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nous sommes fières de t'accueillir sur la version 2.0 de FOQUE YOU, I'M PARISIEN nous te souhaitons la bienvenue parmi nous et nous espérons que tu t'y sentiras comme chez toi !
si tu es nouveau, nous t'invitons à aller lire le règlement et le contexte. des scénarios sont également à ta disposition, n'hésites pas à y faire un tour et peut-être faire le bonheur de l'un de nos membres ! puis direction la fiche de présentation, tu as cinq jours pour la terminer.
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I RIEN, JE SUIS pétillante, sûre de moi, aguicheuse, joueuse, maligne, franche, sans limite. MAIS AUSSI égocentrique, manipulatrice, prête à tout, garce, superficielle, irresponsable, direct (je ne sais pas tourner autour du pot). PETIT DÉTAIL : je suis un véritable aimant à problèmes. J'AIME ma vie, plus que tout. J'aime vivre dans le luxe, j'aime avoir ce que je veux, quand je veux. J'aime la compétition, être la plus belle, la plus désirée, la plus jalousée. J'aime attirer l'attention, d'où mon métier de mannequin qui était fait pour moi. Je profite de la moindre seconde que la vie m'offre : pas de remords, pas de regrets. Un seul mot : profiter. Car ce ne sera pas quand je serai vieille et moche que je pourrai changer le cours des choses. C'est dans cette tranche d'âge que tout se joue. Après il sera trop tard. JE N'AIME PAS m'imaginer vieille. Je n'aime pas m'imaginer en bas de l'échelle social, avec un mari et six gosses à vivre dans les HLM du périphérique de Paris. Je hais l'échec, plus que tout. Ma vie se planifie au grès de mes envies, et je ne supporte pas les surprises et les imprévus. Je n'aime pas avoir l'impression de perdre le contrôle, vous voyez ? Je suis actrice de ma vie, surtout pas spectatrice. J'aime le contrôle, mais je n'aime pas qu'on me contrôle. J'ai toujours eu un véritable problème avec l'autorité. Et je ne m'imagine pas sans LUI. Bon eh puis un détail qui peut être plus tard fera son importance : je hais le chocolat. Oui oui, c'est possible.
L'HISTOIRE « La vie n'est qu'un brouillon... Un brouillon bourré d'erreurs. On voudrait arracher certaines pages et tout recommencer à zéro. Écrire sa vie chaque jour, comme un merveilleux conte de fée. »
« Alix, tu sais que les talons rayent le parquet, alors fais attention... Et puis tu vas où comment ça ? » Les talons crissent sur le parquet, arrêt brutal. Je retourne sur mes pas, me penchant pour ne laisser dépasser que la tête de l'embrasure de la porte. « Désolée M'man, j'suis pressée ! Julia a des cartons VIP pour une vente Louis Vitton. Je sais pas à quelle heure je vais rentrer, bye ! » Eh hop, je disparais dans les grands escaliers de notre hôtel particulier. Parce oui, mes parents, enfin mon père surtout, possède un hôtel qui lui vient de sa famille. Situé dans le quartier d'Auteuil, il offre une vue imprenable, et un petit havre de paix en plein cœur de Paris. Mon père est banquier, il travaille dans une des plus prestigieuse et des plus privée banque de France. Ma mère, ancienne mannequin, est la co-fondatrice d'une agence de stylisme de luxe internationale, jouant principalement à Paris et à New York. Vous comprenez donc que l'argent ne manque pas, au contraire, que mes parents sont souvent au boulot. Cependant cela ne m'a pas vraiment manqué pendant mon enfance. Populaire, toujours entourée, j'avais toujours quelque chose de prévu, pas le temps de m'ennuyer et de ressentir ces absences répétitives. Je suis fille unique, donc autant dire que j'ai la vie d'une véritable petite princesse. Je n'ai jamais manqué de rien, non. Que dire de plus, si ce n'est que mon enfant -voir même ma vie entière- est un véritable comte de fée ?
