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Sujet: « En vérité on est perdus, désœuvrés, désabusés, seuls comme des animaux blessés. » † Natéo Kurt Gautier. Mar 30 Juil - 12:36
Natéo Kurt Gautier
prénoms ⊱ Tu t'appelles Natéo. Ouais, c'est pas très commun, on le sait. Des fois, on te croit pas; Pourtant, c'est vrai. Puis il y a Kurt. Kurt, c'est pour le chanteur là. Ouais le blond, au style surfer, ou grunge, ou ce que vous voulez, qui a chanté une chanson, et qui est maintenant le slogan pour un fast-food, ouais, Kurt Cobain quoi. tu aimes bien Kurt, c'est cool, c'est classe, ça te donne des origines que tu n'as pas, mais Natéo, c'est ton prénom, ton "vrai" prénom, alors tu le gardes, pas le choix. nom ⊱ Gautier. Comme le poète. Mais tu n'es pas très fort pour la poésie, tu n'es pas très fort pour écrire... Et tu n'as aucun lien avec ce poète, d'ailleurs. Mais bon, des fois, pour draguer, ça peut toujours servir. surnoms ⊱ Natnat, mais tu l'aimes pas. Téo, non plus. Kurty, tu aimes pas ça du tout, alors, tu ne veux pas de surnom. date et lieu de naissance ⊱ Tu es né le 28 février, à Paris... Comment ça, ce n'est pas original ? Bien sur que si, si, c'est original. Bah ouais, bah on choisit pas où on nait hein... âge ⊱ Tu as vingt et un, de quoi vivre ta vie encore... Ouais, bon, d'accord, t'as l'air d'un gamin, mais tu ne veux pas l'avouer. Toi, tu affiches ton age, fièrement. origines ⊱ Tu es français pure souche, ouais. D'un peu tout les coins de la France, mais français, et tu le vis bien en plus. statut civique ⊱ Pour l'instant tu es célibataire, bien qu'on puisse te dire marier avec ton lit. Ouais, ton lit. Ta couette, ton coussin aussi. Ouais, c'est comme ça. attirance ⊱ Tu ne sais pas... Ouais, en fait, t'as juste été touché par ton demi-frère... Enfin, il a pas le même sang que toi. alors tu crois que t'es gay, mais t'aimes bien les nichons quand ils gigotent, alors bon... Il faut voir. profession/étude ⊱ Tu essayes tant bien que mal de poursuivre des études dans le domaine artistique, mais c'est dur. Non pas que tu sois mauvais élève ; tu n'aimes simplement pas ça. Etudier, c'est fatigant. Puis des fois, ça t'arrive, tu tournes des vidéos sur internet, tu ne te montres pas dessus, mais tu essayes de faire des trucs un peu marrant, ça marche, ça marche pas... Ca marche un peu, ça va.groupe ⊱ Alfred de Musset -Je ne sais pas trop, j'arrive pas trouver quelque chose qui correspond, alors si vous voulez me mettre autre part, allez-y ! xD-opinion politique ⊱ La politique, tu t'en branles un peu. Toi, tu dis que tu es ambidextre de la politique. Un jour à gauche, un jour à droite. crédit ⊱ Tumblr.
caractère ⊱ Tu as la flemme de tout. De tellement tout. Même de manger si c'est pour dire. Tu as tellement la flemme que tu es capable de te laisser mourir pour ne pas bouger. Tu es un peu idiot, mais il ne faut pas t'en vouloir. On a tous eu un jour la flemme. Tu es un paresseux-flemmard sur patte. Après tout, on est paresseux ou on ne l'est pas du tout. Tu resterais des heures allongé dans un lit à caresser les draps, ou assis sur un fauteuil confortable pour boire une tasse de chocolat chaud. Te faire bouger est tellement dur qu'on finit par abandonner. Pourtant, il y a quelque chose qui te ferait courir dans tous les sens.
Malgré le fait que tu ne veuilles pas entendre parler d'une promenade de deux trois heures, tu ne peux t'empêcher d'aimer les autres. Le contact avec les autres. La discussion, c'est primordiale pour toi. Tu as besoin de contact pour ne pas te sentir seul, pour être sûr de vivre encore dans un Monde réel. Tu as toujours eu peur de finir enfermé dans tes rêves. C'est assez idiot de ta part, mais il faut dire que ça colle avec le personnage. Des phobies du genre, tu en as plein, tellement. La peur de ne jamais te réveiller. Celle de mourir. Tu dis toujours qu'il faut vivre sa vie pleinement ; pourtant tu ne le fais pas. « Trop la flemme ». Ce n'est pas la seule chose qui te caractérise. Tu aimes pousser les autres à faire ce qu'ils veulent. Tu essayes du mieux que tu peux de soutenir les autres, de les aimer. D'être là pour eux.
