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I ♥ RIEN, JE SUIS... manipulatrice, intelligente, râleuse, menteuse, rusée, fière, déterminée, mélancolique, ponctuelle, imprévisible, narcissique, indépendante, sportive, hypocrite, quelques fois vulgaire, vive, impulsive, attentive, irritable, paradoxale, charismatique, réaliste, observatrice, confiante, susceptible, orgueilleuse, séductrice, persévérante, cynique, superficielle, individualiste, blessée, rancunière, exigeante, compliquée, nerveuse, revancharde, mesquine, lunatique, protectrice avec ceux à qui elle tient, ouverte d'esprit, nostalgique. ELLE AIME le luxe, l'été, les glaces ben&jerry, les macarons ladurée, la cigarette, ses cheveux, ses yeux, la haute couture, les personnes riches et facilement manipulables ou influençables, sa langue maternelle, le théâtre, les longs bains, les baisers dans le cou, les soirées mondaines, le café noir du matin, la liberté, les fêtes jusqu'à petit matin, la cuisine japonaise, les bougies parfumées, la musique classique ou entrainante, la haute sphère de paris, paris tout court, les fringues, le shopping, le vin rouge, les fraises, la pluie, les starbucks, les longues promenades la nuit tombée, les escarpins, les coups d'un soir, le sport, l'argent, l'argent et encore l'argent. ELLE N'AIME PAS l'hiver, devoir attendre, son accent presque inexistant, les fouineurs, les chats, les gosses de riche, devoir se répéter, les enfants, qu'on lui parle le matin avant qu'elle n'ait bu son café, les insomnies, les insectes, les gens qui ne savent pas s'imposer des limites par rapport à la consommation d'alcool, les états-unis, le bonheur des autres, la mauvaise circulation, être en retard, les personnes collantes et envahissantes, recevoir des ordres, les transports en commun, les trop bavards, se justifier, les hôpitaux, mentir à sa famille malgré qu'elle n'ait pas le choix, les clowns, le sexisme, l'amour, se montrer faible, pleurer en public, les hommes qui se croient irrésistibles.
Dernière édition par Adelinda Cortesi le Mar 26 Fév - 16:13, édité 24 fois
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Sujet: Re: un égoïste c'est quelqu'un qui ne pense pas à moi. (ADELINDA) Dim 24 Fév - 20:11
L'HISTOIRE « elle n'a plus assez de musique dans son cœur pour faire danser sa vie. ! »
ROME, ITALIE. VINGT-SEPT DÉCEMBRE, DEUX MILLE HUIT. "Adel !" son sourire s'agrandit tandis que la dénommée Adel se retournait vivement vers la voix qui venait de l'appeler. Ses yeux pétillaient de joie tandis que la jeune fille tout juste âgée de dix-sept ans parti se réfugier dans les bras de l'homme qui n'était personne d'autre que son meilleur ami et maintenant son petit-ami. Les deux s'étaient avoués leur amour il y a quelques mois à peine et vivaient un bonheur qui leur semblait sans fin. Posant délicatement ses lèvres sur celles du brun, la demoiselle entoura le cou de ce dernier avec ses bras tandis que son coeur battait à une vitesse folle. Il arrivait à la mettre dans tous ses états rien qu'en étant à ses côtés. Après quelques baisers fougueux échangés, le jeune couple se sépara, mais ils restèrent dans les bras l'un de l'autre. Et ils avaient l'impression que plus rien n'existait autour d'eux, ils n'étaient plus que tous les deux. Seuls. Ensemble. "Adel, tu ne peux pas savoir comment je suis heureux à cet instant !" Sa voix était tellement joyeuse, que ça la fit frissonner et Adelinda releva ses prunelles sur son amant qui avait étonnamment, les yeux pleins d'étoiles et un sourire encore plus