« Je t'aime. » Un sourire s'installa à la commissures de mes lèvres. Mes bras vinrent s'enrouler autour de la nuque d'Adam, joignant mes lèvres aux siennes. Cela faisait six mois que nous étions ensembles, et c'était la première qu'il me disait qu'il m'aimait. Cela avait pris du temps, et c'était justement cela qui rendait ces trois mots aussi magiques et plein de sens. J'étais heureuse. Heureuse et amoureuse. Surtout amoureuse. Je ne m'étais jamais investie dans mes anciennes relations, ayant beaucoup de mal à me stabiliser. J'ai du mal avec la routine, je préfère de loin le piment qu'apportent les nouveautés. Et puis il y avait eu Adam. Il était tellement différent des autres, de mes amis. Il n'était pas du même monde. Malgré ça, ça avait été comme un coup de foudre, une évidence que nous étions faits l'un pour l'autre. À croire que les opposés s'attirent. Au début j'avais pris ça pour un jeu, ne pensant pas réussir à m'attacher. Mais il m'avait fait changer, petit à petit. Les trois mots qu'il venait de m'avouer au creux de l'oreille étaient la preuve que ce qu'on vivait était fort, et éternel. Du moins c'était ce que je pensais à l'époque. Quoi que, c'est aussi ce que je pense maintenant. « Je t'aime. »
« Bordel Alix, qu'est-ce que t'as foutu ? » La soirée tournait mal. Adam et moi étions parti dans l'agence de ma mère. Je pensais lui changer les idées en enfilant quelques tenus sexy de grande couture. Le problème, c'est que le cocktail drogue et alcool nous avait complètement retourné. En voulant allumer une énième cigarette, j'avais fait tomber le briquet qui avait incendié la moquette. Adam et moi avions échappé belle à l'incendie, nous jetant par la fenêtre du rez-de-chaussée. Il était sous le choc. Il venait à peine de perdre ses parents, et il venait de frôler la mort. Je l'attrapai par les épaules, le secouant comme un prunier. « Reprends-toi, ça va aller. Il n'y avait personne, ma mère est bourrée de frique et son assurance remboursera les dégâts. Tout va bien se passer. » Sauf qu'il y avait une employée, et qu'elle n'avait pas survécu. Nous avions tué quelqu'un, une innocente qui n'avait rien demandé à personne. Tout de suite cet évènement fut tabou entre nous. Nous jouâmes à ceux qui ne se souvenaient plus, même si cela restait cuisant dans notre mémoire. Tellement qu'après ça je fis une série de cauchemars associé aux flammes. La culpabilité me rongeait de plus en plus. Je ne pouvais plus regarder Adam, ni ma mère, sans repenser à ce qu'il s'était passé. Alors lorsque ma mère m'a proposé de jouer les mannequins à New York car mon père avait eu une promotion là-bas, je sautai sur l'occasion. Quoi que "sauter" n'était pas le bon terme. Disons que c'était une bonne chose pour moi. Sauf qu'il fallait que je laisse Adam derrière moi. Mon premier réflexe avait été de dire « Hors de question. » Mais lorsque ma mère sortit d'un tiroir des photos d'Adam et moi entrant dans la boîte de stylisme juste avant qu'elle ne prenne feu, je fus bien forcée de suivre son conseil. Ma mère connaissait la vérité, et si je ne "sautais" pas sur cette occasion, elle nous ferait plonger Adam et moi. Et ça, c'était impossible que cela se produise.
