CHAP 1 ◮ i'm beautiful in my way 'cause god makes no mistakes. i'm on the right track, baby, i was born this way.Ma vie avait commencé comme tellement d'autres personnes au monde. J'avais vu le jour en plein mois de février, dans la belle capitale anglaise qu'est Londres. Toutefois, moi, je suis née sous x. En effet, mes parents, bien trop jeune pour pouvoir m'élever convenablement, avait préféré renoncer à leur droit parentaux en me faisant adopter. C'est ainsi que je me retrouvais dans les bras du couple Moore, dont j'allais porter le nom par la suite. J'étais un bébé relativement calme, ne pleurant pas pour rien et apportant, sans aucun doute possible, le bonheur total à mes nouveaux parents. Ils avaient obtenu le gros lot avec moi en nourrisson.
En grandissant, cela ne changea pas. D'un mignon petit bébé, je devenais une adorable petite fille. Espiègle, mais tellement attachante ..
« Papa, papa ! Je veux un poney ! » .. et un peu casse-couille aussi à demander l'impossible à mes parents. Du haut de mes huit ans, j'avais le monde à ses pieds. Ou presque. Disons que je n'avais que mes parents mais, c'était le monde à mes yeux de petite fille. Enfin, ils ne me cédaient pas tout non plus, il ne fallait pas croire que j'étais une enfant pourrie gâtée.
« Pardon ? Je n'ai pas bien compris Sélénia. » Je regardais mon père, tout en faisant une petite moue.
« Je veux un poney ? » La malice avait pris place à présent dans mon regard rieur. Après tout, il voulait entendre une question de ma part non ? C'était ce que j'avais fait, j'avais reformulé ma demande. Certes, ça ne ressemblait pas du tout à une question, mais j'essayais quand même. On ne sait jamais.
« Et à quoi te servirait un poney mon coeur ? » En entendant cette voix que je ne connaissais que bien, je tournais ma tête vers l'entrée du salon. Ma mère, accompagnée d'un plateau de gâteau. Un sourire prenait place sur mes lèvres en voyant ce que ma mère avait rapportée de la cuisine.
« Si j'ai pas de poney, comment je vais suivre le prince quand il viendra m'épouser maman ? » Et une nouvelle moue se fixait sur mon visage enfantin. Le prince, j'y croyais dur comme fer. J'étais persuadé qu'un jour, il débarquerait sur son cheval blanc, qu'il m'emmènerait dans son château et qu'il m'aimerait jusqu'à la fin des temps .. J'étais une petite fille quoi, un petit être naïf et qui n'avait pas encore conscience que le monde n'était pas aussi bon.
« Tu as l'intention de nous quitter, ton père et moi ? » La question de ma mère à mon attention me laisser sans voix dans un premier temps. Il faut dire que je n'avais pas pensé à ça. Tapotant du doigt sur mon menton, je levais les yeux vers le plafond, faisant mine de réfléchir. Oui, ça m'arrivait de réfléchir par moment.
« BAH JE VOUS EMMÈNE AVEC MOI ! » Je lâchais ça dans un petit cri qui faisait sursauter mon père. Son regard noir voulait tout dire et je posais bien vite une main sur ma bouche en laissant sortir un petit "
oups !". Ma mère ayant déposée le plateau de gâteau sur la table, je m'asseyais rapidement afin d'être la première servie. J'étais une petite goinfre, je ne le cachais pas.
« Voilà, plein de gâteau pour la plus adorable des petites filles ! » Je souriais à pleine dents en entendant ce que disait ma mère à mon propos. Sans me faire désirer, je prenais une grosse bouchée d'un des gâteaux dans mon assiette. Qu'est-ce que c'était bon !
« CH'EST TOI QUI FEUT LES MEULLEURS GÂTEAUX AU MONDE MÔMAN ! » Gueulais-je la bouche pleine, d'un air le plus naturel. Ce qui me valut un éclat de rire de mes parents. D'accord .. Bah au moins, j'étais drôle !