Tu n'as que très peu de confiance en toi. Tu feras prendre des initiatives aux autres, mais ne lui en parlait pas. Il ne le fera jamais. Tu te crois incapable de tout et de rien. Pour toi, tu n'ess simplement pas doué. Il faut dire que c'est vrai , tu es maladroit. Très. Assez pour casser toute une pile d'assiettes ; mais malgré ça, tu n'en reste pas moins attachant. Monsieur se rabaisse sans cesse, tu te compares toujours aux autres, tu te donnes une image péjorative de toi. Parce que tu te penses différent de ce que tu es. Tu ne vois que tes défauts, pas tes qualités. Comme beaucoup, dirons-nous. Mais là, c'en est presque abusif.
Mais il ne faut pas croire, tu restes toi. Et malgré ça, avant de pouvoir adresser la parole quelqu'un, il faut vaincre ta stupide timidité qui t'empêche de faire quoi que ce soit. Mais une fois que c'est fait, c'est à ce moment-là que tu leur livreras quelques anecdotes, ou autres choses marrantes sur toi. Malgré ta flemme aiguë, tu feras l'effort de rester avec eux autant qu'ils le voudront. C'est bien parce que tu te sens obligé d'aider les autres que tu fais ça ; sinon, ils peuvent crever. Il y aussi cette chose : vous pouvez lui faire gober tout ce que vous voulez. Naïf comme deux, tu croiras même au plus grand des mensonges. Pourtant, tu en as vu des vertes et des pas mûres. A croire que tu ne retiens pas la leçon. C'est sûrement cela, en fait. Tu ne retiens aucune leçon ; aussi têtu qu'une mule, jamais tu n'abandonneras une idée. Comment dire ? Quand tu as une idée, tu ne l'as pas au cul. Malgré ton manque de confiance en toi, ton impulsivité te fait souvent faire des choses que tu n'as pas envie. Pourtant, à l'habitude, tu es très, très, très, très, trop calme et posé. Quoi de plus normal, allez-vous me dire.
Tu restes une personne qui vit de tes propres rêves. Souvent dans la lune, tu pourrais devenir astronaute si tu continues ! Mais tes rêves te mettent souvent en danger. Combien de fois t'es-tu cassé la bobine parce que tu ne regardais pas où tu allais, trop occupé à rêver à on ne sait trop quoi. Tu rêves toujours à on ne sait trop quoi, à vrai dire. Et tu n'ax jamais, voulu en parler. Pas que ce soit spécialement grave (espérons-le) mais pour toi, une pensée, même minime, c'est quelque chose de personnel ; on ne divulgue pas de choses personnelles aux inconnus. On est trop timide pour ça, souvenez-vous.
Sept questions pour savoir où réside votre cœur.
▹ C'est dimanche. Au programme, ton occupation dominicale indispensable sera : Un brunch en famille ou chez des amis de longue date. Un tour en forêt, un jogging, une escapade dans les rues de Paris à la recherche de l'inconnu. La glande totale devant un DVD. Éventuellement un café-aspirine entre potes vers 18h.
▹ Tu viens de recevoir ta paye et tu as envie de t'offrir un petit quelque chose : Une énième paire de chaussures, un chapeau, un sac. Un stylo, un cahier, un porte-clé. Un nouveau blackberry, une babiole ultra luxe.
▹ C'est la saint-valentin aujourd'hui. Comment réagis-tu ? Tu es seul(e) chez toi et tu te gaves d'un pot de glace goût chocolat-noisette. Tu décides d'aller voir un(e) ami(e)/ton(ta) petit(e) ami(e) et de lui déclarer ta flamme. Tu te fiches complètement de cette journée, elle est banale à tes yeux.
▹ T'es jeune et tu as tes préoccupations. Quelles sont-elles ? Web, livre, fringue, téléphone, "C'est juste pas possible !" Facebook, grave, soirée, roc, déchiré, "Ah mais ouais carrément !" Dîner, bourse, défilé, BBM, Londres, "Tu devineras jamais ce que j'ai appris !"