Alors oui, j'ai fui. C'est l'impression que j'ai donné. Pour Adam, j'ai fait passé mon avenir avant lui. Je l'ai planté alors qu'il était au plus mal. Mais avais-je le choix ? Ce fut aussi dur pour lui que pour moi, au final. Alors oui, appelez ça fuite, traitez moi de salope sans cœur. Mais moi je sais que j'ai agit pour notre intérêt à tous les deux. Moi, j'appelle ça sacrifice. J'ai préféré mettre mon cœur en bouteille, et surement briser le sien. Mais ça, Adam ne devait pas le savoir. Il ne devait pas continuer à être attaché, il devait me haïr, souffrir pour mieux guérir. Nous étions sur une pente glissante, nous nous entrainions l'un l'autre. Nous séparer rétablirait l'équilibre. J'étais allée sonner chez lui, tomber sur son idiote de sœur qui pensait tout savoir sur tout le monde, et je lui avais annoncé. Résultat il n'avait rien dit, à part un "Pars". Je ne m'attendais pas à plus. Mine de rien ça avait été un déchirement. Ma fierté m'avait cependant obligé à ne rien laissé paraitre. J'avais joué la fille naïve, complètement aveuglée par son avenir prometteur car elle allait être à NY et débuter une carrière de mannequin, chose qu'elle avait toujours voulu faire. Mais ce n'était qu'une apparence, qu'une simple carapace. Quoi que j'étais douée pour jouer le jeu, pour faire l'actrice. Mine de rien ma "simple" carapace était peut-être plus solide que je ne semblait le croire. Ne jamais se laisser atteindre. Toujours être celle qui touche, qui obtient ce qu'elle veut. Pour être cette personne là, j'avais du laisser Adam derrière moi.
Pendant trois ans j'ai parcouru NY et d'autres grandes villes des États-Unis. Trois de soirées, d'alcool, de drogue. Trois années de débauche à profiter de la vie, tout simplement. L'incendie, Adam, tout ça était loin derrière moi. J'étais qui j'avais toujours voulu être. Quelqu'un. Je m'étais faite une place dans la mode, apparaissant quelque fois dans des magazines de mode. J'étais heureuse. Mais plus amoureuse. Je n'avais jamais réussi à aimer de nouveau. Et c'était à présent la seule chose qui me manquait. Alors après trois ans d'absence, je revins à Paris. Le prétexte était que plusieurs défilés où j'allais participer allaient avoir lieu. Mais le but principal était surtout de retrouver Adam. Il n'avait pas été très dur à trouver. Le destin avait fait que ma charmante cousine, que je n'avais pas vu depuis plusieurs années mais avec qui je discutais souvent et avec qui j'étais très complice, soit en couple. Cela faisait un an qu'elle me tannait sur son "chéri". « Alix, je te présente Adam, c'est lui dont je t'ai souvent parlé. » Son Adam n'était autre que MON Adam. Douche glacée. Ce dernier semblait tout aussi surpris que moi, et avait eu comme un bug. Je m'approchai de lui, collant mes lèvres contre sa joue. « Ravie de constater que ma cousine a bons goûts. » Phrase ironique, que seul Adam comprit. Rire forcé dans l'assistance. Eh bien soite, c'était pas plus mal, j'adorais les défis. Et l'avantage, c'est qu'à un moment ou un autre, j'arrivais toujours à mes fins. Tout était question de volonté -entre autre-. HORS JEU ▹ GROUPE : yves saint laurent ▹ AVATAR : brittany robertson ▹ SCENARIO ou PERSONNAGE INVENTE : scénario ▹ PSEUDO/PRENOM : ayenaë ▹ ÂGE : dix-neuf ans ▹ OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : PUB ▹ PRESENCE : 5/7.
Dernière édition par Alix Desveaux le Sam 2 Mar - 13:03, édité 14 fois
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Sujet: Re: ALIX ❝ J'ai lu beaucoup de choses sur moi et je me dis «Wouah, cette fille-là a l'air vraiment délurée». ❞ Lun 25 Fév - 18:42
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Sujet: Re: ALIX ❝ J'ai lu beaucoup de choses sur moi et je me dis «Wouah, cette fille-là a l'air vraiment délurée». ❞ Lun 25 Fév - 18:43
Merci ! Ton GIF est genre juste trop mignon.
Ronnie P. des Pugets
les meurtrières.
les dieux nous envient parce que nous sommes mortels, parce que chacun de nos instants peut être le dernier, et que tout est beaucoup plus beau car nous sommes condamnés. tu ne seras jamais plus ravissante qu'à cet instant. plus jamais nous ne seront seuls ici tous les deux.
▹ A PARIS DEPUIS : 20/02/2013 ▹ BAGUETTES ACHETEES : 811 ▹ PSEUDO : northern lights. (manon) ▹ CREDITS : lollipops.