CHAP 2 ◮ in our family portrait we look pretty happy, we look pretty normal, let's go back to that.« Sélénia, descends s'il te plaît. » De ma chambre, j'entendais mon père me réclamait dans le salon. Ça ne sentait pas bon cette histoire. Soufflant un bon coup, je quittais ma chambre pour rejoindre mon père, ainsi que sa mère comme je pu le constater une fois dans la pièce. Les deux étaient debout, me regardant avec un air déboussolé, un air qu'ils n'avaient pas l'habitude de prendre.
« J'vous jure que j'ai rien fait ! » Je lâchais cela automatiquement, pas parce que d'habitude je faisais les choses mal, mais par rapport à leur air inquiétant.
« On sait ma puce .. On veut te parler de quelque chose d'important, assis toi. » Je regardais ma mère, sans trop comprendre. Pourquoi partait-elle avec difficulté ? Pourquoi n'arrivait-elle pas à me regarder dans les yeux ? Je ne comprenais rien, mais je faisais ce qu'elle m'avait ordonné. Je m'asseyais dans le fauteuil, levant le regard vers ma mère, puis vers mon père. Ce dernier était parti devant la fenêtre, se passant une main sur son visage. Cet acte me faisait froncer les sourcils.
« Papa, maman .. qu'est-ce qu'il y a ? » Un air inquiet s'était vite logé sur mon visage encore enfantin malgré mes treize ans. Ma mère posait, pendant l'espace de quelques secondes, ses yeux sur moi, avant de tourner la tête vers mon père. Ce dernier la regardait, avant de me fixer moi. Ça me faisait peur maintenant.
« Tu sais trésor, on t'as dit une fois que t'avais été notre miracle. Tu t'en souviens ? » Sa question me laissait perplexe.
« Parce que maman peut plus avoir d'enfant, j'sais ! » Le soulagement avait pris place dans cette dernière exclamation de ma part. S'ils voulaient me parler à nouveau de ce sujet, je n'avais aucune raison d'être mal et stresser. Pourtant, en voyant le visage de ma mère, j'aurai dû comprendre que quelque chose clochait.
« Je n'ai jamais pu avoir d'enfant mon coeur .. » En entendant cela, je tournais la tête vers ma mère, l'air perdu. Je ne comprenais pas cette phrase qui, pourtant, était plus que simple.
« Ce que ta mère veut te dire, c'est qu'à l'époque, les médecins avaient découvert que ta mère était stérile. On était détruit, on voulait tellement un enfant .. » J'écoutais mon père, sans réagir. J'étais bien trop occupé à comprendre ce qu'il cherchait à me dire à l'instant même.
« A cette période, on ne vivait pas encore ici et nous avions appris que la fille de notre voisine attendait un bébé et qu'elle voulait le faire adopter. On s'est proposé pour être la famille d'adoption de son bébé .. » Je buvais ses paroles, le regard fixé sur la table basse devant le fauteuil.
« Ce bébé c'était toi Sélénia .. » Sa conclusion n'aurait pas pu être plus clair : j'avais été adoptée. J'ouvrai la bouche, mais rien ne sortait à cause du choc.
« Dit quelque chose mon coeur, parle nous .. » Ma mère posait une main sur ma joue, mais je la repoussais bien vite. Les larmes me montaient aux yeux, j'y croyais pas, je rêvais sûrement .. Cependant, la douleur qui compressait mon coeur à cette nouvelle me faisait réaliser que c'était vrai.
« Je .. Je vous déteste ! » Ce fut les premiers mots qui sortaient de ma bouche à leur encontre, puis je fonçais dans ma chambre, le visage inondé par mes larmes. Sur le coup, je n'avais pas vu à quel point mes mots avaient pu heurter mes parents, je n'avais pas vu que je venais de faire pleurer ma mère.