grand que d'habitude. Sans aucune malice ou sans ce brin de moquerie qui le caractérisait tant et qui fallait l'avouer, la faisait craquer. Fronçant légèrement ses sourcils en se demandant ce qu'il avait, elle murmura contre ses lèvres tout en le fixant dans les yeux. "Pourquoi ça ?" ; "J'ai été accepté à Yale. À Yale tu te rends compte ? C'est mon rêve depuis tout gamin !" Elle a encore du mal à comprendre, tout lui semble trop flou. Yale ? L'université ? À New Haven dans le Connecticut ? Comment ça ? "Je n'arrive toujours pas à croire ! De plus ils me donnent une bourse, c'est qui est absolument parfait, je pourrais enfin commencer une meilleure vie, quitter ce quartier malfamé et ma famille insupportable." Et elle aussi, pensa simultanément l'italienne, tandis qu'elle se sentait faiblir. Elle dut se mordre la joue jusqu'à sang pour ne pas lâcher de gouttelettes salées rouler sur ses joues laiteuses quand l'information fut enfin comprise totalement. Il allait partir. Son petit-ami par contre, continuait sur sa lancée, ne remarquant en rien le désarroi de la jeune fille qui était au bord de larmes. Elle n'était encore qu'au lycée et ne pourrait pas le suivre, déjà car il ne le lui avait pas proposé du moins pas encore et aussi, malgré l'envie plus que présente, sa famille avait beaucoup trop besoin d'elle. Comment ses frères et ses parents feraient si jamais elle lâchait ses petits boulots, qui aidaient à arrondir leurs fins de mois et les abandonnerait en s'enfuyant aux États-Unis ? Ils seraient contents pour elle, en espérant qu'elle soit heureuse. Mais elle ne pourrait jamais rien que penser à l'idée de les quitter, ils comptaient trop pour elle, SUR elle.. Et comme pour rassurer le jeune homme qui venait de finir son monologue et la fixait, elle lui lançait le sourire le plus sincère possible, comme pour lui dire qu'elle était contente pour lui. Alors que son coeur s'était déchiré à la minute où elle songea à son départ futur. Le moment où elle se retrouverait à nouveau seule, sans aucune épaule sur laquelle s'appuyer pour souffler. Sale égoïste, s'était elle traitée dès que le brun était parti annoncer la nouvelle à ses autres amis, la laissant donc seule avec ses pensées trop envahissantes. Comment pouvait-elle ne penser qu'à elle et ne soucier que de son propre état, alors que son petit ami venait de voir son rêve prendre réalité ? Elle devrait être contente pour lui et non pas triste. Elle ne le méritait pas. Ni lui, ni son amitié, ni même être dans sa vie.
ROME, ITALIE. VINGT-TROIS MARS, DEUX MILLE DIX. Elle se forçait à sourire, comme elle le faisait si bien d'habitude. Adelinda avait enfin une porte de secours devant ses yeux, qu'elle pourrait ouvrir sans s'inquiéter de ce qui se trouvait derrière. Elle était comme un chat, elle retombait sur ses pattes, coûte que coûte. De sa voix sucrée en un français pas vraiment parfait, à cause de son accent italien, la blondinette lança d'une façon joviale "Oui bien-sûr mon chéri, je te suivrais là où tu voudras, il faut que j'aille annoncer nos fiançailles à ma famille. Puis notre départ pour Pariiiis ! Je suis tellement heureuse, tu ne peux pas savoir..". Oui, elle était heureuse. La jeune fille s'était trouvée un pigeon naïf plein aux as, qui venait de lui offrir un avenir loin de sa maison modeste et de sa famille envahissante, mais que pourtant elle aimait. Par ailleurs, elle n'aura plus à éviter certains endroits qu'elle avait visité en compagnie de son ex et qui lui rappelaient tellement de souvenirs qu'elle s'était