C'est lors du solstice d'été que fut né Illan Erwan Delbecque. Vous allez peut être le remarquer, mais Illan et Erwan sont des prénoms tout, sauf français. Oui, car en faite, la mère au jeune homme est espagnole, côté Basque, d'où Illan. Son père lui, viens du Nord. De Haversquerke. Un petit village au nom imprononçable. Il récupère le nom de famille de son père, et les prénoms furent Basque/espagnol. L'enfance du jeune homme était bercé de bonnes musiques, comme celles qu'écoutaient ses parents. Surement de là que lui vint le goût de la musique. Il nageait dans du Elvis Presley, Nirvana, The Clash, Oasis, The Beatles et d'autres groupes bien connu que maintenant, Bonbecque écoutait en boucle. Petit problème qui survint vers ses 12 ans. Il comprit. Il comprit que son père, était un salaud. Jusque là trop jeune pour comprendre, il se rendit compte que son père battait sa mère, la méprisait. Et bien sur, dans un élan d'amour, il défendait sa mère, et tout deux se retrouvèrent battus. Ils habitaient Paris. Dans une grande et jolie maison. Mais en grandissant, le jeune homme arrêta ses études, le plus tôt possible, puis, à 16 ans, il commença à travailler à droite à gauche, alors que sa mère travaillait aussi. Ses parents pas mariés, oui Illan est ce q'on appelle vulgairement un bâtard, elle pu partir assez vite. Avec son fils. Le père les laissa partir sans problèmes et avec les sous qu'ils avaient mit de côtés, ils purent ce payer un appartement de luxe. Illan était heureux avec sa mère et se trouva même un travail régulier chez un petit disquaire en ville. Ainsi, il pouvait travailler dans la musique, son premier amour. Mais, il eu un petit problème. Sa mère mourut. D'un accident, une voiture lui était rentrée dedans. Illan fut complètement anéanti. A 20 ans, le jeune homme, fils unique, se retrouva orphelin. Orphelin car il avait perdu sa mère, et a ses yeux, son père existait plus. Il quitta alors le grand appartement et s'en trouva un plus petit, plus abordable. Il abandonna pas son métier, ni ses amis, il resta lui même, toujours souriant, mais tomba dans la drogue, enfin, il se contentait de tout ce qui ce fumait. Il faisait soirée sur soirée, baisait avec les premiers venus. Il sombrait oui, mais doucement.