CHAP 3 ◮ i loved you so much but you never gave a fuck, so screw you. after all the love that i gave to you, boy screw you.Je me trouvais dans ma chambre, à écouter un cd où Parker avait gravé des chansons pour moi. J'avais quatorze ans, il en avait seize et il était mon premier petit-ami. Le mec que je trouvais bien sous tout rapport et dont j'étais raide dingue. Et je trouvais tellement mignon le fait qu'il me grave un cd ou encore, qu'il me dise qu'il m'aime. Qu'est-ce que je pouvais être idiote à cette époque. Pourtant, on m'avait prévenue. Paker était un mec infidèle, violent. Mais moi, j'en étais amoureuse, je ne voyais rien de tout ça. Puis, il avait toujours été tendre avec moi. Certes, ça ne faisait que quelques mois qu'on était ensemble, mais tout fonctionner à merveille. Mes parents avaient finalement approuvés cette relation et ça ne faisait qu'augmenter mon bonheur. D'ailleurs, la relation que j'entretenais avec mes parents était redevenu normal. J'avais finalement accepté le fait d'avoir été adopté. De toute façon, je ne pouvais pas les en vouloir pour ça, ils me rendaient heureuse depuis le début. Enfin .. ils avaient confiance en Parker à présent, mais je ne me doutais pas qu'en un seul soir tout pourrait basculer aussi négativement. Ce soir-là, Parker était venu me rendre visite. C'est pendant cette soirée qu'il m'avait donné le cd et que je l'avais écouté blottie contre lui. Mes parents, confiants, étaient allés manger chez les voisins. Après tout, ils n'avaient pas à craindre de ce qu'il se passerait à la maison. J'étais plus que sage, tout comme mon petit-ami. En apparence. Très vite après leur départ, on s'était mis à s'embrasser. Pour ma part, je me serais bien contenté des baisers, mais mon petit-ami, il voulait aller plus loin.
« Arrête Parker. » Il en était venu à passer ses mains sous mon haut, chose que je ne voulais pas et je lui faisais bien comprendre.
« Laisse toi faire bébé. » Tout en parlant, il se montrait beaucoup plus insistant dans ses gestes. Je tentais encore de le repousser, malgré ma force de mouche.
« J'veux pas Parker, arrête ! » Et sur le coup, je ressentis une vive douleur au niveau de la joue .. Il venait de lever la main sur moi, pour la première fois .. La main posée sur ma joue, je le regardais avec de grand yeux.
« Regarde ce que tu m'pousses à faire Sélénia. » Plus il parlait, plus il se rapprochait de moi. Dans un acte désespéré, je tentais d'atteindre la porte de ma chambre, mais il fut bien plus rapide que moi, m'attrapant par les cheveux et me jetant ensuite sur mon lit.
« Parker je .. » Je n'eus le temps de finir que sa main se plaquait sur ma bouche.
« Chut ma belle ! » Je le regardais avec un air affolé, un air qui s'accentuait lorsque je le vis défaire son jean. Voulant échapper à ce qui se préparer, je me mettais à me débattre, me prenant des coups de poing sur le corps en guise de réponse. Et lorsqu'il s'arrêtait de me rouer de coup, je n'étais même plus en état de me débattre. J'étais dans un état second, je ne ressentais plus la douleur et c'était peut-être mieux ainsi. Ce soir-là, mon petit-ami m'a pris ma virginité. J'ai été violée par le garçon que j'aimais et j'ai dû apprendre de force que l'amour, que la vie dans son ensemble, pouvait faire très mal.