forcée d'enfouir au fond de sa mémoire. Il s'était envolé comme il était arrivé dans la vie de Adelinda. Sans rien laisser derrière lui à part le coeur brisé d'une pauvre cruche qui n'était plus. En effet, suite au départ désastreux de celui qu'elle aimait, Adelinda était tout d'abord rentrée dans un état de tristesse constante. Rien n'arrivait à la faire sourire, même pas les idioties de ses frères, ceux-là avaient aussi pris l'habitude de lui rappeler qu'ils lui avaient bien dit depuis le debout que le jeune italien allait lui faire du mal. Puis l'éphémère dépression fut balayée par la haine. Une haine pure, une haine destructrice. Contre le monde entier. Lui, son ex, elle-même, surtout elle-même. Elle se détestait, d'être aussi faible, d'avoir cru bêtement être intouchable par le malheur, car elle s'était trouvée un coin de paradis. Elle s'était donc obligée à grandir, à atterrir sur terre et à ouvrir les yeux sur la réalité. Et c'est fut dur. Les couleurs avaient pris une teinte grise, le ciel lui semblait beaucoup moins bleu, l'herbe moins verte et le soleil moins lumineux. Puis elle était tombée sur cet homme de trente-trois ans, riche entrepreneur français qui s'était épris d'elle, la jolie adolescente de dix-huit ans qui avait renversée un verre d'alcool sur son costume. Ils avaient fini la soirée ensemble, dans la boite de nuit puis dans l'hôtel où séjournait l'homme, venu en Italie pour des vacances. Une relation naquit alors. Rien d'amoureux pour la jolie Cortesi. Elle ne voyait en lui que les cadeaux dont il la couvrait et les restaurants et soirées où il l'amenait la plupart du temps. C'est ainsi que devient Adelinda ce qu'elle est aujourd'hui. "D'accord Nina ! Tu veux que je vienne peut-être avec toi ? Pour faire les présentations ?" ; "Ah non, non, surtout pas !" L'homme lui avait alors lancé un regard surpris et avait froncé les sourcils, créant un pli disgracieux sur son front. Se mordant la langue pour avoir parlé trop vite, la demoiselle se rattrapa bien vite. "Enfin, ma famille en serait offusquée et je t'évite un sermon de la part de ma mère, là.. Je n'ai rien dit par rapport notre relation, alors ils vont te blâmer. Je les connais, ils vont croire que tu ne voulais pas que je leur raconte notre histoire. Allez, fais-moi confiance et occupe plutôt t'occuper de nos billets ! J'ai hâte de voir ta ville." Elle le planta ainsi, après l'avoir embrassé brièvement. La jolie blonde n'était pas encore excellente dans le domaine qu'elle allait côtoyer très souvent maintenant. Mais elle s'améliorerait à l'avenir. Pour l'instant, elle réfléchissait au mensonge qu'elle pourrait sortir à sa famille. Car il était hors de questions qu'elle leur annonce ses fiançailles. Ils allaient lui faire passer un vrai interrogatoire et ne comprendront pas quand Adelinda leur annoncerai la rupture, mais pas son retour à Rome. En effet, elle comptait utiliser son prétendant un moment puis le jeter ensuite afin de s'en trouver quelqu'un de mieux, de plus riche.. C'est ainsi que la jeune fille s'était retrouvée devant ses parents et ses trois frères, à leur expliquer qu'elle avait reçu une bourse à la Sorbonne. Et à son plus grand soulagement ils lui crûrent, sans prêter attention à tous les signes que la cadette de la famille Cortesi produisait sans même s'en rendre compte. Ils étaient contents pour elle. Et elle, elle se traitait de terrible personnage, un sourire immense plaqué sur les lèvres. Elle ne les méritait pas. Ni leur confiance, ni leur amour, ni même être une de leurs.