▹ Et toi, tu te déplaces comment ? En voiture/scooter/moto En vélo/à pied En métro/bus
▹ Si tu devais partir en vacances ou si on t'offrait un voyage, t'irais où ? Un Club Med au soleil, avec vos potes ou votre chéri(e), ou alors un trip roots et sportif en Amérique du Sud. Un peu à la campagne en famille, puis un peu en amoureux en Corse. St-Tropez l'été, Courchevel l'hiver, ou New York.
▹ Cet après-midi, rendez-vous entre amis. Votre QG : Un bar propre, staïly, à la déco qui se la raconte un peu. Un salon de thé bobo, un café tout en bois, calme et cosy. Un salon de thé à l'ancienne, un café bourgeois, un bar de musée ou d'hôtel.
pseudo/prénom ⊱ Jukie/Sorenza âge ⊱ 15 ans. scénario ⊱ /fréquence de connexion ⊱ 6/7. avatar ⊱ Yuri SOHOT Pleskun. comment vous êtes arrivé là ⊱ Sevastyan m'a conduit. c:
Code:
<pris>⊱</pris> Yuri Pleskun - [i]Natéo K. Gautier[/i]
Dernière édition par Natéo K. Gautier le Mer 31 Juil - 12:09, édité 5 fois
Natéo K. Gautier
▹ A PARIS DEPUIS : 30/07/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 36 ▹ PSEUDO : Jukie/Sorenza. ▹ CREDITS : Avatar : moi / Gifs: tumblr / Musique signa' : x
Sujet: Re: « En vérité on est perdus, désœuvrés, désabusés, seuls comme des animaux blessés. » † Natéo Kurt Gautier. Mar 30 Juil - 12:37
⊱ Iljouait du piano debout.
Lorsque tu regardes la photo de ta mère, tu ne peux pas t'empêcher de pleurer. Tu caresses du pouce son visage, tu esquisses un sourire en espérant qu'elle te le rende, mais elle n'est plus là. Tu le sais, pourtant, tu espères toujours la voir débarquer. Elle et son grand sourire, ses cheveux en désordre, un pinceau entre les lèvres, articulant comme elle le peut qu'il faut aller manger, mais qu'il ne faut pas l'attendre... Mais elle est morte. Ouais, tuée, brisée, morte. Ecrasée. Tu trouves cette mort stupide. Pour toi, ta mère c'était tout, toute ta vie ! Et elle est morte, écrasée. Elle aurait mérité mieux. Une mort plus classe, une mort digne de super héros, mais on n'a pas voulu lui donner; Non, ils n'ont pas voulu faire d'elle ce qu'elle était ; la plus forte. Alors, ils l'ont vulgairement écrasé avant de partir, sans rien laisser de plus qu'un corps inerte. Ca te tue de penser à ça, ta mère tu l'aimais. Peut-être un peu trop, mais tu l'aimais. Il n'y avait que toi qui tenait à elle, et maintenant elle t'a abandonné. Des fois, tu te demandes pourquoi. Pourquoi est-ce qu'elle t'a laissé aux mains de ces personnes que tu n'aimes pas ? Que tu n'arrives pas à aimer ? Il n'y avait qu'elle, et elle n'est plus. Et toi, toi. Tu pleures, seulement ça. Tu pleures.
Lorsque tu avais trois ans, ton père s'est cassé. Il était pas pret à assumer pleinement son gosse. Le problème ? C'est que tes parents n'étaient pas mariés. Ouais, tu t'es bien fait baisé. Maintenant, tu ne te souviens meme plus de cet homme. Ta mère ne t'en parle jamais. Il y a simplement un portrait de lui dans le grenier. Il était assez grand, et fin. Il avait une légère barbe et des yeux bleues. C'est delà que tu les tiens, tes yeux bleus. Tu as toujours trouvé ce portait magnifique, si beau. Il paraissait glorieux là. Mais c'est parce que c'est ta mère qui l'a peint. Elle est une artiste accomplie, tu as toujours vécu avec des pinceaux et des tableaux partout chez toi. Et ta mère, quand elle a peint ce tableau, elle était amoureuse. Et l'amour rend aveugle. « Mais putain ! Tu vas te rendre compte que c'est qu'un con ? Il m'a laissé tomber ! Tu ne peux l'avoir comme excuse pour toujours 'man ! » Tu as quinze ans, c'est l'age con, c'est l'age de la rébellion. C'est celui aussi où ta mère a rencontré plus con que toi, mais aussi, une autre personne qui l'aime. Ouais, t'es jaloux, tu le sais. Tu ne veux pas qu'on te la prenne, qu'on te la pique. Mais elle a l'air heureuse. Pourtant, elle dit encore "et si ton père ? Tu lui rappelles qu'il n'est que ton géniteur, et qu'il n'est pas revenu en presque quinze ans, pourquoi est-ce qu'il le referait maintenant ? Ce n'est pas possible.