CHAP 4 ◮ we'll always be together, don't you worry. i'll always be by your side, don't you worry.Un an était passé depuis ce soir terrible où j'avais perdu une part de moi-même. Au début, je n'avais rien dit à mes parents, bien trop terrorisé par ce que pouvait faire Parker si je lâchais le morceau sur ce qu'il m'avait fait. Pendant les premiers mois qui ont suivi cette soirée, j'avais fait tout mon possible pour cacher mes bleus à mes parents. Des bleus qui se renouvelaient à chaque fois que Parker venait me voir, parce que oui, il venait me rendre visite chez moi. Jouant le petit-ami parfait aux yeux de mes parents. Cependant, mon comportement ne passait pas inaperçu aux yeux de ma mère. Et à force de me demander ce qu'il y avait, j'avais fondu en larmes et je lui avais tout raconté. J'avais passé la soirée à me faire cajoler par mes parents, pleurant dans leur bras, tout en me sentant à la fois libérée d'un fardeau. Les choses s'étaient très vite par la suite. Mes parents m'ont forcé à porter plainte contre Parker pour viol et violence physique. Le jeune homme étant mineur -tout comme moi-, l'audience s'était déroulée à huis clos et bien que cette histoire était parue dans les journaux, mon nom n'avait pas été cité. Et c'était tant mieux. Je ne me voyais pas trimbalé cette image de victime à vie, je n'aimais pas qu'on s'apitoie sur mon sort. Suite à cette audience, être dans ma chambre était devenue un supplice. Rare était les soirs où je passais une nuit entière à dormir. Et mes parents avaient alors décidé de déménager pour m'éviter de repenser à chaque fois à Parker. Ils avaient choisi Paris, où mon père avait réussi à se faire muter sans trop de mal. On avait ainsi quitté Londres pour Paris quelques jours après mon quinzième anniversaire. Mon dossier scolaire fut lui aussi transférer là-bas, me permettant de continuer ma scolarité normalement où je m'étais arrêté à Londres. Arrivée à Paris, je n'aurais pas pensé aimer autant ma vie ici. J'avais été craintive au début, prendre un nouveau départ dans une nouvelle ville n'était jamais simple. A mon arrivée, ça n'avait pas été simple. Je me méfiais de tout le monde, me tenant plus que renfermée. Pourtant, elles avaient réussi à voir au travers de ma carapace, elles avaient réussi l'exploit en gros. Elles ? Penny, Eileen, Elisha et Alisha. Quatre filles complètement différentes, mais tellement semblables à la fois. Elles avaient réussi à intégrer ma vie et à présent, je ne me voyais plus sans elle. Elles étaient devenues mes meilleures amies et je les aimais toutes pareillement.
« LES MEUFS ! J'AI LE POP CORN ! FAITES PAS LES CONNES ! » On était toutes dans l'appartement de Elisha -et de son colocataire Rafael, qui n'était pas là- à encercler Penny qui tenait le bol de pop corn dans ses mains. Elle avait passé la journée à nous faire chier la brunette et on avait pour but de le faire en retour. Sauf que la demoiselle ne se laissait pas faire et qu'elle avait été jusqu'à prendre le pop corn en otage pour nous repousser.
« Et tu comptes faire quoi avec le pop corn, hein ? » La question de Alisha n'était pas bête, en effet. Et c'est là qu'on voyait une chose totalement conne : Penny prenait un pop corn en main et nous le montrait.
« UN PAS DE PLUS ET J'BUTTE CE POP CORN ! » De son autre main, elle tentait de faire un flingue avec ses doigts, tout en tenant le bol bien serrer contre sa poitrine pour qu'il ne tombe pas.
« T'as trop l'air d'une conne comme ça n'empêche ! » « Ah non, elle a toujours cet air. » Eileen ou ses déclarations d'amour envers Penny. Quoi que, elle était comme ça avec nous quatre, donc bon.
« Mais jt'emmerde toi ! » Et un pop corn volant, et un ! Même qu'il atterrissait en plein dans la face de Eileen. Cela suffisait pour provoquer une bagarre générale de pop corn.
« PUTAIN, LES FILLES ! » On se tournait toutes les trois vers Alisha, remarquant par la même occasion à quel point on avait foutu le bazar dans son appartement. Ouuuups !
« Boooon, c'pas que j'vous aime pas mais .. j'ai des trucs à faire ! » Lançait Alisha, avant de foncer vers la porte et de disparaître.