PARIS, FRANCE. DIX FÉVRIER, DEUX MILLE TREIZE. "Beaumont ?.. Oh oui, bien-sûr Mademoiselle Beaumont, vous pouvez rentrer ! Bonne soirée à vous." Lançant un sourire charmeur au vigile qui tenait dans ses mains la liste des personnes invitées à la soirée qui se déroulait en ce moment même juste à côtés, la jeune femme pénétra dans la pièce sans s'ôter de son sourire. C'était tellement facile maintenant, de mentir, se faire passer pour quelqu'un qu'elle n'était pas. Son charisme, sa grâce, son aisance, tout faisait croire qu'elle était une de ses riches héritières, qui jetaient l'argent par les fenêtres. Mais personne n'a jamais pu découvrir la vérité sur cette mystérieuse blondinette aux yeux d'un bleu, faïence. Personne n'a jamais mis le doigt sur ses plus gros secrets. Sa pauvreté, son nom et son esprit calculateur. On la croyait être une énième demoiselle insouciante qui se faisait manipuler par le monde, alors que c'est elle qui menait la danse. Ce soir, elle était magnifique dans sa nouvelle robe, signée Dior, qui était accompagnée des charmants escarpins Jimmy Choo de dix bons centimètres. D'ailleurs, elle sut qu'elle avait fait le bon choix en voyant quelques regards appréciateurs se poser sur elle. Glissant une mèche folle derrière son oreille, elle remarqua tout de suite deux filles venir dans sa direction, Rosae et Lily-Rose, brèves connaissances de Adelinda qui se forçait à être agréable avec elles et ne pas tout simplement les envoyer se promener. Elles venaient toutes les deux de la haute sphère parisienne et croyaient que la jeune Mademoiselle Beaumont (Beaumont étant son faux-nom), était également une personne de leur lumineux monde. Quand elles furent aux côtés de la blondie, celle-ci leur fit la bise en vitesse avant d'attraper une coupe de champagne qui se présentait devant elle, sur un plateau qu'un serveur portait. "Adelinda, tu as l'air superbe dans cette tenue !" ; "La couleur de ta robe fait ressortir tes yeux, c'est vrai !" Après avoir porté le verre à ses lèvres et avoir bu une gorgée de sa boisson, elle leur sourit minutieusement. "Merci beaucoup ! Vous aussi, vous êtes charmantes dans vos robes. Gucci et Marchesa, si je ne me trompe pas ?" Son regard fut attiré par quelqu'un qu'elle avait croisé une fois dans le passé, un jeune homme qui lui avait permis de pouvoir rentrer dans une soirée alors que son petit-ami du moment lui avait posé un beau lapin. Elle s'était d'ailleurs renseignée à son sujet dès qu'elle fut rentrée dans son appartement luxieux, cadeau de son ancien fiancé, où elle séjournait depuis plusieurs années déjà. Il s'appelait Alban Maddox Delmont, il était beau et il était riche, très riche. De plus il semblait être intéressé par la jeune Cortesi. Ce qui était en somme, parfait pour en faire son quatre heures, l'argent commençait à lui manquer et elle devait bientôt envoyer une petite somme à ses parents, comme chaque mois. "Excusez-moi les filles, mais je vais saluer quelques-unes de mes connaissances. On se voit sûrement plus tard !" Et sans ajouter autre chose, elle se précipita presque aux côtés de l'homme qui avait capté son attention un peu plus tôt. Quand elle fut à ses côtés, elle ne put pas s'empêcher de sourire d'une façon espiègle. Aucun regret ne venait prendre une quelconque place dans son être. Elle était bien loin de l'époque de la gentille fille naïve d'antan. Très loin. Et elle ne méritait en rien d'être de la partie dans ce beau monde, elle n'était qu'une usurpatrice qui se faisait passer pour quelqu'un de bien plus bon, alors qu'elle ne l'était vraiment pas.
HORS JEU ▹ GROUPE : yves saint laurent. ▹ AVATAR : marloes horst. ▹ SCENARIO ou PERSONNAGE INVENTE : scénario de maddox. ▹ PSEUDO/PRENOM : ashley, cursedutopia. ▹ ÂGE : c'est malpoli de demander son âge à une femme. ▹ OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : un root top il me semble. ▹ PRESENCE : je passe tous les jours sauf exceptions, je réponds aux rps une à deux fois par semaine.
Dernière édition par Adelinda Cortesi le Mar 26 Fév - 6:42, édité 14 fois
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Sujet: Re: un égoïste c'est quelqu'un qui ne pense pas à moi. (ADELINDA) Dim 24 Fév - 20:13
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: un égoïste c'est quelqu'un qui ne pense pas à moi. (ADELINDA) Dim 24 Fév - 20:14
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche.
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Sujet: Re: un égoïste c'est quelqu'un qui ne pense pas à moi. (ADELINDA) Dim 24 Fév - 20:16
merci toutes les deux. peut-on me réserver marloes, s'il vous plaît ?
Ronnie P. des Pugets
les meurtrières.
les dieux nous envient parce que nous sommes mortels, parce que chacun de nos instants peut être le dernier, et que tout est beaucoup plus beau car nous sommes condamnés. tu ne seras jamais plus ravissante qu'à cet instant. plus jamais nous ne seront seuls ici tous les deux.
▹ A PARIS DEPUIS : 20/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 811 ▹ PSEUDO : northern lights. (manon) ▹ CREDITS : lollipops.