adieux kilos en trop. Elle n’est plus la fille cachée à l’ombre de la jolie copine populaire. D’ailleurs, même Andréa n’est plus. Presque quatre ans désormais. Néanmoins, lorsqu’elle contemple Paris par ses fenêtres et voit la ville lumière battre la chamade, tout cela lui semble bien vieux. Ce ne sont plus que des souvenirs maintenant, rangés en désordre au fond d’une boîte poussiéreuse dont on préférerait qu’elle ne voit plus jamais le jour. Des bribes d’instants volés, de plus en plus lointains et nébuleux. Comme les réminiscences incertaines d’une vie déjà passée dans un autre corps. Dans cette nouvelle vie, Faustine est pensive. Mais déjà, le téléphone sonne une fois. Deux fois. La rêverie est terminée. Sans réfléchir, elle décroche.
▬« Oui, maman. Oui.. je suis bien arrivée. Mais non j’ai pas encore défait mes cartons, je viens juste d’arriver, je te dis. »
Assise sur le parquet patiné de son nouveau salon, la jeune femme, fraichement parisienne, retient un long soupir d’exaspération. Elle n’aime pas ces élans d’inquiétude maternelle atrocement culpabilisateurs. Pour dire les choses comme elles sont, Faustine en a toujours eut une sainte horreur. L’impression d’être redevable mettait un frein à son égo de plus en plus imposant au fil des ans. Et cette entrave n’était, bien entendu, pas la bienvenue dans son petit monde sentimentalo-boulimique, excessivement narcissique.
▬« Non promis. Je traine pas pour ranger l’appart’. Et dis à papa quand il rentrera que tout va bien. Mais non je vous abandonne pas, enfin. Tu sais très bien que je voulais rentrer dans cette école. Ils ont un très bon enseignement et tu le sais. Oui. Je t’aime moi aussi. Bon aller, je te laisse parce que j’ai du boulot. Bisous, bisous. »
Elle raccroche sans attendre. Enfin seule, elle expire son agacement. Dans la morne solitude de sa nouvelle maison, seul son souffle résonne et elle y trouve une certaine satisfaction. Paradoxalement, l’isolation lui plait tout autant qu’elle lui pèse. Une vie de mensonge pour un peu de quiétude. Dans ses veines, coule la Seine. Coule la scène. Quel mal peut-il bien avoir à prétendre à la paix ? Sans doute la guerre qui se prépare avant la trêve, la débâcle des sentiments qui assombrit l’horizon. Une chose est sûre, tout repos se mérite. Dans la vie. Comme dans la mort.
HORS JEU ▹ GROUPE : Molière. ▹ AVATAR : Marina Diamandis. ▹ SCENARIO ou PERSONNAGE INVENTE : Inventé. ▹ PSEUDO/PRENOM : Bambie. ▹ ÂGE : 20 piges. ▹ OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : En voguant au gré du vent. ▹ PRÉSENCE : Régulière.
Dernière édition par Faustine B. Du Guesclin le Dim 7 Avr - 21:49, édité 12 fois
N. Mathilde Dumont
♪ I'm tired of feeling like I'm fucking crazy
▹ A PARIS DEPUIS : 22/03/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 83 ▹ PSEUDO : Charloca/Charlotte ▹ CREDITS : Shadows
les dieux nous envient parce que nous sommes mortels, parce que chacun de nos instants peut être le dernier, et que tout est beaucoup plus beau car nous sommes condamnés. tu ne seras jamais plus ravissante qu'à cet instant. plus jamais nous ne seront seuls ici tous les deux.
▹ A PARIS DEPUIS : 20/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 811 ▹ PSEUDO : northern lights. (manon) ▹ CREDITS : lollipops.
Sujet: Re: B a m b i e ◬ I WANNA BE AN IDLE TEEN. Dim 7 Avr - 2:20
Léo:: Merci, honey
Mathilde:: Oh my god. Autant de beautés ** Oh oui, je sens qu'on va bien s'entendre.
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Sujet: Re: B a m b i e ◬ I WANNA BE AN IDLE TEEN. Dim 7 Avr - 10:31
le pseudo, l'avatar, ta fiche welcome
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Sujet: Re: B a m b i e ◬ I WANNA BE AN IDLE TEEN. Dim 7 Avr - 13:25
Super choix d'avtar, et le perso qui va avec... miam miam ! Welcome here :)
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Sujet: Re: B a m b i e ◬ I WANNA BE AN IDLE TEEN. Dim 7 Avr - 14:19
Grrr des beaux gosses
Merci vous deux
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Sujet: Re: B a m b i e ◬ I WANNA BE AN IDLE TEEN. Dim 7 Avr - 15:25
CANON LA MISS ♥ welcome !
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Sujet: Re: B a m b i e ◬ I WANNA BE AN IDLE TEEN. Dim 7 Avr - 16:46
Thanks ♥
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Sujet: Re: B a m b i e ◬ I WANNA BE AN IDLE TEEN. Dim 7 Avr - 17:39
ta fiche est CA.NON
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Sujet: Re: B a m b i e ◬ I WANNA BE AN IDLE TEEN. Dim 7 Avr - 22:47
Oh merci, ça fait plaisir
Et toi tu es canon, sweetie
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Sujet: Re: B a m b i e ◬ I WANNA BE AN IDLE TEEN. Lun 8 Avr - 11:26
J'aime beaucoup ton histoire et ton personnage Je te valide avec grand plaisir N'oublies pas de recenser ton avatar si ce n'est pas déjà fait Et puis inscris toi à ton groupe, un admin t'acceptera au plus vite Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: B a m b i e ◬ I WANNA BE AN IDLE TEEN. Lun 8 Avr - 17:12