« Moi, j'ai mon service à prendre ! A plouuush ! » Et je suivais Alisha, faisant celle qui n'entendait pas les jurons de Elisha.
« Moooooi .. J'ai des devoirs ! » Ce fut au tour de Penny de nous suivre Alisha et moi en prenant la direction de la porte.
« Et moi, je .. » « Y a Rafael qui doit pas tarder. » « .. Reste t'aider parce que j'suis trop cool comme meuf ! »CHAP 5 ◮ 'cause normally i’d probably just get up and run, but you’re looking so damn good to me under the sun.« Qui vient en premier ? L'oeuf ou la poule ? » Je tournais la tête vers mon interlocuteur, m'arrêtant de marcher.
« T'es sérieux là ? » Je regardais Damian avec un air amusé. En arrivant à Paris, je n'ai pas fait que rencontrer quatre merveilleuses filles, j'ai aussi rencontré ce garçon. Au départ, notre rencontre avait plutôt mal commencé. Croyant à une tactique de drague à deux balles, je l'avais envoyé sur les roses avant de réaliser qu'il était sympathique comme mec. Il était attachant et marrant. Mignon aussi, je ne pouvais le nier.
« Tu voulais une conversation sérieuse et c'est une question sérieuse. C'est pareil, non ? » Son sourire au coin me faisait comprendre qu'il plaisantait et je ne pu que lâcher un petit rire.
« T'es vraiment grave comme mec. » Un rire sortait de sa bouche, chose qui me fit légèrement sourire. Ce garçon me plaisait, vraiment et, pourtant, je n'arrivais pas à me laisser aller avec lui. Depuis la période Parker, je n'arrivais tout simplement pas à faire confiance à un garçon. Pourtant, Damian avait tout pour qu'on lui fasse confiance. Il était honnête, attentionné, touchant aussi. Mais c'était un beau gosse et ça, ça jouer en sa défaveur à mes yeux. Il avait des filles à ses pieds, qu'est-ce qui pouvait m'assurer qu'il n'irait pas voir ailleurs ? Rien. Enfin .. Si ça se trouve, je me torturais l'esprit alors qu'il s'en foutait de moi aussi. Après quelques minutes à marcher côte à côte sans rien se dire, on finissait par arriver devant chez moi.
« Et voilà, mademoiselle est arrivée. » Devant ma porte, je me stoppais pour me tourner vers lui, un sourire sur les lèvres.
« Merci de m'avoir raccompagnée, c'est gentil. » Un sourire s'accrochait aussi à ses lèvres. Un sourire qui me faisait fondre, je l'avouais.
« Me remercie pas, j'voulais passer un peu de temps avec toi. » Suite à cela, il me déposait un léger et doux baiser sur la joue.
« A demain, Sélénia. » Me disait-il tout en marchant à reculons, me laissant le plaisir de voir son magnifique sourire.
« A demain. » Finissais-je par lâcher, toujours avec ce sourire sur les lèvres. Puis, j'entrais dans la maison et, après avoir refermé la porte, je m'appuyais contre celle-ci tout en fermant les yeux, laissant un léger souffle sortir d'entre mes lèvres.
« Qui est ce garçon ? » Entendre mon père me faisait sursauter. D'une, je pensais qu'il bossait encore à cette heure là. Et de deux, je repensais au magnifique sourire de Damian.
« Tu m'as fait peur papa .. C'est Damian, un ami. » « Désolé trésor. Un ami .. Tu feras attention, d'accord ? » La question de mon père ne m'étonnait guère. Autant j'étais sur la défensive avec les mecs, autant mon père les voyait tous d'un mauvais oeil. Lui et ma mère avaient passé des années à faire en sorte que je m'en sente mieux, que Parker ne hante plus mes pensées. Ils me protégeaient, tout simplement.
« Promis papa. » Je déposais un baiser sur sa joue, montant ensuite dans ma chambre.