Tu aurais mieux fait de te taire, de ne jamais lui dire de voir cet homme. Tu n'aurais jamais du lui dire qu'elle était fait pour lui. Qu'il était fait pour elle. Une peintre, un écrivain. Des artistes ensembles, ça ne fait qu'un bon couple. Mais, non. Oui, tu t'en veux. Putain, qu'est-ce que tu regrettes. Des fois, tu as envie de te suicider, de sauter d'un pont. Comme ça, ton corps, il est emporté, loin, très loin. Personne ne te retrouvera plus. Et puis, tu ne manqueras pas hein. Ta mère, elle s'occupe même plus de toi. Tu as dix-sept ans, c'est vrai, mais tu aimerais tellement qu'elle soit encore à tes cotés. Genre quand t'es malade, tu aimerais bien la voir arriver avec son gros bol de chocolat chaud. Mais non, pas possible. Plus possible. Elle est trop occupée, trop. Et merde, des fois, tu voudrais pouvoir remonter le temps. « Putain ! Ton père, ton putain de père a engrossé ma mère. Putain, putain ! Et après il me dit qu'il lui fera rien hein ? S'il se casse, je te jure que s'il se casse, je le tue ton père. Tu comprends ça ? J'prends sa tete, et je la fais rouler sur le sol. Ou mieux ! D'abord, je le prends, je lui rape la gueule sur le goudron, puis je l'attache par les pieds et je le fais rouler sur trois bornes ! Comme ça, tranquille. Il sera bien mort, puis je l'attache sur une putain d'voie ferrée et là, je laisse le train le déchiqueter. Compris ? Si ma mère pleure une fois, il est mort. » Il te tend ses bras, doucement, lentement. Et toi, tu ne peux que te réfugier dedans. Lui, c'est pas ton frère. Mais c'est tout comme; Tu as l'impression qu'il sera toujours là pour toi, qu'il sera toujours là pour te faire sourire. Tu aimes bien, le sentir contre toi, dormir contre lui. Tu aimes bien pleurer sur son épaule, parce que tu sais qu'il sera toujours là pour te consoler. Il prendra lentement tes mains dans la sienne, et caressera du bout des doigts ta joue qu'il embrassera par la suite. Il est un peu comme toi, lui. Des fois, tu as l'impression de te regarder dans un miroir quand tu le vois. Mais il est aussi plus courageux que toi, tu trouves. Tu ne l'as jamais vu faible, jamais. Tu l'as toujours vu souriant, toujours rassurant, protecteur. Est-ce qu'il a des doutes ? Tu n'en sais rien, parce qu'en fait, tu ne le connais pas réellement. Il est comme un fantôme, il est là mais il ne parle pas. C'est bizarre. Mais tu lui accordes une confiance aveugle.
« Dis... Pourquoi est-ce qu'ils sont morts ? Pourquoi est-ce qu'ils font ça ? C'est moche... De partir sans rien dire. J'veux dire. Il aurait pu au moins ramasser le corps, le mettre sur le trottoir, appeler une ambulance, il aurait pu... Je sais pas moi. Mais non, il l'a laissé là, sur la route... C'est moche. Je déteste les autres, je détestes les hommes. » Il hausse les épaules, il te tient contre lui. Toi tu te blottis doucement. Tu fermes les yeux. Tu as dix-neuf à ce moment-là. Ta mère vient de mourir; Ils l'ont écrasé. Tout simplement, c'est ce qu'on t'a dit. « Ton père n'a même pas pleuré, tu t'en rends compte ? Tu crois qu'il l'aimait vraiment ? » Mais tu n'as toujours pas raison. « On dit que le silence est une forme de consentement... » Il ne te dit encore rien; Tu supposes alors qu'il ne veut pas risquer de dire de bétises, de te faire encore plus de mal. En fond, vous avez mis Roxanne. C'était le prénom de ta mère. Maintenant qu'elle est morte, tu perds du poids. Tu perds trop de poids. Il s'inquiète pour toi, et toi, tu t'en fous. Tu n'arrives plus, tu n'as plus l'appétit. Les kilos défilent, dans le mauvais sens. Mais tu te sens bien, alors tu ne fais pas attention. Lui est là pourtant, et sans cesse, il te dit, qu'il faut que tu fasses attention, qu'il faut que tu manges. Il a peur. Peur que tu te laisses aller. Peur qu'encore une fois, tu songes à te jeter du haut du pont. Il a peur. Peur que tu meurs.
« Ce que tu ne comprendras pas, c'est que je suis déjà mort. Je suis parti en même temps qu'elle, je n'arrive juste pas à me décider. Je disparais, ou doucement, je me répare ? Mais tu sais ce qu'on dit ? Que quelque chose de recoller est encore plus fragile que lorsqu'il est brisé. J'ai peur, de me casser de nouveau, de finir ma vie, détruit. Tu m'aideras un jour, à m'en sortir ? Mais pour l'instant, laisse-moi dériver. Me noyer. Finir comme Robinson Crusoé. »
Dernière édition par Natéo K. Gautier le Mer 31 Juil - 11:58, édité 7 fois
Ronnie P. des Pugets
les meurtrières.
les dieux nous envient parce que nous sommes mortels, parce que chacun de nos instants peut être le dernier, et que tout est beaucoup plus beau car nous sommes condamnés. tu ne seras jamais plus ravissante qu'à cet instant. plus jamais nous ne seront seuls ici tous les deux.
▹ A PARIS DEPUIS : 20/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 811 ▹ PSEUDO : northern lights. (manon) ▹ CREDITS : lollipops.
Sujet: Re: « En vérité on est perdus, désœuvrés, désabusés, seuls comme des animaux blessés. » † Natéo Kurt Gautier. Mar 30 Juil - 12:41
yuri. bienvenue parmi nous, j'aime ton pseudo.
Sevastyan D. Aleïev
▹ A PARIS DEPUIS : 29/07/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 58
Sujet: Re: « En vérité on est perdus, désœuvrés, désabusés, seuls comme des animaux blessés. » † Natéo Kurt Gautier. Mar 30 Juil - 12:46
Ô toi, toi je vais te refaire une demande en mariage ! Mon chouchou, mon Natéouchet ! Je vais pas te lâcher. Tu sais quoi ? Comme prévu, je vais te faire tout pleins de bébés. Et des beaux en plus !
Je te souhaite la bienvenue, sur ce forum qui te plaira, j'en suis sûr *Normal je suis là!* Bon courage pour la suite mon loulou. Mon ami. Mon âme sœur ! Je te laisse sur toutes les belles musiques que nous avons en commun. Mais, non je ne te laisse pas. En fait, je te laisserais jamais. Et oui, tu es tombé sur un gros pot de colle qui n'est pas près de t'oublier.
Spoiler:
Cécile Mercier-Moreau
un fragment de nice à paris
▹ A PARIS DEPUIS : 29/07/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 52 ▹ PSEUDO : cécile / miss.nutella ▹ CREDITS : (c) breaming
Sujet: Re: « En vérité on est perdus, désœuvrés, désabusés, seuls comme des animaux blessés. » † Natéo Kurt Gautier. Mer 31 Juil - 9:12
Gwenael > Je suis d'accord; *o* Il devrait être pris plus souvent. Mordred > Harvey. *w* Merci. ♥ Théotime > Avec plaisir. *_* Carrie > Merciiiiiiiiiiii ! ♥
Sasha David
Personne ne peut pendant très longtemps se montrer un visage à lui même et en présenter un autre au reste du monde sans finir par s’y perdre et se demander lequel des deux est le vrai."Nathaniel Hawthorne"
▹ A PARIS DEPUIS : 30/07/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 39 ▹ PSEUDO : Looney ▹ CREDITS : Lunch Box
Sujet: Re: « En vérité on est perdus, désœuvrés, désabusés, seuls comme des animaux blessés. » † Natéo Kurt Gautier. Mer 31 Juil - 12:36
Wouah ! T'as commencé ta fiche en faisant un roman rien que pour ton prénom ! XD Rien que pour ça ta fiche mérite d'être lu ! :P
Bienvenue en tous cas ! ;)
Natéo K. Gautier
▹ A PARIS DEPUIS : 30/07/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 36 ▹ PSEUDO : Jukie/Sorenza. ▹ CREDITS : Avatar : moi / Gifs: tumblr / Musique signa' : x